Bien vu, Koko

Aussi, je veux brûler d'une flamme sincère,
Que le feu quelquefois d'une très tendre femme
Vienne mon coeur almer, dans la nuit consumer
Entre ses beaux bras blancs la cire de la chair !

Sans rire ?... j'ai mis dans le mille !?
... koko trop fort !
À plus, Kling, t'amuss' plus !

EDIT : Putain, il est fort quand même ce jeune k.. héhé !
Signé : un vieux k.. haha !

De son âge, j'ai le double.
Le perdreau semble doué.
Bientôt, je verrais trouble.
Lui baisera les fées.

@Blase

Mais je connais déjà leurs scintillati-ons :
La fée verte d'abord et puis la fellation
Dont le baiser étrange a des langueurs, de celles
Au soir, qui font suer sur leurs draps, les pucelles.

J'ai des élans romantiques, Anche io

Elle est telle une fleur que je voudrais cueillir
Je n'ose l'arracher à son jardin tranquille
Par crainte de froisser sa corolle fragile
D'un brusque mouvement qui la ferait souffrir

En pentamètres iambiques anglais :

Yet dark but bright your beauty shone o'er
My soul and sorrow like a star of sunrise,
But drop your light, ye Poetry ! dim your eyes
To let my voice express clearer, nearer !

Cependant, sombre, mais lumineuse pourtant, ta beauté a brillé
Sur mon âme et mon chagrin comme un étoile au lever du jour,
Tamise ta lumière ô Poésie ! Assombris tes yeux
Pour permettre à ma voix d'être plus claire, plus proche !)

au bord de la venelle
je l'ai senti venir
au cœur des pucelles
il faut savoir tenir


Je me souviens d'un cul, fort enthousiasmé.
Elle criée "ou mon dieu", lors je la pilonné.
Croyez-moi mes amis, prières furent exaucées.
Je suis, mauvais chrétien, mais j'eu bonne pitié.

Ecoute, écoute un peu le grand arbre qui ploie,
Qui tremble en s'effeuillant dans le soir de l'automne,
Lors que le vent furieux au travers tourbillonne,
L'éphémère te hèle et se souvient de toi...

N’abusons de printemps car en fin les ans-blâment !
Les pas du sûr chemin mal menant aux hivers
Profanent d'un pied gourd la fleur des âges verts ;
Survivront de l’affront quelques copeaux infâmes...