Bonjour à tous!

Un grand merci au CE pour avoir permis la parution de ce poème.

Poème sur l'enfance on l'aura compris, sur l'abandon aussi.
Sans être complètement autobiographique, ce texte parle de moi, notamment de ma relation compliquée avec ma mère, de mon "évasion" perpétuelle. C'est un peu un poème "exorcisme"...


MonsieurF

Vous trouvez que c'est un "bien joli poème" et cela me fait plaisir.
Je trouve très intéressante votre réflexion quant au rythme de mon poème car je ne l'avais pas envisagé. J'aime en effet "découper" mes pseudos alexandrins, et je crois bien faire... Pour le rythme justement... Bref heureux d'avoir ce retour qui va peut-être me pousser à envisager la chose sous un autre angle. Merci à vous pour votre passage.

Pimpette

Mais non voyons, il ne faut pas commenter avec des réticences!...
Donc si je comprends bien tu n'as pas beaucoup aimé car je sais bien qu'un "bien" chez toi équivaut à un "vraiment pas" chez moi...
Sinon tu dis que le garçon "n'est pas le même", qu'il "change" au fil du poème. Oui cela était un peu mon intention, le voir "grandir" justement. Donc même si cela ne t'a guère convaincu, je suis heureux de constater que ma démarche fonctionne un peu. Merci à toi!

phoebus

Vous semblez convaincu par mon poème et cela me fait plaisir. Vous évoquez parfaitement (mieux que moi très certainement) la démarche qui a été la mienne. Merci à vous!

Vincendix

Vous me dites que ce texte peut faire réfléchir, cela me convient parfaitement. Vous parlez de la "clarté" du message et cela me va aussi très bien. Je suis d'accord pour le manque de cohésion, ça part un peu dans tous les sens. Merci bien pour votre passage!

Alcirion

Poésie en prose? Oui vous avez sans doute raison. La comparaison avec Prévert me touche même si je ne la mérite sans doute pas et que je n'ai pas du tout pensé à lui en l'écrivant. Du travail? Heu... Pas vraiment.. J'ai la fâcheuse tendance à écrire d'un trait et à ne pas retoucher, donc à ne pas travailler... Mais Oniris m'aide à me soigner.. En revanche "longuement médité" oui on peut dire ça comme ça, ruminé même. Merci bien.

POUET

Non!
Un bien est un bien chez moi comme chez les autres!
Juste une petite restriction de rien du tout.

Quand je n'aime pas, je poubellise d'où l'impression fausse que je note toujours très haut...mais si j"aime je ne me restreins pas...je fonce...je ne relis pas avec une pince à épiler pour trouver un petit caca quelque part...je suis guettée par mon plaisir de lecture!

(Mais oui pimpou je taquine... )


troupi

Oui pour le côté personnel du texte, c'est très métaphorisé et imagé, je n'ai pas subi de bombes évidemment... Ce n'est pas vraiment conscient en fait, c'est en l'écrivant et après coup que je me suis aperçu que j'exprimais quelque chose de moi. Ce texte date de quelques années. Aujourd'hui je pense être passé à autre chose mais je crois que ce fut un besoin d'exprimer ce ressenti. Quoi qu'il en soit merci bien pour ton passage, au plaisir.

lylah

Je comprends parfaitement votre impression. Il est vrai que j'aime à varier de style avec plus ou moins de bonheur...(si le nouveau texte que j'ai envoyé est publié, vous pourrez à nouveau le constater... ) Là je me suis sans doute laissé emporté, je suis un peu parti dans tous les sens et ce poème mériterait d'être élagué, j'en conviens. Merci à vous!

Lulu

Je vous remercie pour votre commentaire, il m'a touché.
Pour vous le rythme que j'ai voulu insuffler au poème fonctionne bien, j'en prends note. Dans l'ensemble vous semblez adhérer à ma démarche et cela me fait bien plaisir.

StayinOliv

Bonjour et merci de vous être arrêté sur mon poème. Vous semblez avoir été convaincu par mon texte et je suis sensible à vos compliments.

Bidis

Merci bien pour votre commentaire. Bien sûr que si je parle de moi dans ce poème (inconsciemment au départ), il se veut "universel" et si vous vous y retrouvez c'est que le but est atteint.
Pour le vers "la lumière mutilée au parloir des stores", je voulais simplement mettre en opposition la "lumière", "le langage de l'extérieur, la communication" et "l'obscurité, la dépression derrière ces fenêtres fermées" Mais j'ai peut être mal exprimé la chose.
Cordialement.

Oui, mais comme j'étais en pleine enfance et que, sans les avoir vraiment connus, j'attribuais aux parloirs des institutions cette obscurité et cette mélancolie, je voyais les stores baissés et le grand soleil derrière. Mais si votre image est une métaphore, bien sûr, je n'ai rien à dire.

hersen

Bonjour et merci pour votre commentaire, j'y suis sensible. Merci d'autant plus car vous n'avez pas lâché le morceau...
Sinon oui des enfants j'en côtoie tous les jours depuis quelques années et cela m'apporte beaucoup. Je ne m'en lasse pas.
Bien cordialement.

Oui Bidis c'était bien une métaphore mais je comprends votre propos.

Wall-E

Bjr et merci pour votre commentaire. Vous avez en effet bien compris le thème évoqué, l'imaginaire notamment.