Merci pour vos lectures et vos commentaires sur ma première nouvelle dans l'environement Onirien !


Pour développer un peu autour du contexte de #vandeath, je vous livre quelques détails :

Je suis actuellement en voyage en van en Europe et le lieu (le spot) des événements où se déroule la nouvelle est réel, de même que le van allemand sans individus dedans, le vieux camping-car et la vue sur la ville et le détroit de Gibraltar. Heureusement, le reste n'existe seulement que dans ma tête et sur Oniris maintenant.

L'idée des trois parties avec des personnes n'ayant que la vie nomade en commun, met venu de la diversité des gens et des camions que je croise sur la route.


Des remerciements particulier à cherbiacuespe, Donald7, Zoé, JohanSchneider et Jemabi, pour avoir pris le temps de mettre un commentaire ! Je suis content que vous ayez apprécié mon texte et qu'il vous ait fait passer un bon moment !



En réaction au commentaire de cherbiacuespe:
Je n'ai pas tout à fait saisi la remarque "Juan, de toute façon, était une âme perdue". Ce personnage est basé sur un mélange d'amis et de personnes que j'accompagne dans mon travail. C'est une âme perdue peut-être, mais si c'est le cas, à cause du fonctionnement de notre société, je crois.

Pour les fautes, le premier jet, vous aurez sûrement écorché les yeux. J'essaye de faire des efforts, je travaille sur ce point, mais je crains de souffrir d'un ou plusieurs handicaps en la matière. Mais je ne baisse pas les bras.


En réaction au commentaire de JohanSchneider:
Pour les maladresses et les lourdeurs, si vous avez le temps de m'en pointer quelques-unes, je serai heureux de prendre cela en compte pour mes autres écrits.

Pour la fin avec les chiens, je n'ai pas vraiment voulu tourner cela de la façon dont vous semblez l'avoir pris. En-tout-cas je ne crois pas en l'innocence naturelle des chiens et je ne me suis pas posé la question si la fin était réaliste ou non. Car en fait, je brise le quatrième mur en parlant directement aux lecteurs et à ses sentiments, pour finalement lui pondre un happy end, sans l'abri du quatrième mur, en pure invention pour sortir de l'horreur.

Pour la petite histoire, c'est un clin d'œil à une technique que nous avons développé avec des collègues animateurs nature, pour que les histoires et les jeux de rôles que nous faisions dans la forêt n'effraie pas les enfants pour toujours.



Merci à tous en tout cas !


Et si jamais d'autres se lance dans la lecture de #Vandeath, je serais heureux et curieux de lire d'autres commentaires !

Bonjour Messircule. Ma remarque, "Juan, de toute façon, était une âme perdue", se lit en rapport avec la société en général qui s'est désintéressée de lui. Son sort ? Elle s'en est moqué et s'en moque sans doute encore : pas étonnant de le voir en prison. C'est votre propre présentation de Juan, en début de dernière partie, du moins ce que j'en tire comme enseignement concernant Juan.

Pour les fautes, pas de problème, j'en fais assez moi-même pour ne pas déclencher d'ouragan sur le sujet. Si votre texte en était bourré, une tous les trois mots par exemple, pourquoi pas. C'est loin d'être le cas et la qualité de votre écriture démontre plutôt des fautes d'inattention.

Merci pour ce retour et félicitation pour ce premier texte qui va apparaître dans le catalogue.

Citation :


Concentrez-vous plutôt sur votre prochain texte, dont nous attendons beaucoup, n'en doutez pas.

Les quelques défauts relevés n'ont pas fait obstacle au plaisir de la lecture.

Et puis souvenez-vous que si c'est en forgeant qu'on devient forgeron, c'est en écrivant qu'on devient écriveron (Raymond Queneau) !

Ce que j'ai compris de la fin, c'est que vous faites cadeau au lecteur d'un dénouement "heureux" qu'il n'attendait ou ne souhaitait peut-être pas forcément... J'ai bon ?

D'accord, je n'insiste pas sur la demande.

J'imagine que c'est une façon de voir la fin. L'idée était de soudain sortir de l'horreur et du drame, tout en renforçant ce dernier, d'une certaine manière. Avec le contraste entre le sort que la société réserve aux chiens et celui de Juan (dans le récit).

C'est vous l'auteur, vous êtes seul maître à bord de votre récit.

Je comprends mieux l'idée de la fin mais j'avoue qu'à la première lecture (je l'ai relue plusieurs fois depuis) j'étais passé à côté.

A vous lire prochainement.

Merci Perle-Hingaud

" le « coup » pour le « coût »", fichtre le rouge me monte aux joues...

Merci pour votre commentaire, j'aime beaucoup votre retour. Suite auquel j'ai en effet relu mon texte autrement. Je vais réinvestir tout cela dans mes prochains écrits.

Merci,
J'ai hâte de vous lire !

Merci pour le répétoscope, Perle-Hingaud. Un petit machin qui ne paie pas de mine mais qui va être diablement utile...

Merci Ananas pour votre commentaire ! Je suis content que vous ayez eu du plaisir à la lire !
En effet, on appose sa signature, merci de cette remarque. Après le coup / coût, je vais pouvoir lui refaire une beauté à cette nouvelle. Je n'ai pas de soucis pour ces remarques, étant un dyslexique/tête en l'air, mon cerveau mélange les sons. Donc je n'ai pas de fierté mal placée pour ça !

Merci !