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1 Utilisateur(s) anonymes
Re : Shoshanna et Nancy vous remercient d’avoir regardé par leur vitre |
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On peut excommunier une athée ou pas ? De toute façon, c'est Shoshanna qui l'a tué pas moi, ou bien ce Monsieur Niche...
Contribution du : 22/04/2022 19:41
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Re : Shoshanna et Nancy vous remercient d’avoir regardé par leur vitre |
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AngieBlue
Je souhaitais, principalement, vous faire remarquer certaines subtilités du texte à côté desquelles vous êtes malheureusement passé et qui font que votre commentaire de ce texte n'est pas objectif. C’est malheureux, en effet. Je vous remercie de me faire entrevoir les subtilités de ce texte, vous remercie également de votre bienveillance à mon égard. J’accueille toujours avec joie l’aide qu’on me propose spontanément et si humblement. Puisque vous avez eu la gentillesse de vous attarder sur mon commentaire, je m’attarderai un peu sur le vôtre et quelques autres. Plus sérieusement, permettez-moi simplement d’éviter la langue de bois et les jeux de cache-cache ! Sachez d’abord que depuis une douzaine ou même une quatorzaine d’années (je ne sais plus exactement), il y a eu une évolution dans ma manière de commenter sur Oniris, allant de l’abondance à l’absence totale, en fonction de l’évolution du site, sans doute en fonction de l’évolution parallèle et semblable de la société. La longueur, l’exhaustivité et la précision de mes commentaires étaient d’abord globalement appréciées. Le temps passant, les choses et la société évoluant toujours vers plus de précipitation et de satisfaction immédiate, celles-ci ont progressivement été perçues comme de la condescendance alors qu’elles n’étaient pour moi que temps offert, sans le compter d’ailleurs, en tous cas lorsque le commentaire n’était pas suffisamment flatteur parce que, bien entendu, lorsque le commentaire était favorable au texte, l’exhaustivité du commentaire ne posait jamais problème. Lorsqu’il ne l’était pas, cette exhaustivité était prise pour de l’acharnement, ce qui n’était nullement l’intention. Des commentateurs ont progressivement disparu, d’autres ont sélectionné les textes à commenter quand il ne leur était plus possible d’éviter des coups de lattes autrement qu’en flattant les auteurs des textes qu’ils avaient appréciés, ou au mieux en dénaturant leurs commentaires défavorables au point d’en ôter toute la substance, ce qui crée inévitablement une distorsion de la perception de leurs textes par les auteurs, voire par les autres commentateurs, un commentaire défavorable mais trop peu argumenté pouvant passer pour une attaque plutôt qu’un commentaire. Dès lors, un texte médiocre peut paraître acceptable. Un texte correct peut paraître génial. C’est regrettable car je ne pense pas que ce soit rendre service à un auteur que de simuler la bienveillance par de l’hypocrisie ou de l’abstention. Je ne pense pas non plus que ce soit rendre service aux commentateurs car le mimétisme finit par tout normaliser et aseptiser. La flatterie finit par être assimilée à la bienveillance et la goujaterie à la sincérité. J’ai depuis longtemps cessé d’associer une note à mon commentaire, le cas échéant pour ne pas heurter un auteur plus qu’il n’est raisonnable de le faire, la note n’étant finalement qu’une parure posée sur ce qui constitue l’essentiel : le commentaire. Inutile d’ajouter une sanction à quelques formules qui pourraient ne pas paraître suffisamment bienveillantes aux yeux de l’auteur. J’ai raccourci mes commentaires au détriment de leur contenu pour ménager les susceptibilités des auteurs fragiles. Depuis quelques mois, j’ai complètement cessé de commenter parce qu’il y a un seuil d’aseptisation en-dessous duquel il n’est pas raisonnable de descendre à moins de se contenter de likes. Ce à quoi j’assiste depuis plusieurs semaines est absolument inouï, mais j’y reviendrai. Voici quelques remarques au sujet de votre commentaire et d’autres, que vous accueillerez, je l’espère, avec autant d’humilité et de bienveillance que celles que vous avez mises à m’indiquer les subtilités que je n’aurais pas saisies dans ce texte. C'est très fin de mettre en parallèle les différentes temporalités et de jouer sur les oppositions et les comparaisons. Non, c’est très courant. J'ai trouvé, entre autres, superbe la description des jeunes femmes de Nouvelle- Angleterre "regroupées en grappes chuchotantes". Cette formule n’est pas mal tournée, mais vous trouverez sur Oniris, même aujourd’hui encore, des auteurs qui pourraient vous en improviser de semblables ou de meilleures par douzaines. Rien de particulièrement remarquable ici qui puisse justifier l’extrémisme de votre note et de votre commentaire. Il n’y a pas que dans le négatif que l’on peut trouver de l’excès. Lorsque j’écris « de meilleures », je pense à la sonorité rugueuse (à mettre en rapport avec « Encore un mot sur les phrases je les trouve remarquablement rythmées et musicales » (Larivière)). Je n’ai jamais écrit que la forme de ce texte était mauvaise. Je n’écris pas non plus qu’elle est exceptionnelle puisqu’elle ne l’est pas. Je reviendrai plus tard sur ces grappes car sous la forme il y a un fond à analyser. Alors, puisque vous vous permettez de mettre en cause mon commentaire (droit que je vous reconnais ou vous accorde) et de m’indiquer si humblement la direction de la lumière, permettez-moi de m’étonner de votre dithyrambe qui, associée à d’autres, créent un nivellement dont il ne sera plus possible d’extraire d’exceptionnel ce qui l’est réellement. Est-il donc possible de vous impressionner à ce point par une figure de style courante ? Ou bien devrais-je à mon tour envisager une subjectivité expliquant cette insolite pâmoison ? Je serais bien embarrassé de recevoir un commentaire tel que le vôtre. Tout auteur exposé connaît des moments de faiblesse. Allez savoir !… je pourrais y croire pendant cinq secondes. Peut-être même dix en cas de spleen prononcé avant de revenir à la raison et à l’objectivité. C'est comme votre comparaison avec Scooby Doo, non mais est-ce vraiment sérieux? Oui, ça l’est. Proposez un exercice d’écriture mêlant la visite d’une ville quelconque à des réminiscences de la shoah ou de n’importe quoi d’autre et si des auteurs un peu lettrés sont disponibles, ils vous pondront chacun une nouvelle par semaine, voire ensuite par jour si la trame est toujours identique et aussi simple à suivre. Le problème, voyez-vous, c’est qu’il n’est plus du tout certain qu’aujourd’hui ces auteurs se rendent disponibles, à supposer qu’ils n’aient pas quitté le site. J’ai lu ci-dessus que l’auteur, avec une humilité comparable à la vôtre, indiquait qu’il publierait prochainement les prochains opus de sa suite. Publier ? Vraiment ? Même Macron, mercredi soir, après un court moment d’hésitation, n’a pas oublié de préciser « si les Français me font confiance ». On lui reproche pourtant son arrogance. Mais je suppose qu’il n’y a aucune arrogance à court-circuiter l’EL et le CE pour annoncer déjà de futures publications. Evidemment, lorsqu’on demande aux commentateurs non convaincus par avance de ne pas commenter, on peut se sentir sur le velours au point d’en oublier un élémentaire respect des autres auteurs, des commentateurs de l’EL et des membres du CE. Papipoète : « l'auteure pourrait nous faire croire qu'elle est elle-même américaine, tant elle parle de là-bas avec aisance ; je la sais jeune, aussi parler comme badinant avec facilité de " l'ancien temps ", avec ses vedettes, ses chanteurs et ses gouvernants m'épate ! » Vous aussi, alors, Papipoète, vous êtes facilement impressionnable ? Vous savez, de nos jours et depuis longtemps même, il est très facile d’obtenir une foule de renseignements en quelques clics. C’est possible depuis plus qu’un quart de siècle. Les plus jeunes d’entre nous y sont particulièrement aguerris, parait-il. Evidemment, il faut être un peu vigilent quant aux anachronismes, sinon on risque de trébucher, comme dans l’opus précédant en écrivant « Big Apple » ou « La Grosse Pomme » pour nommer une ville qui n’est désignée sous ce nom que depuis les années soixante-dix. La bévue n’est pas très grave, facilement pardonnable. Je m’étonne simplement que vous puissiez être impressionné par quelque chose d’aussi facile, bien que pourtant pas réellement maîtrisé. Il y a quelques années, un auteur onirien marseillais avait proposé une nouvelle se déroulant dans un quartier bruxellois, sur une place que de fréquentais alors parfois. J’avais été amusé tant par la justesse de la description des lieux que par celle d’une certaine faune locale. Il n’y avait jamais mis les pieds, peuchère ! Je suis ravi que l’auteur vous appelle affectueusement « Papi ». Cristale n’a pas eu cette chance car pour ne pas avoir eu comme vous la bonne idée de flatter l’auteur, c’est du sobriquet « mamie la matraque » dont elle fut affublée. « Selon que vous serez puissant ou misérable », disait l’autre. Selon que vous serez flatteur ou gênant, dirais-je. Je reviendrai sur cette manière systématique qu’a l’auteur de traiter les gens. Flableur : « La capacité à s'émouvoir n’est pas innée, on ne nait pas avec ». Je bois goulument cette assertion philosophico-médicale. Peut-être une scorie de votre volonté (contrainte) d’assainir un com bilieux ? Mais au-delà de textes et de commentaires, il faudra bien aborder un sujet bien plus délicat : celui de l’auteur. Je m’attends bien entendu à d’autres réactions bilieuses, cherchant à salir plutôt qu’à comprendre. C’est ainsi, il faut faire avec et avoir le courage de l’affronter. Je ne m’exprime ici qu’en mon propre nom et ne demande à personne de s’associer à mes propos, mais j’espère néanmoins apporter un peu de soulagement aux nombreuses personnes qui ne souhaitent pas s’exposer en s’exprimant, sachant qu’une certaine forme de terrorisme rend cette exposition particulièrement hasardeuse, ce qui peut aisément expliquer des avis en apparence uniformes. Ceux qui prennent la parole forment l’opinion. Ceux qui la laissent aux premiers la valident. Oniris n’est pas un bouquin. Qu’on le veuille ou non, nous fréquentons les auteurs et qu’on le veuille ou non, nous sommes soumis à leurs comportements. L’auteur de ce texte a débarqué sur ce site en cassant les jouets des autres, en tentant de ridiculiser un certain nombre de personnes et en y parvenant avec le concours de quelques associés de circonstance et la faiblesse d’esprit de personnes facilement manipulables ou peu curieuses, par des moyens multiples dont celui de nombreuses piques méprisantes, parfois insultantes, maquillées plus ou moins discrètement et déportées sur d’autres fils pour passer sous les radars de la modération ou dans les trous de la charte, se soustrayant ainsi également à l’attention de l’onirien incrédule, bien qu’ayant tout de même trébuché par trop d’assurance avant un bannissement, qui d’ailleurs a été un motif de soutien par ceux qui n’en comprenaient pas la raison, au moyen aussi d’une attitude ultra-victimaire destinée à jeter l’opprobre sur des agresseurs supposés et retourner la réalité d’une situation. C’est un moyen particulièrement vicieux car très facile pour l’agresseur lorsque les agressés s’interdisent l’usage de moyens semblables, vulgaires et déloyaux, c’est-à-dire crapuleux. L’intelligence et l’élégance ne peuvent rien contre la malhonnêteté lorsqu’elles s’interdisent d’en faire usage. Cet auteur n’a montré d’empathie envers personne. Il s’est attaqué à certains dont il ne connait rien au seul motif d’une contrariété. Il a flatté certains autres au motif d’une mise en valeur préalable. Rien dans la personnalité des cibles ne le justifiait car elles étaient interchangeables. Il aurait suffi à un agressé de mettre l’auteur en valeur plutôt que de contrarier sa marche vers la notoriété pour que son statut soit celui de l’ami plutôt que celui de l’ennemi, pour qu’il se trouve face à l’ange plutôt qu’au démon. Le respect de l’auteur n’est acquis par personne par principe, il ne l’est qu’à la condition de sa mise en valeur. Il n’y a pas d’échange humain, uniquement une dichotomie entre qui sert et ce qui ne sert pas. Passons sur les dizaines de posts quotidiens pour occuper tout l’espace et se montrer. Passons sur les nombreux posts (volontairement ?) très mal écrits et les bêtises littéraires (volontaires ?) créant un trouble sur son identité (pour créer un effet de surprise ultérieur ?). Alors, bien sûr, on peut apprécier l’écriture de Céline et le dire sans avoir à apprécier l’homme. Il m’est plusieurs fois arrivé de noter très bien des textes d’auteurs oniriens que je n’appréciais pas, mais nous sommes ici dans une autre dimension et nous ne sommes pas ici dans un bouquin, nous ne sommes pas face à des écrivains dont les noms sont gravé sur des couvertures. Bien que représentés par des pseudos, nous sommes face à des êtres de chair et de sang, que leurs avatars soient réels ou non. Après plus de deux mois du comportement de cet auteur, il m’est impossible de le lire en croyant une seule seconde à l’empathie qu’il entendrait simuler dans ses textes. Le sujet choisi, quand bien même émanerait-il d’une histoire familiale ou plus largement humaine, ne m’apparait dès lors pas plus crédible qu’un fil sur l’Ukraine pour déceler une empathie à laquelle son comportement m’empêche de croire. Par ailleurs, je sais parfaitement qu’en m’exprimant, je contribue au succès de l’auteur. Certains publicitaires ont constaté qu’il suffisait de faire parler de soi. En bien ou en mal, ça n’a aucune importance. Le nombre des clients suffit. Je sais aussi que l’auteur et/ou certains de ses fans chercheront peut-être à me salir une fois de plus. Et y parviendront sans doute. C’est un piège très facile pour ceux qui se déshonorent en l’utilisant, mais très efficace. Je suis dans ce piège, mais n’en suis pas dupe. Il y a un mois, j’avais l’intention de quitter ce site, mais ne l’avais pas encore fait, sachant que dans ce cas je n’y remettrais plus jamais les pieds. Depuis, je me contentais de ne plus me connecter, ce qui me convenait parfaitement bien. Hélas (ou pas), on m’a dit avant-hier que l’auteur envoyait des MP’s à des commentateurs pour leur demander de ne pas le commenter. Constatant que la mystification se poursuivait, il m’était impossible de ne pas y réagir. Angieblue, je n’ai pas plus à assumer le commentaire des autres que les autres n’ont à assumer le mien. Le commentaire de Cat est le commentaire de Cat. Le mien est le mien. Chacun réagit en fonction de sa propre sensibilité, indépendante de celles des autres. Cat répondra ou ne répondra pas, selon ce qu’elle souhaitera, à ce que vous dites de la « violence » de son commentaire. Ce n’’est pas mon affaire. Tout ce que je peux vous dire moi-même, indépendamment du fait que je l’approuve ou ne l’approuve pas, c’est que je peux comprendre l’exaspération, exprimée par bien d’autres que Cat , quelle que soit son expression. Tout ce qui existe n’est pas forcément visible en forum. Les gens discrets ne sont pas sans opinion. Cette exaspération est à la mesure de la violence de l’auteur, qui a parfaitement compris comment la susciter et l’exploiter à son profit. Soit dit en passant, l’extrait relevé par Cat est très intéressant (« Elles sont comme les marguerites, jolies mais quelque peu nauséabondes. En d’autres temps et d’autres lieux, ce n’est pas l’envie qui m’aurait manqué d’aller distribuer des beignes sur leurs museaux fardés »), qui entre en contradiction avec ce commentaire de Tiramisu (« On ne sent aucune émotion de la part de la narratrice ») et avec cet autre de Larivière (« mais chose plus importante je ne ressens non plus aucun manichéisme »). Cela dit, le commentaire de Tiramisu est intéressant car il évoque un malaise que j’ai moi-même ressenti. Dans mon commentaire, j’ai évoqué une écriture blanche. Si celle-ci s’applique en effet aux éléments historiques, l’émotion est ici incarnée par la narratrice et même très fortement puisqu’il s’agit de la haine, et de manière parfaitement manichéenne puisque ne faisant aucune distinction entre les cibles de cette haine. Certes, on comprend parfaitement l’idée du contraste de conditions et la futilité de certaines attitudes, mais regrouper en grappes, c’est-à-dire indistinctement des êtres humains en ne leur accordant aucune faveur, aucune chance, aucune existence individuelle, c’est d’abord se montrer particulièrement manichéen, mais, surtout, c’est mettre ces êtres humains dans les même conditions que des « cadavres empilés comme des stères de bois de chauffage ». Et ça, c’est plus que dérangeant ! Dans l’écriture blanche, je ressens la narratrice comme une journaliste, détachée sans parvenir à imprimer de l’émotion dans les faits relatés. Ici, je ressens réellement la narratrice incarnée, révélant sa nature haineuse. Dans un cercle très proche - devrais-je écrire un « clan » ? - les attitudes sont un peu plus souples, mais dès que la focalisation se porte plus loin, il n’y a plus qu’une masse indistincte de corps, mi-humains, mi-animaux (museaux). Dans le cours de la même phrase, on passe d’une comparaison végétale élégante (marguerites) à l’odeur nauséabonde en finissant par une comparaison animale (museaux) et la violence physique (distribuer des beignes). La haine progresse et explose. Ma foi, je crois que je n’aimerais pas me trouver face à ce personnage, du moins pas en dehors de son clan. Et donc, finalement, pas non plus dans son clan puisque ce serait la seule condition pour ne pas subir sa haine. Je n’ose pas aller jusqu’à faire un parallèle trop appuyé entre ce comportement de la narratrice et celui de l’auteur, mais la comparaison est néanmoins troublante. Je ne crois donc pas davantage à l’empathie de la narratrice qu’à celle de l’auteur et, en conséquence, je vois davantage le sujet choisi comme aurait pu être choisi un autre pour un exercice littéraire, mais avec l’avantage que celui-ci suscite une adhésion presque automatique, indépendamment, bien entendu, de la gravité de ce sujet qui mérite d’être traité. Un tel sujet peut provoquer une adhésion rapide pour certains et plus d’exigence pour d’autres. Mais croyez-vous sérieusement qu’il me soit impossible d’être malgré tout objectif ? Pour moi, le meilleur commentaire posé sous un texte de cet auteur est celui d’alvinabec sous son premier texte. Il reflète en tous cas le mieux ce que j’en pense moi-même d’un point de vue purement littéraire, en ce comprise la note, essentiellement concernant la forme en excluant le fond, avec toute l’objectivité qu’il m’est possible d’avoir, quand bien même vous vous permettez d’affirmer péremptoirement son inexistence.
Contribution du : 22/04/2022 21:31
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Re : Shoshanna et Nancy vous remercient d’avoir regardé par leur vitre |
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Expert Onirien
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C'est bien le problème pour moi et c'est ce que j'ai exprimé dans mon commentaire, elle ne semble affectée d'aucune émotion malgré les horreurs qu'elle a vécu. C'est juste en discutant avec Anna qui me précisait qu'elle était coupée de ses émotions que j'ai fait cette proposition de dissociation. D'ailleurs, lorsque l'on est dissocié (dissociation traumatique) on se souvient parfaitement de ce qui s'est passé, mais de manière froide et détachée, c'est la partie émotionnelle qui a dijoncté. Merci pour le conseil de lecture, mais je connais très bien Muriel Salmona.
Contribution du : 22/04/2022 21:50
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Re : Shoshanna et Nancy vous remercient d’avoir regardé par leur vitre |
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Maître Onirien
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Citation :
Merci pour ce retour plein de louanges, Anna ! Tu as toute ma considération littéraire alors même si tu n'aime pas le terme, "bonne continuation" ;)
Contribution du : 22/04/2022 21:58
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... "En dehors du chien, le livre est le meilleur ami de l'homme. En dedans, il fait trop noir pour y lire" Groucho Marx. |
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Re : Shoshanna et Nancy vous remercient d’avoir regardé par leur vitre |
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Visiteur
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C'est moi qui te remercie et la considération est plus que réciproque :)
Anna
Contribution du : 22/04/2022 22:10
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Re : Shoshanna et Nancy vous remercient d’avoir regardé par leur vitre |
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Expert Onirien
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Bonjour Anna,
Pourquoi fantastique ? Je n'ai pas d'explication argumentée. Quand j'ai lu ce texte, je me suis simplement fait cette réflexion. Comme je ne bride pas toujours mon instinct, je l'ai partagé. Je pense que cette divine idée de vitre divinisée n'y est pas pour rien. Personnellement, j'estime que c'est un texte plutôt réussi, emmené par ce concept bien trouvé : dieu est une vitre. Superbe !
Contribution du : 22/04/2022 23:11
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Re : Shoshanna et Nancy vous remercient d’avoir regardé par leur vitre |
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Maître Onirien
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Bandini
Voici qu'à nouveau le vent se lève sur l'horizon, par votre entremise, et je crois qu'il s'agit d'un " vent mauvais " ! Vous excellez dans l'art ( si non de l'écriture, pour nous avoir montré ce dont vous êtes capable ? ) et venez semer le trouble, jusque dans la familiarité, qu'il peut y avoir entre Anna ( j'ose l'appeler par son petit nom, qui elle me gratifie de " papi "... alors que Cristale ne le fait pas ? Seriez-vous devin pour savoir les rapports que j'entretiens avec cette Grande dame, et belle personne ? Oui, je suis facilement impressionnable, quand on parle de talent, mais n'ai peur de pas grand-chose, à part Alzeimer ou Charcot ( heureusement, je ne souffre que... de Charcot Marie Tooth ! ) mes guibolles pourraient vous en toucher un mot ! je me trompe rarement en matière de méchanceté, renifle comme un fox cette odeur nauséabonde ; j'ai la faiblesse d'aimer la gentillesse et la générosité ( vous pourrez lire de mes poèmes où je plonge dans ce monde, où parfois je trouvai des reines, des rois ) J'aurais aimé parler de vos nombreuses parutions ici, et de la haute tenue de vos activités dans les divers forums ! Vous ne serez parvenu qu'à me casser, un peu, et me dire que tous les êtres ne sont pas égaux ! J'en ai marre de ces pirates qui viennent hanter la maison ; restez chez vous ! un papi qui en a gros sur la patate !
Contribution du : 22/04/2022 23:16
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Re : Shoshanna et Nancy vous remercient d’avoir regardé par leur vitre |
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Expert Onirien
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21/06/2020 15:07 De Béthune
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Bandini,
Vous n'êtes pas obligé de vous justifier. Vous mettez beaucoup trop d'affect dans tout cela. Ça ne fait pas longtemps que je suis de retour sur Oniris donc je ne suis pas au courant des histoires. Anna a peut-être été vilaine mais ça ne change rien au fait qu'elle soit douée. Non, ce qu'elle fait n'est pas si commun, il y a beaucoup de trouvailles dans ses métaphores et comparaisons. Une autre auteure qui a aussi ce talent, mais dans un autre style, c'est Gouelan. Quand vous parlez de flatterie, j'ai l'impression que vous parlez de Short Édition. Sur Oniris, je trouve qu'on s'en prend quand même plein la figure. Après, les histoires de copinage, de complaisance, c'est un peu partout pareil, mais sincèrement moins sur Oniris qu'ailleurs . J'espère que vous comprenez que je viens de revenir, donc je suis totalement neutre, et puis je suis un peu connue sur certains forums et pas mal de personnes pourraient vous dire que je ne suis pas quelqu'un d'influençable. Je suis une vraie tête de mule, incorruptible, je ne juge que par moi-même et je n'en fais qu'à ma tête. Et je tiens vraiment à mon indépendance d'esprit. Je n'ai jamais fait partie d'un clan, j'aime faire cavalier seul comme on dit, quitte à être seule contre tous. Je conclurai en disant que je ressens qu'il y a eu un souci avec Anna, sûrement des vexations qui ne sont pas digérées, et que ça explique la dureté de certains commentaires. C'est en ce sens qu'il y a un manque d'objectivité. Et pour info, moi aussi, j'ai l'intention de publier bientôt la suite d'une nouvelle sur le forum. Enfin, quand je l'aurai écrite...Voilà, c'est une façon de parler, tout simplement. Mais Anna a quand même moins de chance que moi de se prendre un refus... Bonne continuation sur le site. On verra bien comment tout cela évolue. Je vous sens un peu blasé, c'est dommage. Enfin, ça m'est aussi arrivé et c'est pour cela que je suis partie. Je me suis surtout rendu compte que c'est loin d'être mieux ailleurs...
Contribution du : 22/04/2022 23:40
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Re : Shoshanna et Nancy vous remercient d’avoir regardé par leur vitre |
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Timarisu Vous vous contredisez d' un post à l ' autre Je me permets de vous citer
---Vous commencez par écrire : Ce qu'on appelle en d' autres termes la dissociation . Il peut même y avoir une amnésie ( possibilité donc) ---Vous continuez : quand on est dissocié on se souvient parfaitement de ce qui s' est passé ( certitude , presque postulat) Deux versions différentes , on se souvient /on peut même se souvenir Une amnésie traumatique pendant laquelle on se souviendrait, qui plus est de tout ? Faut choisir , ou l ' amnésie ou la mémoire .les deux n ' existent pas en simultané . Une amnésie partielle , encore pourquoi pas . La partie émotionnelle qui a disjoncté . Jamais entendu parler de la disjonction des émotions Même dans Salmona; Un déplacement des émotions, encore ,oui, puisqu'il y a dissociation . Disjoncter c'est tellement vague , c'est juste une expression populaire : il a disjoncté .Ou il a pété les plombs Elle vous semble coupée de ses émotions . Simplement qu' elle ne les manifeste pas On ne peut savoir ce que ressent un autre, sauf les jumeaux paraît-il On ne peut qu'interpréter ce que l ' autre nous montre ou pas , et que nous on pense qu'il devrait nous montrer . Et là vous savez bien que dans ce cas on projette sur lui nos propres émotions . Se e couper de ses émotions", ça donne de bons débouchés, par exemple aux éditions, avec des livres comme " savoir maîtriser ses émotions, comment ne pas se laisser dominer par ses émotions etc L' auto thérapie a toujours trouvé preneur . Dans la dépression sévère , c' est l thérapie médicamenteuse qui le permet , les émotions négatives étant liées aux idées négatives Le tout sauf erreur, que vous saurez me notifier
Contribution du : 23/04/2022 00:27
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Re : Shoshanna et Nancy vous remercient d’avoir regardé par leur vitre |
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Bandini
Très osé votre poste, dites-moi J' ai vu par hasard que vous me citiez . Je dis par hasard car bien sûr , jamais je n ' aurais fait l ' effort de vous lire et j ' apprends que vous buvez goulument mes assertions Permettez-moi d ' être choqué C'est y donc vous qu' on appelle La goulue sur ce forum . Je comprends que mes assertions ne vous laissent pas indifférent(e) mais que ça reste entre nous Il y a des enfants , d 'âge mental bien évidemment qui lisent Une scorie de ma volonté J' ai demandé à ma volonté , n ' en reste plus une seule Une goulue en a été trop gourmand(e) Mon assertion philosophico- médical Heu..... Si vous mettiez plutôt médico-philosophique Parce que , entre nous, peut être avez -vous plus besoin de médical que de philosophie Hé, c'est vous qu' en parlez en premier La preuve , cette histoire de Com bilieux a assainir . Vous parlez du votre ? Il est malsain ? Il fait de la bile ? Mais savez -vous bien ,très cher (e) , que je ne suis pas gynécologue .
Contribution du : 23/04/2022 01:18
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