Encore une fois, un grand merci au CE et aux commentateur lecteurs (Vilmon, senglar, Perle, Hersen, Papi, Johan, Don, Widjet, Corto) pour avoir pris de votre temps sur ma petite nouvelle. "Reflet dans une mare de boue."

Pour faire très court, et c’est Corto qui a vu juste : C’est un premier jet que j’ai laissé quasiment en l’état en songeant aux mots de Malitorne qui me reprochait d’être « excessivement littéraire », ce qui expliquera pour certains cette impression de « taillé à la serpe ». Pour l’inspiration, je n’avais pas Zola en tête, mais deux romans que j’adule. Les derniers jours d’un condamné et l’Astragale.

Il va de soi que je vais, un jour ou l'autre, retravailler et étoffer ce récit pour essayer d'en gommer toutes les imperfections

Encore merci

Anna

Merci, Anna, de cette précision qui explique ton approche en termes d'écriture. Comme quoi, s'il fallait le rappeler, les commentaires sont importants car ils permettent aux auteur(e)s de tenter autrement.

You're welcome

@Poldutor : Merci pour votre passage et votre commentaire bienveillant. Des fleurs et des bébés, ce n'est pas vraiment mon registre, et le fait est que je suis assez branchée noirceur et misère... Je l'avoue. Mais comme j'essaye de toucher à tout, allez savoir si je ne serai pas un jour touchée par la grâce de la fée de la littérature enjouée et angélique ? Avec mon amitié

@Angieblue : Merci pour ton passage, petite fleur bleue électrique. Me freiner ? Nan… Wazemmes ? Bin oui, j’ai passé beaucoup de temps à Lille plus jeune et j’y retourne régulièrement, j’aime beaucoup cette ville. Pour tes questions : l’histoire se situe plutôt au milieu des années 20 et elle va à la guillotine parce que : « Le faux pas. Deux bourgeois éveillés qui auraient dû dormir… » Comprendre qu’elle a été surprise en train de les cambrioler et qu’elle les a lardés de coups de couteaux avant de faire serrer par la police. C’était pas super explicite, j’admets. Je suis un peu étourdie mais je vais essayer de ne pas perdre mon style. A bientôt.

En fait, modérer ton style, ça serait comme couper les couilles d'un étalon...

Berk... De toute façon, je ne saurais pas faire...

Hier, en commentant ton texte, je cherchais une image adéquate pour illustrer mon propos. Et celle-ci m'est venue après coup.
Je ne suis pas certaine que ce soit un bon conseil lorsque l'on te dit que tu en fais trop au niveau de la richesse de ton style.
je me dis que ce que tu produirais tomberait dans le banal, voire le scolaire.
Mon avis est donc que tu dois écouter ton instinct, ton inspiration, ta virtuosité et non certains lecteurs qui veulent te brider dans ta puissance productive, d'où l'image que j'ai utilisée pour illustrer mon propos
.

Ah mais tu sais je prends en compte les conseils des gens qui me paraissent pertinents, mais le problème, c'est que quand j'écris, pouf mon naturel reviens et je fais du Anna

Si je peux me permettre le trop ne qualifie pas le style... Mais les babillages incessants, qui n'apportent rien à l'histoire, surtout quand la narration ne s'y prête pas.

Ananas, commentateur de l'inutile mais pas encore muni d'un labrador...