Comme il vaut mieux se répéter que se contredire, je viens ici redire une nouvelle fois - et ce sera la dernière - que TOUS les avis émis ont de la valeur à mes yeux.

Mais il ne faut pas attendre de moi que je m'implique dans des échanges à n'en plus finir avec les uns et les autres dans un but d'exégèse, de défense ou d'explication. Une fois divulgués, mes textes ne m'appartiennent plus : leur existence est désormais séparée de la mienne, et il leur faut survivre ou succomber à la critique, à l'incompréhension, ou à l'indifférence, sans aucune intervention de ma part.

Aussi, amis commentateurs, soyez féroces ou enthousiastes à votre guise : j'observe, je prends en compte. Mais cela n'ira pas plus loin. Ne vous exaltez donc pas trop... ce serait une dépense de matière grise ou d'énergie tout à fait vaine.

mince, il n'y a pas de bouton " j'aime" sous ton post
bah! considère que j'ai cliqué dessus

Et si on devait avoir des questions ou des demandes d'éclaircissements...on les garde pour nous aussi ?

W.

Citation :

Dans une telle éventualité c'est que le texte a été mal écrit ou mal compris. Dans un cas comme dans l'autre, ça ne peut plus se rattraper.

Citation :

itou !

J'admets. C'est singulier, mais pas agressif, tout ça. Attitude franche que voilà ! (Bien).

Citation :

Il ne s'agit pas de rattraper quoi que ce soit, mais répondre à des questions si existantes.

Mais c'est ton point de vue. Je prends acte et respecte.

W

Les écrivains eux-mêmes assurent un service après-vente. Pour moi l'attitude exprimée en 1. est une forme de mépris.

Je ne dirai pas ça aussi catégoriquement Brabant.

SI personne ne se manifeste, je peux comprendre que l'auteur ne souhaite pas ouvrir un débat sur son œuvre au risque de déflorer son texte ou d'avoir l'impression d'enfoncer au pilon son point de vue (alors que personne n'a rien demandé) et d'orienter son lectorat.

En revanche, ce qui me gêne un brin, c'est que dès lors qu'on s'interroge sur ledit texte et que de notre plein gré on demande certaines explications (ce qui témoigne à mon humble avis, d'un certain intérêt) ou qu'on soulève des interrogations, l'auteur puisse lui dire (même poliment) : "mon texte se suffit à lui-même, débrouille toi avec".

Ce n'est pas très généreux.

W

Je peux comprendre le point de vue d'Iktomi, je crois, et puis même si je ne le comprends pas, c'est pareil : personne ne peut forcer personne sur Oniris. C'est pas un boulot.
Mais je comprends encore mieux le point de vue de ceux qui aimeraient des réponses, ou au moins l'ouverture d'un dialogue : Oniris a pour avantage d'offrir des lecteurs à des auteurs, certes, mais du coup, il offre des auteurs à des lecteurs. Les lecteurs peuvent y dialoguer avec les auteurs qu'ils lisent, éclaircir une lecture, voir des techniques différentes, rencontrer un univers différent.

Du coup, les questions, c'est pas forcément parce que le texte ne se suffit pas. C'est aussi pour le plaisir de papoter lecture/écriture avec un auteur.
J'ai visité quelques sites genre "cercle de lecture". Ils lisent des textes d'auteurs sélectionnés (pas amateurs), et ils en parlent, ils analysent, ils échangent autour. Certains commentateurs sont vraiment intéressants à lire. Mais ils n'ont pas ce qu'on a ici : des auteurs qui peuvent répondre à leur analyse, à leurs zones d'ombre. Ce sont deux démarches différentes, intéressantes, les deux, mais différentes.