Merci à nouveau à tous celles et ceux qui ont permis à ce texte d’arriver en ligne – le CE, la fée Marimay qui accueillit un dernier repentir, Pouet, qui lui a donné sa chance en EL, puis aux commentateurs-et-trices, qui lui ont consacré un peu voire beaucoup de leur temps, avec des résultats très polarisés (ce qui fut l’occasion d’un grand ‘emotional roller coaster’, au fur et à mesure que je les ai découverts !) : papipoete, jeanphi, Robot, Edgard, Eskisse, Provencao, Elena, et bien sûr, Louis – pour qui je suis très heureux qu’Edgard ait pris l’initiative d’un fil de remerciements spécifiques : c’est en effet l’occasion d’un bonheur 'intellectuel' que de suivre pareille analyse, et d'un autre que je n’avais pas encore éprouvé avec une telle force, de sentir que le texte échappe à son auteur, qu’il n’est plus ‘sa chose’, qu’il vit de sa propre vie, va de son propre mouvement avec ses propres jambes ! Je le souhaite (ce bonheur) à chacun.e des membres de la communauté, c’est fabuleux.

N’étant plus qu’un commentateur parmi d’autres, je n’ajouterai que quelques remarques / précisions :

- Plutôt que la citation de Melville, ou en plus d’elle, j’aurais dû préciser pour rendre l’abord plus facile, qu’un « tapis mendiant » n’est pas un « tapis de mendiant » mais une production textile faite de chutes de tissus (une construction de ‘bouts de ficelles’) qu’on désigne plus communément par l’anglicisme ‘patchwork’.

- De même, le manteau d’arlequin est d’abord un terme de théâtre, qui désigne les panneaux servant de cadre au décor quand le rideau est levé.

- ‘La peau de mes os’ cherchait à évoquer la peau ‘physique’ sur laquelle la ‘peau de langage’ vient se poser pour faire d’un primate supérieur un être humain – qui porte le monde comme un Atlas, ce cosmos en expansion, comme soufflé de l’intérieur par on ne sait quel phénomène physique (vent) ou métaphysique (dieu)…

Encore merci à tou.te.s,
Belle fin de journée dans ce contexte chahuté…

Slt,

je n'ai pas donné sa chance au texte, c'est le CE... Je ne suis qu'un commentateur mendiant cherchant partout des chiffres treize, allez savoir pourquoi, je n'aime pas les desserts.

Merci pour le retour

Salut Pouet,

Ne souhaitant pas que le post #1 puisse être interprété comme une atteinte à la souveraineté du CE - il m'a simplement semblé que le commentaire en EL avait pu avoir une influence positive sur la décision prise de mettre le texte en ligne...
En espérant que la recherche du Treize ne vous mènera pas à faire toute une Cène, d'autant que le dessert y fut en effet assez brutal.
Bonne journée.

Salut, non c'était pas une histoire de sacrosainte souveraineté non plus, j'en étais pas à agiter des banderoles Mac Do sur la place Kim Il-Sung. C'était juste pour dire quoi. Mais bon dire... en général on ne fait que pousser la poussière sous la carpette.
En tout cas beau tapis mendiant.


A plus

Merci beaucoup Eki, d'avoir fait remonter ce texte des profondeurs du catalogue, et de lui avoir accordé une appréciation aussi flatteuse !