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Re : Un univers à tous les étages
Onirien Confirmé
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Il était une fois dans le Multivers…


Aujourd’hui, à l’étage 87 tiret ∞, un homme avance à vélo sur un chemin sans nom.

Cet homme, c’est Timy le facteur.

Celui qui arrive toujours à destination.
Le messager dans le temps et l’espace.

Timy le facteur a toujours une lettre à remettre en mains propres, quelque part, à tel ou tel étage de la grande structure cosmique.

Aujourd’hui ne dérogeant pas à la règle, le voici donc qui avance.
À vélo.
Dans le vent.
Soudainement sous la pluie.

Le voici qui arrive enfin face à la plus ancienne entité de ce monde…

L’entité l’envisage d’un regard de braise.
Timy lui remet la lettre qui lui est destinée.
Remerciement rougeoyant du regard.
Le voilà qui s’en repart.

La pluie a cessé à l’étage 87 tiret ∞.
La plus ancienne entité de ce monde
lit sa lettre dans le vent léger.




Vous retrouverez Timy le facteur…

Contribution du : 19/12/2023 23:57
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Re : Un univers à tous les étages
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Étage 88 tiret ∞


Espace, Temps et Imaginaire…


... À l’infini ... à l’Infini ... à l’un fini ... à L’un-fini ... À
l’un Fini ... à l’Un fini ... À l’un-fini ... à L’Infini ... à
L’infini ... à l’INFINI ... à L’Infini... À l’infini ... à l’Infini
... à l’un fini ... à L’un-fini ... À l’un Fini ... à l’Un fini ...
À l’un-fini ... à L’Infini ... à L’infini ... à l’INFINI ... à
L’Infini ... À l’infini ... à l’Infini ... à l’un fini ... à L’un-fini
... À l’un Fini ... à l’Un fini ... À l’un-fini ... à L’Infini ...
à L’infini ... à l’INFINI ... à L’Infini ... À l’infini ... à l’Infini
... à l’un fini ... à L’un-fini ... À l’un Fini ... à l’Un fini ...
À l’un-fini ... à L’Infini ... à L’infini ... à l’INFINI ... à L’Infini
... À l’infini ... à l’Infini ... à l’un fini ... à L’un-fini ... À l’un Fini
... à l’Un fini ... À l’un-fini ... à L’Infini ... à L’infini ... à l’INFINI
... à L’Infini ... À l’infini ... à l’Infini ... à l’un fini ... à L’un-fini
... À l’un Fini ... à l’Un fini ... À l’un-fini ... à L’Infini ... à L’infini
... à l’INFINI ... à L’Infini ... À l’infini ... à l’Infini ... à l’un fini
... à L’un-fini ... À l’un Fini ... à l’Un fini ... À l’un-fini ... à L’Infini
... à L’infini ... à l’INFINI ... à L’Infini ... À l’infini ... à l’Infini...
à l’un fini ... à L’un-fini ... À l’un Fini ... à l’Un fini ... À l’un-fini
... à L’Infini ... à L’infini ... à l’INFINI ... à L’Infini ...

Contribution du : 19/12/2023 23:59
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Re : Un univers à tous les étages
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L’étage 89 est un espace comprenant une mer de dunes, une vaste forêt de pins, ainsi qu’un champ de blé.
À l’orée de la forêt de pins, sur un chemin de sable bordant le champ de blé, on peut y apercevoir, régulièrement, un renard.

L’animal semble attendre quelque chose ou quelqu’un.
La vue du champ de blé le remplit visiblement autant de joie que de tristesse, voire autant d’espoir que de résignation.
Le renard semble être incapable de quitter cet endroit, de regarder, sur le long terme, autre chose que le champ de blé.

En se documentant notamment sur l’Histoire des Étages, et notamment en lisant l’ensemble des paragraphes concernant « les choses essentielles invisibles pour les yeux », l’on peut avoir accès aux informations suivantes :

Le renard pense à son petit prince.
Il aimerait avoir de ses nouvelles.
Il attend, sans trop y croire, un signe, même un tout petit, de la part de celui qu’il appelle parfois « l’ami qui aurait pu être ».

Et tandis qu’il reste là, à l’affût,
dans les archives émotionnelles de la grande structure cosmique,
un être au cœur qui bat
ajoute le souvenir
de la couleur du blé.

Contribution du : 20/12/2023 00:06
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Re : Un univers à tous les étages
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Document sauvegardé
à l’étage 90 :

Lecture du document en cours…

Contribution du : 20/12/2023 03:52
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Re : Un univers à tous les étages
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Il prend son vélo… Il se met en route…
Il parcourt et traverse les étages…
Il était une fois… dans le Multivers…


- Bonsoir. Pourriez-vous m’indiquer l’ascenseur ou l’escalier le plus proche s’il vous plaît ?
- Bonsoir… C’est par ici et ensuite par là… Lui répond l’humanoïde intrigué. Mais si cela n’est pas indiscret, qui êtes-vous ?!
- Je suis Timy le facteur et j’ai une lettre à remettre en mains propres à l’étage 91 tiret 3…

Et le voici en route. Sur son vélo.
Dans le vent. Sous la pluie parfois. Au clair de lune de temps à autres.
Timy le facteur…



Étage 89.
Un lapin n’ose sortir de son terrier.
Il sait que le renard l’attend.
Le renard qui pourtant, même épiant le lapin, semble bien songeur, regard tourné, à intervalle régulier, vers le champ de blé.
Notre Timy arrive alors. Après avoir garé son vélo contre un arbre, il s’approche du renard et lui demande :
- Excusez-moi monsieur le renard, je cherche l’étage 91 tiret 3…
- Je suis occupé. Rétorque le renard.
- Je comprends. Dans ce cas, j’y vais. Maintenant que j’y pense, je crois bien que j’ai du courrier pour vous…
Il fouille dans sa sacoche en bandoulière. En sort une lettre qu’il tend au renard.
- De la part d’un petit prince…
Peut-être le cœur du renard manque-t-il un battement à cet instant-là.
Timy fait mine de s’éloigner.
L’animal lui lance alors :
- Escalier neuf.
- Escalier neuf, c’est entendu. Merci !
Timy renfourche son vélo et se met donc à la recherche de l’escalier neuf.
Le trouve… et continue son périple.
Bref silence à l’étage 89.
- Tu peux sortir, petit lapin… Tu peux sortir de ton terrier. Je ne te mangerai pas.
Le renard lit sa lettre.
Le lapin sort de sa cachette.
Fait quelques pas…
Et parle à l’écureuil… qui grimpe à l’arbre…
Et parle à l’oiseau sur la branche… qui parle au vent…
Et le vent feuillette à son tour la lettre au renard… qui confirme au vent…
Et le vent se sépare en d’autres vents, lesquels s’engouffrent dans tous les escaliers cachés à cet étage…
Un message est en route… Le message provient de celle que l’on appelle l’Entre-Fée. Il circule par-delà les étages, et bien des êtres en sont les relais.
Et le message est le suivant :
« Il faut aider Timy le facteur à remettre sa lettre en mains propres à l’étage 91 tiret 3 ».



Timy continue à vélo sur la route sans fin de l’étage 47.
Prend finalement un ascenseur.
Autre étage. Un soleil dans la nuit. Autre ascenseur.
Étage suivant. Un labyrinthe de feuilles. Un escalier cette fois.
Un escalier si grand, si raide, qu’il lui faut laisser ici son vélo.
- D’accord… Je n’ai pas le choix. Je continue à pied…



À pied.
Un pas l’un après l’autre.
Et d’étage en étage…
Des dizaines, des centaines.
Des milliers de pas.

- Voici ce qui m’attend ?...



- Il faut l’aider, oui. Mais comment ?
- En laissant ouvertes les bonnes portes…En lui faisant emprunter les bons couloirs…



À un étage sans nom ni numéro, au pied d’un escalier immense et raide, un vélo attend.



L’escalier l’a mené en d’autres lieux étranges.
Timy finit par y appeler un certain ascenseur recommandé par l’intelligence artificielle vivant à cet étage.
Une quarantaine de secondes plus tard, il passe la porte de l’ascenseur 120…

Étage 77 tiret 4.
La forêt de cerisiers en fleurs.
Timy la traverse lentement… jusqu’à y croiser le chemin de cette dame que l’on appelle « la dame aux cerisiers ».
Ici c’est un autre jour qui commence. Un autre nuage qui prend la forme d’une autre hirondelle. Ici c’est une larme qui retombe parfois.
Tous les cerisiers sont en fleurs… mais la dame aux cerisiers n’a toujours pas retrouvé son printemps.
- Bonjour, excusez-moi madame… Je cherche un passage vers l’étage 91 tiret 3. Auriez-vous par hasard le numéro d’un escalier ou d’un ascenseur à me souffler ?
La dame garde d’abord le silence. Tirée de ses pensées, elle balbutie :
- Je suis désolée…non… Je ne pense pas pouvoir vous aider.
En apercevant de loin son interlocutrice aux cheveux blancs, Timy avait déjà ouvert sa sacoche. Il en sort à présent un feuillet.
- J’ai également une lettre pour vous.

- Merci…

Elle prend sa lettre.
Lit sa lettre.
Peut-être son cœur manque-t-il un battement au cours de ce moment-là.

Une fois les dernières lignes lues, la voilà qui s’élance à travers la forêt. Elle sait où il est. Elle ne le perdra plus désormais.
Le souvenir de sa meilleure saison, si cher à son cœur, ces moments qui furent sa plus belle floraison.
D’abord surpris par la vitesse et l’énergie de la dame, Timy parvient à la rattraper à force d’enjambées. Et tandis qu’il reprend son souffle…
- L’ascenseur aux pétales de roses…
- Merci...
Le facteur reprend sa respiration. Puis repart.

Silence. Silence humide.
Dans le rose forestier, dans ce perpétuel mi-aurore mi-crépuscule.
Silence. De larme envolée. De larme de réjouissance.
Dans la forêt des cerisiers en fleurs, la dame aux cerisiers a retrouvé son printemps.



Timy cligne des yeux.
L’ascenseur aux pétales de roses l’a mené au sommet d’une montagne de diamant.
Là il trouve un escalier en spirale qu’il se met à descendre, descendre… jusqu’à tomber sur une porte.
Porte qu’il ouvre… Pour continuer… à marcher… jusqu’à…
Une porte. Un couloir.

Une autre porte. Un autre couloir.

Encore.

Et encore.

Et encore…



Et pendant ce temps… Par-delà les étages…
- Où as-tu trouvé son vélo ?!
- Au pied d’un grand escalier. Il faut trouver un moyen de le lui envoyer.
- Et comment ? Par la Poste ?!
- Moi j’ai peut-être une idée, mais il nous faudrait des ballons et de l’hélium, ainsi que l’ascenseur adéquat…
- Ça peut se trouver… Excusez-moi mais qui êtes-vous ?
- On m’appelle la dame aux cerisiers. Je viens de quitter mon étage. À l’occasion, je partage un peu de mon printemps. Et vous, qui êtes-vous ?
- Yumi.
- Salima.
- Et vous ?
- Ho, moi… Je plantais des cactus à l’étage 16. C’était il y a longtemps.
- Agent numéro 17 de l’équipe d’exploration delta cinq.
- Enchantée.
- Et vous… Vous êtes le Passeur de Mots ?...
- Lui-même !
- Un seul mot d’ordre pour le moment…
- Oui.
- Affirmatif.


« Il faut aider Timy le facteur à trouver les Enfants du Multivers, afin qu’il puisse leur tendre la lettre qui leur est destinée. » …



..
.


Timy le facteur est en marche.

À pied.
Un pas l’un après l’autre.
Et d’étage en étage…
Des dizaines, des centaines.
Des milliers de pas.

Une porte. Un couloir.

Une autre porte. Un autre couloir.

Encore.

Et encore.

Et encore…


Étage 8,888889… Étage non répertorié. Étage considéré comme intemporel. Un long chemin sur une plage.
Le périple continue. Encore à pied. Toujours à pied. Le long de cette plage. Le long de ce sable. Avec parfois un coquillage. Avec le soir qui tombe lentement. Pas après pas. Empreinte par empreinte.
Les minutes s’écoulent. Les heures aussi, sûrement. Une part d’éternité peut-être.
La plage s’étend. Est-ce la mer ? Non, ce n’est plus la mer. À présent, c’est l’océan. Le long de cette plage. Le long de ce sable. On a peut-être changé d’étage.
Au sol, un coquillage. Voilà maintenant le soir qui tombe, le soir tombé, rattrapé en silence. Voici la nuit qui s’installe, la nuit qui s’est installée, la nuit intemporelle qui nomme l’espace sans fin.

Et puis…
Une porte…
Au beau milieu de cette plage. Une porte donnant sur…

Un couloir… Une porte…

Un autre couloir. Une autre porte.

Encore.

Et encore.

Et encore…

Et ainsi jusqu’à l’étage 2…



Timy le facteur flotte dans ce vide noir immense, potentiellement infini, dans lequel flottent toujours une multitude d’objets divers – allant de la chaise de bureau au taille-crayon, de la machine à laver au xylophone – dans un silence quasi absolu, mise à part cette mélodie de piano, en sourdine, tantôt proche tantôt lointaine, qui parfois se fait entendre…
Et soudain… Il le voit…
Le pianiste…
Le musicien et son instrument dérivent également dans le noir profond.
Le pianiste s’est solidement attaché à son siège, siège qu’il a rattaché au piano, afin qu’ils ne soient pas séparés.
- Bonsoir…
- Bonsoir…
- Excusez-moi mais je me pose la question : Pourquoi jouez-vous en sourdine ?
Le pianiste cesse momentanément de jouer, passe un doigt sur ses lèvres et répond d’un murmure :
- C’est parce que l’Enfant dort...
- L’Enfant ?...
- L’Enfant du noir profond. Il dort profondément. Cet étage est son rêve. Je joue doucement pour ne pas le réveiller…
- Eh bien, c’est noté… Merci à vous ! Au revoir…
- Merci à toi, Timy. Au revoir…

De temps à autre à l’étage 2, on y trouve une porte.
De temps à autre, on y trouve la clef qui ouvre cette porte.
Cette fois celle-ci est déjà entrouverte.
Et donc Timy la passe. Rendez-vous en d’autres lieux.
Un autre point de l’Espace et du Temps.


..
.

- Courage Timy…
- On y est presque…



Étage 44, 470000227997722311177…

Des dizaines, des centaines.
Des milliers de pas.
Et alors qu’il semble renoncer…
Un vélo apparaît en plein ciel. Porté par des ballons gonflés à l’hélium.
Son fidèle véhicule vient atterrir à ses pieds. Te revoilà, toi !
Timy le facteur renfourche son pote à tête de guidon.
Le revoici à vélo.
À fendre le vent.
Sur la route…
Le chemin… Le sentier…
Sur l’autre route…
L’autre chemin… L’autre sentier…
Direction les destinataires de sa lettre de poussières d’étoiles.



Étage d’un grand clair de lune. Étage d’un labyrinthe de mots.

Étage 5 tiret 5 étage du serpent-fusée. Étage N21 étage 39 et des lianes pendantes. Étage des arbres penseurs.
Étage décalé. Étage reconfiguré. Étage non-limité. Étage quasi non-existant.

Étage de la fin de tout.
Étage du recommencement d’autre chose.
Étage où l’on rencontre forcément quelqu’un.
Étage où l’on y voit quelqu’un d’autre.
Étage parsemé de points d’interrogation.


Et le voici… Et le voilà…
Arrivé…

[Étage 91-3]

[Centre de vacances des Petits Cosmos]

Il gare son vélo contre le mur de ce énième couloir. Il reprend la marche, il sait que sa destination est toute proche.
- Porte 103… J’y suis.
Il toque à la porte.
Celle-ci s’ouvre.
Bienvenue à toi, ami facteur.
Nous sommes les Enfants du Multivers.
Bonsoir les enfants, j’ai du courrier pour vous.

Et Timy le facteur leur remet la lettre, leur tend ces mots qui brillent sur une feuille.
Et ensuite…
Après leur avoir dit au revoir, à bientôt, à la prochaine tournée du facteur…
Timy s’en repart.
Il repart dans la nuit des Étages.
Et les enfants du Multivers lisent leur lettre.




Bonsoir les enfants…
Ceci est un message de la part de votre animateur de référence.
Je vous laisse vous préparer, vous laver les dents et vous mettre au lit…
L’histoire du soir vous attend.
Je suis votre conteur.
J’arrive…









Vous retrouverez Timy le facteur…

Contribution du : 20/12/2023 03:59
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Re : Un univers à tous les étages
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Ô CAMARADES D'ONIRIS

Salut à vous. Ce petit message pour préciser que cet étage ci-dessus est probablement le plus grand que je ferai.
J'ai hésité à le découper en plusieurs post mais au final j'ai préféré tout mettre en un seul.
Ce qui fait que pour être long cette fois c'est long. A noter que visiblement, j'aime souvent revenir à la ligne.

En vous souhaitant une belle lecture !
Pour l'anecdote : histoire imaginée et racontée en colonie de vacances.

Toujours curieux de / accroc à
vos étages.

A la prochaine,

Tom.

Contribution du : 20/12/2023 04:18
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Re : Un univers à tous les étages
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Une belle histoire, Tom.

Il est sympa ce Timy... Hâte de le retrouver à nouveau.

J'aime ces échos, ces liens, que tu fais / que l'on peut faire
entre les différents étages.
J'aime ce moment où l'on (re)passe par l'étage 2
et où on a la révélation de qui joue du piano à cet étage, ainsi que l'explication de pourquoi il joue en sourdine.
Je trouve que c'est ce genre de passages qui fait des Étages un récit plus grand et vraiment passionnant.

Bonjour jeanphi, tes étages souvenirs page précédente m'ont aussi touché.
Je trouve qu'il y a du sens à écrire sur plusieurs niveaux de souvenirs tout en restant à un seul étage.

Je suis à l'Étage Admiratif, aussi appelé l'Étage Fier, fier d'être parmi tous ces étages.
L'architecture de cet étage lui permet d'applaudir des deux mains, ou plutôt des deux escaliers.

Rendez-vous au prochain !...

Contribution du : 28/12/2023 13:26
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Re : Un univers à tous les étages
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Étage printemps

Nous sommes situés dans un intervalle d'hivers occupé par le printemps.
Il y a partout des promeneurs qui se dispersent dans les allées entre les arbres genre "bof, je ne sais pas moi".
Mais l'hiver a introduit un recours à l'encontre de cet universel bout de printemps qui vient jusqu'en décembre lui voler la vedette.
Le tribunal prévu au jugement de l'affaire se trouve dans cet univers, pas de hasard. Mais le bureau de conseil d'avocat de la partie plaignante vient de l'univers 685, étage de l'hiver revenu et de l'espoir.
Bien sûr, la brutalité est jugée au point de vue de l'impartialité, le printemps finira bien par reconnaître qu'il n'a pas a s'en prendre à l'hiver.
Nous vous tiendrons informé des évolutions du dossier.

Contribution du : 28/12/2023 16:10
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Re : Un univers à tous les étages
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Etage 92,92

Attention à cet univers de récup. organisée à la journée ! C'est un univers adolescent.
Aujourd'hui il est dans la diffraction de l'étage nonante-deux qui se reflète en tout point dans un jeux de miroir parfait.
L'infiniment plongé en lui-même univers n'est au faite plus qu'une onde, qu'une pensée ... libre ... écoutons-là :
"... et défaire de son corsage de pierre la gravure sur bronze qui appartenait à une plus vaste ensemble de statues dans le musée sur un socle... À la poésie,
Une goutte de rosée
Noyée par le sort..."

C'est un univers très distrait :
"Il fallait partir à la recherche de planteurs d'arbres avant que la sécheresse de l'incendie ne les habitue au feu. Les espèces volcaniques peupliers la terre surtout (enfer en verre aussi, fondu enchaîné, tragique).
Peuplier ? ô
Alors que l'inspecteur a sûrement encore démoli une voiture de collection.
Alors que nous admirons ce superbe tableau qui donne faim dans le musée, que de souvenirs d'hier, lorsque j'étais un univers cafétéria culturel, mais je suis juste un jeune univers dans ses pensées, aujourd'hui."

Quel sentiment émouvant que de suivre le cours de cet univers ronronnant. Quel privilège même que ce jeu d'infini de la béatitude.
Univers 92,92 l'univers de toutes vos détentes. De plus, l'univers 92,92 vous propose un large catalogue varié d'activités complémentaires pour des vacances entre amis ou en famille à des prix cassés.
Univers 92, vous ne voudrez plus chauffer la place sur le porche en été.

Contribution du : 19/01 00:54:39
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Re : Un univers à tous les étages
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Étage 93

Un ciel bleu s'étend sur nos têtes nous entrons dans les nappes des courbures de l'espace temps de l'univers 93 par un ascenseur en verrière. Ce ciel bleu clair, lumineux d'une blancheur immaculée aux contours de l'horizon, qui semble palpable, est fascinant de gaieté.
Mais nous ne faisons que traverser un ciel bleu durant des milliers d'années. Le groom fait la conversation. et l'ascenseur s'arrête enfin au confin du ciel bleu. Il n'y a plus qu'à faire marche arrière. On peut également prendre le toboggan de l'arc en ciel une fois là-haut. Le trajet est un peu plus long mais la vue en vaut la peine.

Contribution du : 19/01 12:30:04
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