Je viens remercier comme il se doit, toutes les personnes qui ont rendu possible la publication de mon arc-en-ciel.

C’est toujours un émerveillement pour moi, de me voir acceptée dans le Catalogue d’Oniris. Un honneur, aussi un vrai bonheur.

Encore une fois, merci et bravo, pour tout le travail que vous accomplissez avec abnégation et grand sérieux.

Je remercie aussi chaleureusement, vous, mes lecteurs – 270 vues à l’heure où j’écris, ce n’est pas rien pour l’amateur que je suis et qui n’a d’autre prétention que celle du partage, ici et maintenant –

et à vous, mes commentateurs, qui avez donné de votre temps pour exprimer vos ressentis. Je les reçois cinq sur cinq, direct en plein cœur. C’est à chaque fois une charge émotionnelle de grande amplitude, que de lire vos retours, ainsi que d’ouvrir ce forum pour expliquer, remercier, plus encore…




Donaldo. Du blabla. Voilà exactement ce que je me dis lorsque je m’attèle devant une page blanche avec une envie furieuse de poser en mots les images qui squattent chez moi frôlant l’overdose. Vas-y, blablate, il n’y a que ça pour te faire du bien !

Je plaisante. Bien sûr ! Il y a beaucoup trop de sérieux autour de moi lorsque je deviens autre en prenant la plume. Il ne me viendrait pas à l’idée, une seconde, de me moquer de tout ce qui se trame en cet instant magique.

Finalement, Il n’y a pas grand-chose à comprendre. Deux ou trois tranches de la vie de Rature Rainbow, qui de par sa nature même les rend un chouïa dramatiques ou oniriques, c’est selon.

Je doute qu’une autre fois passée avec moi soit mieux pour vous. Mais disons que si j’arrivais à vous séduire, je le savourerais comme une petite victoire. De celle qui font avancer. :))


Tadiou. Vous évoquez l’écriture « en amour de la vie », « en amour des gens ». Et je dois vous avouer que cela me touche beaucoup, car si je n’ai aucune conscience d’agir de la sorte, c’est quand même bien ce qui guide tous les actes de ma vie.

Comme je suis également touchée que vous ayez aimé la référence à l’arc-en-ciel. L’anecdote est véridique. De A à Z..

En grandissant, et comme c’est souvent le cas, l’enfant a perdu beaucoup de sa maturité. Pour ne pas vous ennuyer, je ne vous raconterais pas sa dernière énorme bêtise. De quoi aller se faire pendre haut et court à cor et à cri, et pleurer toutes les larmes de son corps pour être aussi bête parfois…


Eccar. Un nonosse enrubanné ? Voyez-vous, ça !

Sourire mis de côté, tu m’as bouleversée avec ton commentaire. Voilà, je crois, ce qui me donne envie de poursuivre l’aventure des mots en goguette, quand tant de fois j’ai voulu jeter aux orties plumes et encriers. Ce partage des émotions sur la même longueur d’ondes. La douceur des images, encore des images, toujours des images qui éclaboussent nos têtes et font rire le soleil et ruisseler la chaleur dans le puits sans fond de nos yeux d’émerveillés à vif.

Puissent nos écrans, longtemps encore, être envahis de la sorte. Un remède imparable lorsque le cœur saigne en dedans à cause des faiseurs de bazar de tous poils qui ne pensent qu’à leur gueule.


Widjet. Heureusement, j’ai appris à te connaître.
Un peu flèche en haut de toi me réjouis. Déjà, le simple fait que tu aies commenté cet ensemble qui t’a globalement plu.

Je mettrais ma main à couper que ton + je le dois à la gare = guerre = déportation, et à ta propre mémoire ? Je suis trop jeune (eh, oui ! :)) pour avoir connu le drame horrible de la déportation. De près ou de loin. Même si j’en connais tous les sombres détails.

Le dernier chapitre, c’est l’anecdote véridique point par point de l’arc-en-ciel. L’équité s’est rajoutée comme lien de cause à effet.


Pouet. Bienvenu dans mon univers !

J’ai été sensible que tu relèves l’humour, la poésie (sans laquelle je ne suis rien), la douleur, l’espoir et la beauté. C’était la seule prétention de ce texte.

Comme je l’explique à Donaldo, plus haut, ce sont quelques tranches d’une vie filtrée par les yeux de Rature Rainbow, la bien nommée dans ses extrêmes.


Plumette. Je suis ravie de te voir apprécier la poésie de cette petite histoire, et aussi la tendresse qui l’émaille, toi qui te partage avec bonheur entre les nouvelles et les poésies.

Pas certaine cependant que Rature Rainbow apprécie d’être si singulière. Pour bien la connaître, je crois savoir qu’elle aimerait être davantage protégée par son armure. D’ailleurs, sans trop dévoiler son secret, je peux te dire que régulièrement elle commande une armure, une vraie de vraie armure, résistante aux chocs, et tout ça, mais, bon, si j’en juge par sa dernière et cuisante désillusion, son affaire n’est pas encore au point…


Vendularge. En fait, la poésie, c’est mon truc à moi. Quoique je fasse, je la traîne partout avec mes semelles crottées.

Je suis bien heureuse de tout ce que tu as pu aimer dans l’ensemble. Le titre, particulièrement, qui m’est venu avec beaucoup de tendresse, et aussi l’armure en fer-blanc, très significative de son peu d’efficacité en tant qu’armure. Puisqu’elle ne protège de rien et que Rature est toujours aussi vulnérable.

Crois-moi, je connais bien pire comme véritable prénom à porter.


SQUEEN. Ne soyez pas trop dure avec la mère. Comme tout le monde, elle s’est débrouillée comme elle le pouvait, avec ce qu’elle avait. :))

Vous relevez entre autres bonnes choses qui me vont droit au cœur, la douceur. Rature Rainbow aimerait parfois s’y noyer, tant elle en à revendre. Mais elle n’est dupe de rien. Jamais. C’est certainement ce qui la rend si ‘’douce’’ qu’on la croirait bête.

Je profite ici pour vous souhaiter la bienvenue sur Oniris, et j’espère bien évidemment partager encore avec vous.


Hersen. Tu t’es arrêtée, un peu, et cela me fait beaucoup plaisir.

Bien vu, les deux côtés de la vie et l’équilibre fragile, usant à préserver, et tout aussi usant à rétablir après les coups durs.


Myndie. Ton point de vue de poétesse m’aurait manqué. Il me donne tellement de confiance !

Merci donc d’être sortie de ton domaine de prédilection. Personne, j’en suis certaine, ne te reprochera de commenter ton amie, ta sœur de plume. Qui d’autre que les amis pour bien commenter le profond des choses ?

Le moment d’émotion a été royalement partagé. Sois-en certaine. Les vrais poètes sont ceux qui brodent les mots au point de croix, au millimètre près de l’émotion la plus pure. Tu es une vraie poète.

Moi aussi je t’aime droit dans les yeux.


JPMahe. C’est moi qui vous remercie pour le petit moment de pur bonheur passé à lire votre commentaire. Vous avez deviné juste sur toute la ligne.

Je vous souhaite la bienvenue sur Oniris. Vous êtes au bon endroit pour faire connaissance avec des vraies et belles personnes, de celles qui portent avec talent sur les mots.


Cristale. Je suis vraiment contente. Ce petit texte à réussi à t’amener vers les nouvelles et donc vers moi, grâce à la poésie.

Tu sais combien elle fait partie intégrante de ma vie, n’est-ce-pas ? Au point que bien souvent le bateau tangue jusqu’à me filer le mal de mère… et délirer comme une petite folle sur les forums pour me rattraper au bastingage avant de perdre pied.


Papipoète. Et voilà, un poète de plus du côté nouvelles.

Vous me faites chaud au cœur d’avoir marqué votre passage.

Cet autre qui vit en soi est peut-être plus fort que ce soi qui est toujours en train de dérouiller dès qu’il lève sa garde.

Vos mots sont de la soie sur les blessures de Rature Rainbow. Elle m’a chargée de vous transmettre toute sa reconnaissance, et son baiser amical, spécialement pour vous.


Marite. Attendrissante, dites-vous. Cela me touche que vous le releviez, car je me sens si tendre en écrivant. De cette tendresse où affleure la souffrance.

Je suis certaine que tous, nous avons de ces empreintes indélébiles.

Merci pour vos sourires aux bons endroits.


PIZZICATO. Yves, peu importe, avant, après le train. Je ne retiens que le plaisir procuré par ton passage sous mes mots.

Toujours cette poésie à l’état pur que nous partageons, qui nous ressemble et nous rassemble.

Pourquoi faudrait-il demander davantage à la vie ?


Alexan. Moi, ce sont vos mots qui me transportent. C’est tellement touchant d’être lue comme on a écrit, pensé, élaboré l’histoire. Vous avez décelé, après les couleurs et la poésie, l’humour et l’enchantement. Je suis comblée.

Je vous souhaite, la bienvenue sur Oniris. Puissiez-vous vous y épanouir comme vous le méritez.


Brume. Il ne manquait que tes mots si doux à mon bonheur du jour. Tu me fais vibrer avec ton commentaire si droit, si sincère, si en phase avec ce que nous avons en commun. L’authenticité de notre sensibilité à fleur de peau immergée dans les vraies choses de la vie. Le partager avec la foultitude participe à ma joie d’être les deux pieds posés sur Terre.


A tous…

Coucou Cat

C'est toujours un bonheur de lire tes chaleureux remerciements, tu prends le temps de répondre à chaque commentateurs c'est plaisant. Il n'est pas toujours évident de trouver les mots pour chacun

Oui nous avons en commun l'amour des mots à fleur de peau.

Cat coucou !

Je viens vers les nouvelles quand j'ose car je ne sais pas toujours les commenter, habituée que je suis à parler technique sur la poésie. En nouvelles c'est différent vu que je n'en écris pas. Mais je les lis, si elles ne sont pas trop longues :)

Nos maux ne sont sans doute pas les mêmes, mais leurs mots se ressemblent...et les petits délires sont si bons pour chasser les lutins grimaçants

Ahhh Rature Rainbow! Même tes remerciements sont une séquence émotion!
Ne fais plus pleurer tes yeux Cat, tout est mérité...

Coucou, les filles,

Heureusement que vous êtes là, si non, bonjour le grand désert de solitude ! :))

Brume. Je réponds à chaque commentaire avec autant de bonheur que j'en ai pris à les lire.
Nous ne sommes pas prêtes de le lâcher, cet amour des mots à fleur de peau, pas vrai ?


Cristale, sus aux petits lutins grimaçants ! Les mots sont là pour ça, non ?
Ne nous en privons pas. Jamais.


Myndie. Je ne sais écrire qu'à l'encre de mes yeux mouillés. Une vraie Cat à strophes ! :))

Bonjour Cat,
Pardon j’arrive un peu tard…
Malgré mon manque de ponctualité je tenais tout de même a signaler que ces belles choses (toujours aussi joliment exprimées) m’étant destinées (en plus !) m’ont fait rougir de joie.
A très vite j’espère pour un autre délice littéraire.

Bonsoir Alexan,

Du retard, dis-tu ? Mais ce n’est rien, car vois-tu, c’est que tu sois passé me dire tout ça, qui me fait vraiment plaisir.

Oups ! Je te tutoie mais c’est à cause de notre goût commun pour les contes enchanteurs et les belles paroles qui nous troublent mutuellement. Cela rapproche, non ? :))

As-tu présenté une nouvelle, un poème sur Oniris ?
Il me tarde de te lire, pour situer plus précisément ton univers.

En attendant, merci pour ton passage ici et pour tes gentils mots.

A bientôt, j'espère.


Cat

Mais oui Cat, tu as bien raison : le tutoiement rapproche et c’est tant mieux ! J’ignore d’ailleurs pourquoi il ne m’est pas venu avant... peut-être suis-je aussi intimidé qu’enchanté.

J’ai en effet présenté une nouvelle qui devrait apparemment être publiée sur le site le 27 juillet

Peut-être illustrera-t-elle une petite partie de mon univers que je crois, cela dit, assez éclectique…

Bonjour Alexan,
Alex-san ?

Je reviens de Hong Kong. Fabuleux voyage !

Voilà, je fais remonter ce fil, exprès pour te le dire. Et je retourne de ce pas déposer mon commentaire sous ta nouvelle qui m’a donné un avant bon goût de ton univers éclectique.

J’espère avoir encore autant de plaisir à découvrir le reste de ton éclectisme.

Merci pour ton retour ici. C’est toujours plaisant des liens sympathiques qui se nouent…


Cat

Bonjour Jean-Claude,

Pardon pour le retard pris à vous répondre, je viens de voir votre commentaire sous l'Arc-en-ciel.

Je vous souhaite la bienvenue sur Oniris. Je constate que vous avez déjà pris vos marques et commencé à commenter tous azimuts. Des commentaires bien argumentés au demeurant. Vous n’allez pas tarder à faire l’unanimité chez nos camarades oniriens. :))

Bien sûr, votre appréciation me fait plaisir. Et je suis sincèrement désolée de vous avoir un poil frustré avec la fin qui est arrivée trop vite.

Il y a à comprendre, qu’il s’agit de quelques jours coton dans la vie de Rature Rainbow. Du moins, des étapes qui ont - on est en droit de le présumer - participé à former son ressenti du monde. Ce monde où elle va être obligée de naviguer peu ou prou.

Vous pouvez aussi le comprendre, comme une excuse pour laisser libre cours à la douce poésie qui parfois m’envahit. :))

J’espère avoir bientôt le plaisir de découvrir votre propre univers.

Merci pour votre passage sous mes mots.

Cat