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Un arrêt à Saint Marcel, ou ailleurs, remerciements
Expert Onirien
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29/07/2014 00:45
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D'abord un grand merci au CE d'avoir intégré "Saint Marcel" au catalogue d'Oniris. Merci aux correcteurs de s'être penchés sur ce texte et un grand merci aux différents commentateurs.

Des remerciements plus singuliers à Jeanphi et Donaldo qui ont eu la motivation et le courage de commenter en espace de lecture.
Un espace merveilleux où il est possible de découvrir des textes qui le sont tout autant. Qu'ils soient publiés ou non, il y en a pour tous les goûts ; et c'est toujours très enrichissant.
N'hésitez pas à y commenter ! =)

"Saint Marcel" est inspiré d'une expérience réelle. J'ai tenté de coller le plus possible à cette situation. Le réalisme est un exercice difficile pour moi et j'essaie de m'y employer le mieux possible. Evidemment, il y a nécessairement des ratés, des maladresses, des éléments à perfectionner, mais je suis malgré tout plutôt satisfait d'avoir réussi à rendre ce côté "réel" que je peux lire dans les commentaires.
Le sens profond du texte n'a rien de particulièrement saisissant ou d'extraordinaire, je me suis vraiment intéressé à cet objet, du "presque rien" pour certains, qui donne à l'humanité quelque chose qui me ferait presque croire en elle.
Peut-on adresser un compliment à quelqu'un, sur sa beauté qui plus est, sans la moindre arrière pensée, sans que cela ne soit perçu pour autre chose qu'un simple compliment ?
Comment vous sentiriez vous, si vous receviez un compliment, inattendu, dans une journée grisée ?
A la lecture des commentaires, j'ai bien cette dommage impression que cette idée de l'humanité que je m'imagine de temps en temps, ne restera qu'une lointaine idée. Je le comprends, avec résignation.

Je reviens rapidement sur les différents et nombreux commentaires (je ne m'attendais pas à en recevoir autant), qui ont soulevé des points très intéressants.

Jeanphi : Merci pour le commentaire et avoir pris du temps en espace de lecture pour me le laisser. En effet la virgule n'est pas nécessaire dans la phrase que tu cites. Sur l'instant, quand je l'ai écris, je pensais amener une pause à la lecture, pour insister sur ce "elle", pour signifier l'importance de sa présence. Avec du recul, pas convaincu de mon choix.
Le personnage manque peut-être de sommeil, en revanche il ne manque pas de naïveté en effet, et l'espace d'un instant, s'est probablement senti candide.

Donaldo : J'y arriverai ! Je l'espère, je l'attends, mais un jour, je le dis, j'y arriverai ! J'ai l'espoir de lire un jour un commentaire mélioratif, peut-être pas en tout point, mais suffisamment pour me dire que "ah, enfin !" je ne t'ai pas laissé une lecture désagréable.
J'ai beaucoup aimé la tournure de ton commentaire, j'ai souri, peut-être même un peu ri (pas jusqu'à verser un goutte d'urine je te rassure), mais cela m'a amusé ; et l'intérêt d'un sourire dans une journée, c'est à peu près tout ce que tend à montrer ce texte.
Je ne suis pourtant pas un habitué des narration à la troisième personne du singulier, mais j'ai tenté, pour voir. Remarque, que ce soit à la première ou à la troisième, ça ne change pas vraiment tes appréciations. Mais ça viendra !
Rassure moi, tu n'as pas sérieusement penser que la personne d'Oberkampf apparaissait dans le métro ? Aurais je dû préciser "la station Oberkampf" ?
Une autre fois, ton cerveau s'émoustillera ! Ou pas

Jemabi : Merci pour le retour et merci d'avoir souligner cette énorme maladresse qui m'a échappée ! Pour être sincère, j'ai retravaillé la phrase juste avant de l'envoyer sur Oniris. Il y avait une répétition du mot "tête", que j'ai souhaité évité. Sauf que... en modifiant... je n'ai pas fait attention que cela impacté la suite... Bref, mea mega culpa (désolé pour les latinistes).
Pas certain que mes "intentions" aient été réellement perçues, si tu utilises le mot "draguer" dans ton commentaire, mais ce n'était probablement pas bien exécuté de ma part.

plumette : Merci pour le commentaire et ta sincérité. Adepte du "presque rien", j'espérais résonner davantage dans ton appréciation, mais il lui manque quelque chose que socque et toi avaient peut-être discerné. Je sais rarement quel temps/conjugaison utilisé lorsque j'écris. Ici je ne m'étais pas posé la question et m'étais tourné directement vers le passé ; mais il y avait peut-être mieux à faire pour donner plus de "force" au récit.
Le début et les allers-retours entre la gare et la Pitié (l'hôpital oui) ne m'ont pas paru être particulièrement nécessaires à développer. L'idée étant seulement d'inscrire n'importe qui dans la situation, faire en sorte que chacun puisse se projeter dans ce type de situation, que j'imagine, la plupart des gens ont vécu. Du moins j'espère.

socque : Un grand merci pour ton commentaire. Je suis également un grand fan de riz au beurre ! Mais c'est vrai que... si on en met trop... ça peut devenir écoeurant ! Il y avait encore probablement des simplifications à faire, des lourdeurs à éviter, pour fluidifier le texte et le rendre plus vivant. Merci de m'avoir mis en évidence le passage cité dans le commentaire.
Le sujet me paraissait intéressant, pas simple certes, mais peut-être que cela donnera des idées à d'autres dont la plume est plus affûtée !

Cyrill : merci pour le retour ! Quidam oui, c'est l'objet du texte en soi, faire en sorte que chacun puisse se projeter dans le personnage, sans trop en faire pour qu'il puisse réellement se mettre à sa place. Quant au travailleur social, ma foi, je n'en suis pas particulièrement un, et pourtant je tiens ce type de raisonnement. Il faut parfois réussir à transgresser les propres limites de sa perception de la vie, et se projeter dans celles que les autres peuvent avoir (au grés de leurs expériences propres). Pas simple, évidemment.
Je te laisse maître du doute de l'authenticité des pensées, après tout, il demeure encore de multiples incrédules concernant la rotondité de la Terre.
Les maladresses d'écriture peuvent être considérés comme des maladresses si on les emploie dans le sens strict, et si l'on n'accorde pas de crédit à l'évolution du sens des mots, de l'écriture, et du vocabulaire. Les licences poétiques (qu'elles soient présentes en roman/nouvelle/poésie/chanson/slam etc.) sont la clé de l'épanouissement et de la diversité du langage actuelle ; pourquoi s'en priver ?
Ah... ce "gars là" ne se ment pas à lui-même. Mais il comprend que du coin de l'oeil de cette société étroite, oui, il puisse paraître bonimenteur. Peu importe. Ni flirt, ni drague, ni fantasme, ni romance ; juste une envie anodine, faire un compliment à quelqu'un, pour égayer sa journée. Ou mieux, recevoir un compliment de quelqu'un, sans raison, et que cela égaye une journée assombrie.
Il y avait probablement de quoi faire rêver, mais cette histoire n'est pas un rêve, juste une réalité. N'y aurait-il rien de plus déprimant que la vie ? Certainement. Ces riens, auxquels on prête peu d'attention, sont pour autant les quasi tout de la vie. Encore merci pour t'être arrêter en commentaire.

JohanSchneider : Et bah ! Si je m'y attendais... Un grand et énorme remerciement pour ce commentaire qui m'a donné un sursaut d'espoir quant à la teneur de ce texte, que j'espérais à minima perceptible. Je ne connaissais pas l'unanimisme, ni les auteurs cités en commentaire (il faut dire que ma culture littéraire me fait cruellement défaut,) mais de ce que j'en ai lu, on pourrait en effet intégrer ce texte dans l'une de ces franges. Du presque rien, partout, pour tous, si on fouille un peu.
Merci d'avoir pris le temps de fouiller, de creuser, et d'avoir pris le temps de laisser ce commentaire.

Malitorne : De la souffrance ? Zut ! Nulle envie de faire souffrir quiconque ! Bon... une prochaine fois ça ira mieux, du moins j'espère.
Mais non voyons ! Pas de basses pulsions ici ! Le sujet était plus délicat, allons Malitorne. S'il avait été question de fantasme et de pulsions, évidemment qu'il l'aurait retournée sur la banquette sans la moindre hésitation ; et toute la rame s'y serait probablement joint dans un élan de sobriété sentimentale.
De l'originalité dans un plan à l'hôtel avec un(e) inconnu(e) ? Mais de quelle génération es-tu ? C'est d'un banal pour la jeunesse.
Le texte manque en effet probablement de naturel ceci-dit et la recherche, pas à tout prix, mais la recherche tout de même, d'écrire des phrases qui laissent des traces, peut parfois creuser des sillons qui nuisent à la pérennité du socle... Je dois l'avouer.
La prochaine fois, en tout cas, promis, moins de convenance ! (ou pas la prochaine fois, mais un jour).

Marite : Merci pour le commentaire ! C'est en effet une banalité, une anecdote, qui cachait probablement un message trop en filigrane, mais l'objet est seulement de le partager, de dire que cela arrive, à chacun probablement, et tant mieux.
A nouveau mes excuses pour cette phrase qui m'a totalement échappé. J'ai déjà donné des précisions dans les retours à Jemabi. Vraiment navré pour cette maladresse. Encore merci !

Vilmon : Merci pour le message, mais à nouveau je me dois d'insister, pas de flirt ici ! Du coup... sa femme et sa fille n'ont pas à être particulièrement présentes dans le récit, encore qu'il se permet de les annoncer, c'est bien qu'il y pense ! Mais dans sa démarche, rien d'immoral, tout de louable : un compliment, un simple compliment. Il ne la "veut" pas, il souhaite seulement égayer sa journée. Ou plus précisément, il souhaiterait simplement quelqu'un lui égaye la sienne. Bon... trop ambitieux et pas suffisamment perceptible à priori. J'engage ma responsabilité, une autre fois peut-être.

Pouet : Merci pour le passage et merci d'avoir pris le temps de laisser un commentaire. En effet, c'était une stratégie réfléchie afin d'attirer tous les hagiographes, repentis ou non ! Tu es tombé la tête la première dans le métro.
Si tu t'y serais presque reconnu, je m'en réjouis ; quant à la folie... ça se danse.
Merci pour le retour et à nouveau désolé de t'avoir berné avec le titre (ce n'était pas prémédité, évidemment).

Au final, ce récit n'aura pas été plébiscité, mais qu'importe. Je vous remercie toutes et tous d'avoir pris le temps de me faire un retour dessus. D'avoir apporté des pistes d'amélioration, des remarques sur l'écriture, sur certains passages, sur cette affreuse maladresse ("la sienne") ; je me nourris à chaque publication de vos retours, tous sont précieux, et s'ils permettent si ce n'est que faire réfléchir un auteur sur ce qu'il a écrit, c'est un point plus positif.
Alors écrivez, commentez, appréciez les retours (tous ! même ceux qui vous enfoncent sous l'humus naissant), et continuez d'écrire, de commenter.

Encore merci à toutes et tous pour la vie de ce site,
Au plaisir de vous lire à nouveau,
A bientôt,
Asrya.

Contribution du : 08/06/2023 11:14
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