Quatre commentaires, c’est la misère ! Je ne suis pas prêt de reproposer d’autres textes. Mieux vaut que je me concentre sur des domaines qui me rapportent davantage de satisfactions.

Mais la Mère Noël, le narrateur l’a rencontrée jeanphi. Dans le sauna voyons, elle lui a fait un beau cadeau ! Concernant « le langage parlé », c’est voulu, il faut que ça respire le réalisme.

La comparaison avec la Route de Madison m’honore Jemabi, un beau film. Non, j’aurais aimé mais ce n’est pas autobiographique. Les froides étendues nordiques m’inspirent beaucoup, tout simplement.

Ce n’est pas moi qui ai inventé les règles de la nouvelle Hersen, les organisateurs de concours se contentent d’en respectent les principes de base. En plus tu te trompes, les textes gagnants sont souvent atypiques, sortent du lot, donc pas toujours grand public.
Mon texte ne peut aller en profondeur (sourire) car il est contraint par un nombre de signes. C’est une nouvelle partie batailler dans un concours sur le thème de l’ érotisme, que je teste sur Oniris. Pas concluant… De toute façon, mes écrits personnels, que je prends la peine de développer et où je mets toute mon âme tu ne les lis pas : Les Eaux-Bonnes

La Laponie n’est qu’un cadre pour illustrer « des évènements sexuels » Corto, vu que ça reste le thème principal. Je voulais m’essayer à la nouvelle érotique, on verra si elle est retenue par le jury qui organise le concours. Si je me fie à sa déroute sur Oniris, c’est mal barré...

Je vous trouve bien sévère Cyrill et surtout ne suis pas d’accord avec vous, comme avec les autres commentateurs d'ailleurs qui ont parlé de « clichés », terme galvaudé et vide de sens. Si j’écris « les oiseaux gazouillent », on va hurler aussi au cliché, pourtant c’est bien le propre des oiseaux de gazouiller. Comme c’est le propre d’un mâle à poil en compagnie d’une femelle à poil d’avoir une gaule d’enfer. C’est ainsi depuis la nuit des temps, mère nature l’a voulu.
Si vous parlez de situations clichées, pas d’accord non plus au vu du contexte relativement original : la Laponie, une éleveuse Sami, une idylle improbable qui prend forme. Oui, c’est mené au pas de charge, mais parce que je le répète le texte est soumis à des contraintes. Je ne pouvais dépasser 15 000 signes, de mémoire. Alors faut que ça enchaîne, faut que ça baise vite, pas le temps de susurrer des mots d’amour !

Bonjour, j'ai manqué la première publication de ce fil, je vais donc prendre le temps de vous répondre ici.

Il est très bien ce texte, je suis peut-être trop coincé pour le commenter sans détour. Malgré tout, le héros POURRAIT, je dis bien, il pourrait bivouaquer à destination de la visite de l'atelier du père Noël lorsqu'un incident le jete de les bras poilus (si mon souvenir est bon) de sa blonde.
La visite ne coûte pas très cher, ça, ça fait rêver !
Il est vrai que dans beaucoup de romans, les scènes d'ébats rehaussent l'intérêt, je pense à Kent Follett, Dan Simons, et bien d'autres ... mais, dans les romans en général, ces passages n'entrent que très partiellement en compte dans le dénouement de l'intrigue.
Je garde toutefois un bon souvenir de votre nouvelle, rétrospectivement préféré à ma première impression.

Malitorne,

On peut toujours vider de son sens n'importe quel terme. Pour celui qui nous concerne il semble, par vos exemples, que vous avez cerné la signification que je lui donne.
Les contraintes auxquelles vous avez été soumis ne sont pas pour moi, lecteur d'Oniris, sujettes à me rendre plus indulgent. Vous avez proposé cette nouvelle ici sans ces contraintes, vous auriez pu l'amender si vous vous étiez senti dans un cadre trop étroit.

Je reste sur mon impression d'un récit assez froid, et ce que vous faites de la rencontre amoureuse m'attriste d'autant plus avec ce que vous en dîtes ici :
Citation :

Juste mon point de vue !

Il est important de ne pas exagérer les scènes de lit. Car si vous commencez à entrer dans les détails, l'intérêt commence à s'estomper. C'est particulièrement ennuyeux lorsqu'on commence à décrire les sous-vêtements ou la literie. Et le texte fait une demi-page, si ce n'est plus.

Je suis parfois brut de décoffrage Cyrill, j’essaie d’être plus distingué mais vous connaissez le proverbe : « Chassez le naturel, il revient au galop ».

J’ai beaucoup apprécié votre commentaire Papipoete, d’abord parce qu’il me fait sortir de la zone d’humiliation (6 commentaires, ouaiiiis !), ensuite parce que sa formulation est amusante. Vous avez un sens de l’humour que je ne vous connaissais pas. Au vu de l’intérêt que vous me portez et dont je vous remercie, je vais aller lire un de vos poèmes.

Vous m’avez fait sourire Havelin mais je crois que vous vous êtes perdu, Oniris n'est pas le bon endroit pour de la publicité.

Merci de ton commentaire Martin. D'une certaine manière tu as raison, c'était bien Noël pour le héros de l'histoire.