Remerciements à l’équipe de sélection et de correction pour avoir permis la publication de ce texte dans lequel je suis désireux d’exprimer la façon dont j’ai vécu cette période.

Merci à ceux qui ont laissé une trace de leur passage.

Merci Gil. Vous avez beaucoup aimé et passé un excellent moment à lire et commenté, c’est une satisfaction pour moi.
Et bien sûr Je suis preneur pour vos suggestions que vous pouvez me proposer sur ce forum.

Dynamisme et optimisme, c’est bien ce que j’ai voulu transmettre Miguel.
Je vais réfléchir à votre remarque visant à remplacer « un » confinement par « ce » ou « le ». Je vous sais gré de cette proposition. A l’origine, l’indéfini m’a paru refléter l’incertain de la situation. J’aimerais avoir votre avis sur ce point. Merci

Tu as bien résumé l’idée soutenant ce poème Papipoète. Et je me dis que ton ressenti de cette période correspond au mien avec la même envie de sursaut pour repartir. Merci.

Je vous remercie pour votre remarque pertinente Myo. Les maux n’ont probablement pas dit leur dernier mot, que ce soit le Covid ou d’autres évènements en latence.

Vous avez trouvé une bouffée d’oxygène dans ce texte. Cela me réjouit Provençao. Je vous suis reconnaissant de votre passage sur ce texte.

Merci, vu et pris note de votre commentaire Beaufond. Croyez bien que je n’ai aucune raison de vous remonter le moral à vous personnellement. Je ne comprends pas pourquoi vous vous sentez inclus contre votre gré. Car comme l’indique le premier vers, ce poème s’adresse à mes amis : « Quel bonheur chers amis de vous revoir ici. » Libre à vous de ne pas en être. Eux se reconnaîtront. Plus important je prends note que le fond du poème ne vous convient pas. C’est sur ce point que vous me donnez à réfléchir.

Je passerai répondre aux autres commentaires s’il vient s’en ajouter.

Le texte est ici:
http://www.oniris.be/poesie/robot-reprenons-a-grand-c-ur-notre-souffle-vital-11203.html

Mais voyons Robot, ne répondez pas à mon commentaire : il ne s'adressait pas à vous, mais à quelqu'un s'adressant à moi. Oublions donc !

Merci Corto pour votre commentaire.
Je suis bien d'accord avec vous que chacun a pu vivre cette période de manière différente. Disons donc que ce poème s'adressait d'abord à ceux qui, victime d'une sidération, avait pour un temps cessé d'écrire.