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Re : Une graine d'août
Maître Onirien
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28/04/2010 15:29
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Pas de souci, mais comme je l'ai dit plus haut, la lecture appartient au lecteur. J'aime bien justement que chacun puisse y trouver d'autres choses...
En expliquant l'écriture, le risque est grand d'orienter le lecteur et de le priver de ce qu'il veut mettre dans le texte. C'est pour cela que je n'aime pas trop cet exercice...

Même si je pense qu'il peut-être intéressant.

Contribution du : 18/09/2010 10:29
_________________
Dans une poignée de sable de la route, j'ai mis un rayon de soleil qui brille, un murmure du vent qui se lève, une goutte du ruisseau qui passe et un frisson de mon âme, pour pétrir les choses dont on fait les histoires.
Jean Ray - Les derniers contes...
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Re : Une graine d'août
Maître Onirien
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Bonjour Brabant et merci pour tes remarques et ta lecture. Pourquoi douze ? Deux raisons. La sonorité douce de douze d'une part, d'autre part douze évoque la cohérence, la stabilité (ici balayée)

En ce qui concerne Mozart assassiné, ma référence n'était pas le passage du texte de Saint-Ex, mais bien le roman de Gilbert Cesbron, dont tu trouveras un résumé ici.

Pour ce qui est du calligramme, j'y avais pensé, tout comme à celui du champignon, mais je trouvais ça trop "facile" moins sobre aussi. Donc j'en ai écarté l'idée.

Merci pour ta lecture attentive.

Contribution du : 21/09/2010 05:30
_________________
Dans une poignée de sable de la route, j'ai mis un rayon de soleil qui brille, un murmure du vent qui se lève, une goutte du ruisseau qui passe et un frisson de mon âme, pour pétrir les choses dont on fait les histoires.
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