Mais non, il est bien de moi cher Monsieur. J'en assume le cabotinage. Je parlais seulemt du déjà ancien "Allo quoi?" de Nabilla que je cite pour illustrer le contenu moyen des infos.

Je parlais du précédent !...

Il est bien de moi également.

Très fort alors ! Donc, je suppose que vous parliez de la citation de « ardrent »... qui signifie ?

Merci. J'évoquais plutôt d'autres discussions. Ardrer est un archaïsme, c'est une forme parallèle pour arder qui a donné ardent et qui signifie quelques chose comme brûler ou élancer.

J'ai un petit faible pour les archaïsmes quelquefois

Ores de vains échos mélodieusement
Parés comme des heurs solaires et subtils
Ardent, éparsemant les heures difficiles
Sur le secret accorte et grave des amants.

Alors là, Monsieur, vous surclassez !... et de plusieurs étages !
... Et vous sauriez y associer la grammaire de la même époque... non !?

Non, ou avec beaucoup d'incertitudes, j'ai un petit bagage sur le sujet mais modeste en l'état. Il faut dire que la langue du XVIeme n'est pas fixe : une vraie effervescence langagière. Cette créativité la rend extrêmement intéressante pour tout amoureux des mots et des sons, d'autant qu'elle demeure quand même proche de la nôtre, ce qui la rend bien plus abordable que l'ancien français.

Dans la cacophonie
De cette vile nuit
Quelqu'un s'ôta la vie
Priez priez pour lui

Dans l'abondance du regard
Où se perd le vent des âges
Un oiseau passait
Juste avant l'orage

@ Klingsohr

Monsieur MaGloire de ce lieu,
C'est à vous que je dois MaPlume !
J'en jou-is tant que je m'enrhube...
MEEER...TCHOUB ! Beussieur ! et Gloire à Dieu !