Bonjour David,

Votre poésie « Sémaphore » a été présentée auprès de quelques lecteurs réguliers d'Oniris. Vous trouverez les différents commentaires de ces lecteurs à la suite de ce courrier. Votre poésie n'a cependant pas été retenue par le comité éditorial pour une publication sur le site.

Voici les différents commentaires recueillis auprès des lecteurs d'Oniris.

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Commentaire :
Je ne suis pas emballé par ce kaléidoscope d'images qui me semble manquer de liant. J'ai beau chercher un fil directeur, je ne le trouve pas et du coup j'ignore quel sens vous donnez à cette poésie.

Les syllabes en 5/7/5 sont intéressantes au niveau du rythme, donnent de l'élan à la phrase, mais j'aurais aimé des rimes puisque vous êtes en classique.

Au final je dirais que votre poésie est trop disparate pour remporter mon adhésion.

["classique" est le nom de la catégorie, les haïku en font partie et ils ne comportent pas de rimes usuellement, c'est un petit malentendu qui ne doit pas changer l'avis général. bonnes futurs lectures.]

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Commentaire :
Bonsoir... Je pensais lire et commenter une poésie classique mais je vois qu'il n'en est rien... Sans doute une erreur de catégorie ! A moins que les haïkus soient considérés comme telle... Désolé

Il n'y a aucune erreur, ce texte est composé de Haïku à la métrique "classique", comme ils sont présentés parfois aux côtés des sonnets et autres "formes fixes"

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Commentaire :
Désolé, je ne vois point de poésie classique ici
A changer de catégorie

Désolé pour l'émotion, le choix de catégorie correspond bien aux attentes : [Référence] Les classifications en poésie où on peut lire que le Haïku fait partie de la "poésie classique".

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Commentaire :
Bonjour,

Juste un défilé d'idées, il n'y a pas d'histoire. Il n'y a pas de fil conducteur entre les strophes quoique encore ce n'est pas bien grave, ce qui me gêne c'est que je ne sais pas quel est le thème de votre poème.

"Un brin de tabac
Pris sur le bout de la langue,
Avec les deux doigts."

oui et?

[Je voulais associer une émotion à un geste anodin, mais ici c'est un geste de fumeur de filtre qui se retrouverait à fumer à même le tabac, peut-être que le coté "anodin" n'a pas eu d'écho, entre autres]

"Je vous verbalise
Pour un clignotant brisé,
C'est cent dix euros."

oui...et après?

L'intérêt voulait être justement de mettre en scène quelque chose qui stoppe net le propos, la suite serait peut-être : "Tu payes !" pour rester dans le contexte. C'est une image de couperet "d'épée de Damoclès" simplement ou trop naïvement]

Je n'arrive pas à comprendre l'intérêt de chacune des strophes, c'est très banale, ça manque de puissance, de force évocatrice, de métaphores, et surtout je n'y ressens aucune émotion. Il n'y a pas une seule strophe ni un seul vers que j'aurais envie de relever tant je n'ai pas été charmée, ni transportée par ces petits bouts de vie.
Il faudrait faire preuve d'un peu plus d'imagination: atmosphère, impression sensitive, émotion, décor, images.

chVlu a écrit :

Qu'un texte n'ait pas croisé son lectorat ici, signifie que le texte est défaillant?