J'ai un doute : en néo "émues" compte bien deux syllabes ?

Pas de souci Arielle,

Un rayon de soleil caressa son visage
Avant de se lover, coquin, sur son corsage
En révélant des seins que j’avais bien espoir
De connaître dans l'ombre imminente du soir.

Allongée sur le sol, son regard semble triste.
Il erre dans les cieux, vague à l'âme d'artiste.
Sa main dans mes cheveux, la mienne sur son cœur,
J'abandonne pinceaux, palettes et couleurs.

Dans un élan fiévreux, je me rapproche d'elle
Et chante malheureux les grands champs d'asphodèles
Dont les hampes émues sur nos corps s'inclinaient.

Merci à Tizef pour les asphodèles
mais trop drôle aussi le coups de la mortadelle. :)

désolée pour la faute à coup
je reprends :

trop drôle le coup de la mortadelle

Un rayon de soleil caressa son visage
Avant de se lover, coquin, sur son corsage
En révélant des seins que j’avais bien espoir
De connaître dans l'ombre imminente du soir.

Allongée sur le sol, son regard semble triste.
Il erre dans les cieux, vague à l'âme d'artiste.
Sa main dans mes cheveux, la mienne sur son cœur,
J'abandonne pinceaux, palettes et couleurs.

Dans un élan fiévreux, je me rapproche d'elle
Et chante malheureux les grands champs d'asphodèles
Dont les hampes émues sur nos corps s'inclinaient.
Mon talent n'était plus, la muse s'enfuyait.

Fugu, il s'agit d'un sonnet où le vers 11 rime avec le 14
On va donc garder ton vers en réserve pour la chute
il reste à trouver deux vers à rime féminine pour faire le joint

Un rayon de soleil caressa son visage
Avant de se lover, coquin, sur son corsage
En révélant des seins que j’avais bien espoir
De connaître dans l'ombre imminente du soir.

Allongée sur le sol, son regard semble triste.
Il erre dans les cieux, vague à l'âme d'artiste.
Sa main dans mes cheveux, la mienne sur son cœur,
J'abandonne pinceaux, palettes et couleurs.

Dans un élan fiévreux, je me rapproche d'elle
Et chante malheureux les grands champs d'asphodèles
Dont les hampes émues sur nos corps s'inclinaient.

...
...
Mon talent n'était plus, la muse s'enfuyait.

Oups pardon, j'étais déjà au bout.

Je propose un final pas vraiment romantique mais qui a tout de même un certain mordant...

Un rayon de soleil caressa son visage
Avant de se lover, coquin, sur son corsage
En révélant des seins que j’avais bien espoir
De connaître dans l'ombre imminente du soir.

Allongée sur le sol, son regard semble triste.
Il erre dans les cieux, vague à l'âme d'artiste.
Sa main dans mes cheveux, la mienne sur son cœur,
J'abandonne pinceaux, palettes et couleurs.

Dans un élan fiévreux, je me rapproche d'elle
Et chante malheureux les grands champs d'asphodèles
Dont les hampes émues sur nos corps s'inclinaient.

C’est en négociant la phase décisive
Que chuta ma prothèse avec ses incisives…
Mon talent n'était plus, la muse s'enfuyait.

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Alex, vieux macho
Il te faut des rimes féminines pour respecter l'alternance

C'est réparé, zef ! V'là tes féminines... au-dessus, avec diérèse en prime !