Je viens d'y repenser, Cyrill, si vous avez du temps et un peu de moyens, il y a encore mieux. Des voyagistes comme Alliance Voyages, boulevard Raspail (s'ils existent encore) mais il y en a d'autres propose des circuits (mais c'est en car) d'une semaine qui font Vienne-Prague-Budaspest - trois des plus belles villes d'Europe, le rêve ! (avec hébergement et demi pension) pour des tarifs tout à fait raisonnables.

Après il faut aimer l'autocar et la promise cuitée

Anna

"La place rouge était vide
Devant moi marchait Panizzi
Il avait un joli nom, mon guide
Panizzi..."

Delanoé déjà s'extasiait et Bécaud s'enflammait

Ah ah, pour vous emmener sur la Place Rouge, il faudra attendre un peu, il parait que c'est pas très conseillé en ce moment... A moins d'aimer les séjours sportifs^^

Eh oui ! Budapest déjà ! Aujourd'hui Kiev Hélas !

EDIT pour Tata Ananas,

Après réflexion et relecture de ton commentaire :

Dans "si captif " tu ne vois pas l'utilité du Si autrement que pour la métrie. J'ose te rappeler qu'il y a six définitions du Si comme hypothétique et deux non hypothétique Voir : Si -définition, synonyme,conjugaison, exemples site du Petit Robert : Le Si de "si captif" a au contraire ici toute son utilité puisque c'est le Si destiné à marqué une intensité.

Tu vois encore "dépôt de tendresse" comme répondant a un besoin métrique itou. Je te remets en situation : deux amoureux attablés à boire du vin. Dans une bouteille, le dépôt est une sédimentation durable. Le vin peut s'évaporer, restera le dépôt. Et écrivant de la poésie, dans le flacon de l'amour je vois la tendresse rester comme son sédiment une fois la passion disparue.

Encore selon toi pour une raison de métrie, (ça sent l'obsession^^) Tu me reproches "ressentir" au "lieu de sentir " C'est curieux que sur un site littéraire tu ne saches pas faire la différence entre
"ressentir" qui est du domaine des émotions, de l'affectif ou des sensations et "sentir" qui est du domaine purement des sens. Et si je ressens de l'effroi, l'effroi est précisément une émotion, donc mon choix est justifié contrairement au tiens.

Tu as visiblement quelque chose contre le contemplatif. Pourtant la poésie contemplative existe, tape ces mots sur le Net. Je cite Christian Bodin, déjà maintes fois mentionné sur Oniris, qui écrit : "Habiter poétiquement le monde, c'est aussi l'habiter en contemplatif."

Tu te dis déboussolée par mon texte, que ton intérêt se tasse... Insiste !, insiste ! Le talent n'est pas une maladie contagieuse se transmettant par la lecture. Bon je plaisante, mais au soleil de midi ta critique est visiblement à charge et mal argumentée. Cela me rappelle celui qui écrivait "Il en est des critiques comme des munitions, il existe des charges creuses "

Alors moi aussi, chère tata, avec mes excuses et bisous^^

Bonne continuation

Citation :

je savais pas qu'il existait une version féminine du mansplaining, apparemment si. Merci pour l'illustration.
Des années d'études littéraires pour me faire donner une leçon de vocabulaire c'est mignon.

J'avais compris. Juste pas apprécié. Ce qui entre nous est un droit fondamental en art et ailleurs...


Citation :

à nouveau, et bizarrement, je ne conteste pas le sens, je conteste l'utilisation dans ce contexte de ce terme compréhensible certes, mais maladroit dans l'ensemble.

Citation :

je ne fais pas de choix, je n'apprécie pas celui que tu m'offres, pour des raisons de rythme ici, si tu veux du détail avancé.

Je trouve tes réactions d'une violence inouïe.

C'est une des raisons pour lesquelles j'évite de trainer ici.

Ton égo, tes choix, ton "talent" je m'en cogne en fait.
Je viens lire une poésie qui ne m'a pas convaincue.
En tant que lectrice lambda je n'aurais pas accès à tes explications, là, malheureusement, j'y ai droit... hum...


Citation :

L'idée, à nouveau, c'est que - et comme je l'ai souvent dit dans mon commentaire - d'après moi, selon mes gouts, avec mes filtres, ou si tu préfères avec toute la subjectivité née de mes lectures, écritures et autres, j'ai pas aimé.
Que tu le veuilles ou non, tu n'as aucun impact là dessus.
Et me prendre de haut et me faire la leçon, ça ne te grandit pas.
Ca dénote simplement, comme hier sur le chat, une agressivité dirigée quand on ne te brosse pas dans le sens du poil.

Alors, à nouveau désolée mais tes explications agressives ne me convainquent pas plus que ton texte.
Et à nouveau c'est mon droit légitime de lecteur.

Ce qui ne remet pas en question ni ton "talent indéniable" ni ta manière plutôt désagréable de discuter de ton texte.

J'espère que tu comprendras mieux mon commentaire.
Dirigé sur le texte, sa métrique, sa prosodie, la poétique que j'y ai ressentie. Ces choses m'appartiennent à partir du moment où tu me les offre en lecture.

Là dessus, je vais repartir ailleurs, où les gens sont sympas et pas sur la défensive. Des fois qu'on se demanderait encore pourquoi je viens plus... ou pas.

C'est ton droit de réponse et je l'ai lu avec attention même si je suis en désaccord...

"Des années d'études littéraires..."

Sans vouloir prendre parti (je suis un pleutre) la sagacité, la qualité, l'autorité ne se jugent pas au nombre des diplômes.

Ananas doit peut-être penser que j'ai fait les miennes (d'études) dans un stand de crêpes et beignets...

Bref, la discussion est close, nous sommes dit, chacune, ce qu'on avait à se dire...

bien sûr, ce fil est celui du poème et de rien d'autre :)