D'abord un grand merci pour vos très bons commentaires sur les trois poésies qu j'ai déjà postées.
Une petite précision pour celle-ci, puisque l’ambiguïté semble gêner au sujet de l'identité des deux personnages féminins.
J'aurais peut-être dû le préciser, bien qu'il me semble que, amour amitié, ou fratrie (comme c'est le cas ici), pour moi en tous cas le sentiment d'incommunicabilité peut être le même.
Il s'agit donc de deux soeurs.
Encore merci, pour vos lectures constructives.

Bonsoir,

j'étais en train de chercher à quoi pouvait renvoyer ces "chacune" justement, il y avait les rimes des quatrains toute de genre féminin sauf les pleurs, mais ça ne collait pas trop. Je me dis aussi que présenté de façon anonyme, il n'y a pas de marque du genre de la narratrice, il y a quelques possessifs (me, m') et un (ton). La musique est jolie, les longues phrases des strophes coulent bien, et le final a du charme, mais la clé de la lecture des deux derniers vers est totalement absente du poème lui-même.

Le titre aurait pu servir à désigner ces "chacune", par exemple.

Merci David pour votre intérêt.
j'ai souvent eu besoin d'écrire sur cette blessure fraternelle et ça a toujours été difficile (pour moi) d'intégrer le mot "soeur" lui-même dans un poème, (j'avais mis une fois "ma soeur" et c'était assez catastrophique, sourire)..
Pourtant c'est un sujet "comme un autre", il doit bien y avoir un "moyen", mais je ne l'ai pas encore trouvé.
Peut-être en parler moins personnellement, par un biais du genre "entre soeurs"....
Et voilà la réflexion est en marche :)
Encore merci.