Sur Mars est une petite nouvelle sans prétention qui cherchait à marier avant tout science-fiction et poésie. Je voulais intriguer le lecteur pour qu’il ne lâche pas l’affaire et le surprendre totalement à la fin. On dirait que ça a fonctionné.
C’est étonnant qu’une seule personne ait relevé que les découvreurs étaient Chinois et non pas Américains, comme si dans les esprits la conquête spatiale leur était déjà acquis.
Merci à tous ceux qui ont permis sa publication.

Bien vu socque, je n’avais pas fait attention à cette incohérence concernant l’atmosphère de Mars. Bottines ou pas bottines pour le Petit Prince ? Bah, la vérité c’est qu’il les enlève quand ça lui chante.
Je regrette un peu dans tes commentaires que tu ne parles jamais du style, de l’écriture, une donnée pour moi aussi importante que le fond.

Merci Cherbiacuespe d’avoir apprécié ce texte, je voulais en effet une chute qui surprenne le lecteur par son changement de registre.

C’était mon but Donaldo : capter le lecteur, éveiller sa curiosité pour qu’il ne lâche pas le récit et le surprendre à la fin. Une simple intrigue de sf ne m'intéressait pas plus que ça.

Vous avez raison Corto, j’aurais dû choisir une date du calendrier chinois. Mon ethnocentrisme m’a fait oublier que tout le monde n’a pas les mêmes repères temporels. Merci de me le rappeler et pour votre commentaire encourageant.

C’est vrai Robot que le déroulé du récit peut sembler long par rapport à une chute expéditive. Mais j’étais obligé d’en passer par là pour égarer le lecteur et l’emmener vers un final inattendu. Merci de votre lecture.

« très mal écrit de la première à la dernière ligne» comme vous y allez Ferrandeix ! Je suis ouvert à toutes les critiques mais quand elles sont aussi radicales j’aimerais comprendre. Je ne demande qu’à m’améliorer, qu’est-ce-qui vous fait dire que l’écriture est mauvaise ?

Votre commentaire est si court Arsinor qu’il n’a strictement aucun intérêt pour moi. Je dirais même que c’est un manque de respect quand on le compare aux commentaires détaillés que j’ai pu faire sur vos écrits. La prochaine fois abstenez-vous ou portez une appréciation digne de ce nom.

Eh bien, Malitorne, pour tenter de vous défroisser, mais il restera les plis, je dirais que votre texte a une tension dramatique croissante accompagnant le suivi des pas débouchant sur l'effet de surprise amusant des cheveux blonds dans le vent spatial, au lieu de l'affreux alien attendu. Le PP est-il pieds nus ? Ce n'est pas prévu par les dessins bien connus. Mais il a bel et bien des cheveux. Surtout, si le PP vient sur Mars, c'est pour apprendre quelque chose des adultes, de l'empereur, de l'ivrogne et des Chinois munis d’une fusée. Il leur aurait posé des questions difficiles comme "pourquoi avez-vous des combinaisons orange ?" et les taïkos auraient bredouillé trois douces absurdités "c'est pour analyser la composition du sol" "pourquoi ?" "c'est pour augmenter les connaissances en géologie" "pourquoi ?" "pour mieux connaître les roches constituant la Terre euh enfin" ou encore "c'est pour impressionner les Américains..." "une équipe de 10.000 personnes a contribué à construire ce vaisseau spatial mais il y a euh des retombées économiques" "ne demande pas ça, c’est retransmis en direct" et amener le lecteur complice à s'apercevoir qu'ils sont tout aussi à côté de la plaque que l'empereur et que l'ivrogne. Car enfin, pourquoi Mars ?

Hé ben voilà Arsinor un com qu'il est bien ! Marrant en plus

Merci Ombhre pour votre commentaire. Vous n'êtes pas la seule à regretter une introduction trop longue comparée à la brièveté de la chute finale. En fait tout le texte repose sur l'effet de surprise, je ne me voyais pas poursuivre le récit. Et quoi dire après, où l'emmener ? Je n'en avais aucune idée, si vous avez des suggestions je suis preneur...