Bonjour,

et merci beaucoup pour la publication de mon poème "Près de nos îles".

Il s'agit d'un texte que j'ai eu beaucoup de plaisir à écrire et suis heureuse de voir que cela a pu être perçu, s'agissant d'un bon souvenir. Un poème transfigure toujours un peu une réalité, mais comme tout ce que j'écris, "Près de nos îles" sera pour moi une trace d'un moment qui a compté.

Comme vos commentaires sont assez homogènes, je ne vais pas les reprendre individuellement, mais sachez que je tiens compte de chacune de vos remarques qui me sont précieuses. Vous avez diversement apprécié ce texte. Certains ont préféré certains passages, estimé que certains vers étaient moins bons, mais au final, je perçois cela comme autant de sensibilités différentes. Je ne réécrirai pas ce texte parce qu'il est simple et se comprend aisément. Peut-être modifierai-je le "Je ne tergiverse plus" par "Je n'hésite plus", plus simple encore...

En tout cas, je vous remercie vivement les uns et les autres, egfrild, MonsieurF, Robot, Hananke, plumette, Personne, Pouet, leni, hersen, jaseh, Marite, et emilia.

Vos lectures m'ont éclairée sur mon approche. J'ai écrit ce texte un peu rapidement, me fiant à mon exaltation du moment, mais comme certains passages sonnent un peu moins bien pour certains, vous me rappelez gentiment, qu'un texte poétique se travaille toujours, même s'il est en vers libres.

Merci encore à tous, et au plaisir de vous lire

Merci Vincente, de votre lecture de mon poème "Près de nos îles".

Je suis contente de voir que ces mots vous ont touché. J'avais écrit ce texte avec beaucoup d'enthousiasme, même s'il s'agissait d'un souvenir, d'où l'emploi du présent, en effet. Chez moi, la plupart des souvenirs sont vifs. Je puise souvent en eux pour écrire.

Merci encore, et au plaisir de vous lire.

Lulu

Merci Lylah,

c'est drôle que vous me parliez de la dernière strophe, car je l'avais ajoutée, ne me décidant pas à achever ce poème qu'il me plaisait d'écrire... Comme quoi, j'aurais pu me fier à ma première intuition... mais je ne regrette pas tant les derniers mots qui me semblent encore suggestifs.

Merci, en tout cas, de votre lecture qui m'éclaire un peu.

Bien amicalement,

Lulu