J’adresse mes plus vifs remerciements à toute l’équipe éditoriale qui a permis à cette Maison de quitter l’isolement et la solitude et de revivre encore auprès de lecteurs et de commentateurs attentionnés.

Attentionnés et sensibles à ses charmes et à ceux de filles et garçons l’envahissant chaque années pour des vacances magiques.

Je vous remercie tous très chaleureusement,

Vous,

Michel64 (beaucoup)
« Un très jolie poème plein de nostalgie du temps passé...
le sujet, l'idée de souvenirs d'enfance, m'a beaucoup plu et me renvoie à mes propres souvenirs de maison de vacances familiales »

Des souvenirs que, comme moi, vous revisitez et revisiterez avec plaisir, je l’espère...
Merci pour votre belle appréciation.


Anje (beaucoup)
« ce texte...transpire le bonheur de l'enfance, la nostalgie de l'insouciance, il exhale de l'émotion. »

« Au pays de l’insouciance » aurait effectivement pu être son titre.
Merci d’avoir laissé parler votre émotion.


Lebarde (passionnément)
« Une maison oui bien sûr, mais pas n'importe quelle maison...
Celle des vacances et de l'enfance...
Des noms qu'ils/elles ont rapprochés, soudés pour n'en faire qu'un et mieux se souvenir de leur connivence, de leur entente, de leurs liens forts et éternels, de leur Grand-mère disparue ...
... poème plein de nostalgie, de fraîcheur, d'une délicate musicalité qui fleure si bon l'enfance, la nature.
... je suis ému et comblé avec ce texte touchant qui va droit au coeur. »

Oui c’était la maison de l’entente, des connivences, des liens éternels !
Et nul doute qu’un nouveau cousin tel que vous eut été immédiatement fondu dans la bande et adopté par grand-mère !
Un grand merci pour avoir gardé au cœur la musique de l’enfance ... et pour votre très belle appréciation.
Ps: chaque cousin avait un surnom ... Le Barde aurait été plébiscité !


Corto (beaucoup +)
«... poème qui fait revivre ... le temps du rêve et de l'imagination.
... une multitude de personnages; la maison bien sûr, les enfants filles et garçons, les collines, le castel, et même Napoléon ... joue son rôle et participe à la perception d'ensemble.
Au dessus de tout ce monde "Grand-mère" surplombe la scène,
... essentielle, gouvernant d'affection sa maison et la cousinade envoûtée. 
Ce tableau vivant au fil du temps long est superbe et émouvant. »

Ni rêves ni imagination n’auraient pu s’épanouir si librement sans l’amour bienveillant de grand-mère qui, comme vous le notez fort justement, à l’égal de sa maison, « surplombait » la scène de nos aventures insouciantes.
Merci pour avoir si bien souligné son rôle dans le vécu émotionnel de ces cousins insouciants, et « noté » mes souvenirs d’une si belle appréciation.

Sympa ( passionnément)
« Une belle poésie retraçant des souvenirs d'enfance et de vacances heureuses.
J'ai beaucoup aimé parcourir vos vers avec une belle émotion.
Me reviennent en mémoire deux semaines de vacances inoubliables avec mes cousins chez ma grand-mère où nous faisions les 400 coups sous l'oeil amusé et complice de "mamie".
Peu m'importe la forme, le fond l'emportant largement à mes yeux.
Merci pour cette lecture qui m'a touchée. »

Les quatre cents coups ? Pardonnez moi, mais vous êtes loin du compte ! les dix mille coups plutôt !
Je galèje bien sûr... juste mille...
il faut dire que notre imagination, largement stimulée par les lieux
( très grande maison, caves, greniers, terrains avoisinant avec fontaine, source, puit, rochers, grotte, falaise ..., une bibliothèque pour enfants pleine -dont des livres de contes du début du XIXieme- , deux énormes malles remplies de vieux vêtements ...)
était sans limites ... et a pu nourrir nos aventures sur de nombreuses années...
Merci pour votre très belle appréciation portée par l’émotion partagée.


Marité (beaucoup)
« Souvenir indélébile que cette maison de vacances. Au fil des vers et des images évoquées, nous la découvrons avec émotion ...
En ce qui concerne la forme je remarque une construction bien équilibrée dans cette poésie contemporaine :
- Les deux premières strophes avec l'alternance de six et douze syllabes,
- Les trois dernières strophes : trois vers - deux vers - trois vers dans lesquels la diversité du rythme ne perturbe pas la lecture. »

Outre l’émotion qui émane de ce texte, vous en soulignez la construction. J’y ai porté une grande attention. L’émotion nait naturellement du fond évoqué et des images convoquées ... mais cela est évidemment insuffisant ! Elle est aussi je crois la résultante d’une forme de musicalité qui naît du rythme de la construction et des assonances.
Merci d’avoir appuyé votre commentaire sur ce point qui me tient à cœur et, bien sûr, pour votre belle appréciation.


Papipoete ( passionnément)
« Elle semblait posée là ... ne vit plus, ses hôtes ne sont plus ; que l'odeur des pierres et des fleurs nous reviennent.
... l'auteur rend la demeure personnage attachant, protecteur sur PC les hauteurs, et apaisant de par ses couleurs.
... la conclusion peut fendre le coeur, si l'on ne prend pas garde au temps qui passe...on voudrait ici demeurer !
... je vais vite me détacher du poème, au risque d'avoir le spleen toute cette sainte journée... »

« Personnage attachant, protecteur et apaisant »... oui comme vous avez raison ! Pleine d’énergie aussi de par ses couleurs, sa lumière, ses odeurs de cuisine, de cire, de fleurs et de lavande séchées...
Oui, nul doute que vous auriez aimé y demeurer... passionnément j’en suis certain !
Merci pour votre très belle appréciation.


apierre (beaucoup)
« Une très jolie évocation poétique pleine de nostalgie de cette bâtisse familiale .Avec des mots simples, l'émotion est partagée et nous plongeons aussi dans nos propres souvenirs.
Une lecture douce et agréable,merci à l'auteur ! »

Ramener à l’esprit de bons et beaux souvenirs, avec un parfum de nostalgie, les caresser avec des mots simples mais sucrés, les partager de façon douce et poétique avec d’aimables lecteurs est un plaisir peu ordinaire ... que vous connaissez ... si je m’en remets à vos textes ...
Merci pour vos mots, et votre aimable appréciation.


Cristale (passionnément)
« Aquarelle est votre poème, d'azur est son regard,
aurore est la nostalgie, arc-en-ciel caméléon,
"une maison" qui porte ses couleurs sur les hauteurs de la poésie.
Comme l'écrivait George Sand
"le souvenir est le parfum de l'âme".
Nul doute que ces vers emportent leurs douces fragrances
"au-delà du val,
Au-delà des collines"
Superbe ! »

Je voudrais formuler un remerciement à l’égal de votre appréciation et du plaisir qu’elle me procure, mais je ne suis que confusion et ravissement !

Quelque Zéphyr bienveillant m’a sans nul doute aidé à porter les souvenirs nostalgiques de cette maison
au delà des vals et des collines,
vers les hauteurs poétiques nimbées d’azur où vous résidez ... qu’il en soit remercié aussi !

Soyez assurée que le souvenir de votre compliment parfumera longtemps de sa douceur mon âme de poète en herbe.


Vincente ( beaucoup -)
Poème attachant sur un lieu phare de souvenir d'enfance, il ne se contente pas d'une jolie évocation, il profite d'une construction ouvragée, avec en particulier ces belles incises ...
Ainsi, j'ai apprécié le geste d'écriture appuyant de quelques "surlignages" rhétoriques, tout en regrettant qu'ils m'apparaissent un peu trop... je crois qu'ils auraient pu se fondre un peu plus dans le propos...
... j'ai beaucoup aimé les deux premières strophes et la dernière.
Voici du point de vue du lecteur "extérieur" à l'évocation, dont les deux axes d'appréhension sont : l'émotion ressentie en ce qu'elle a de résonance avec son vécu et la manière de l'écrire.
... mais la dimension très personnellement chargée de ce qui se raconte est difficile à partager ; ce qui m'amène à penser que l'on ne peut attendre d'une écriture, en tant qu'auteur et de la part du lecteur, grand-chose d'autre qu'une objectivation de son poème somme toute très subjective… »

Les sur lignages rhétoriques, dont je comprends aisément qu’il vous paraissent pesants, sont intimement liés aux souvenirs de cette maison. Ces qualificatifs secrets étaient l’un des ingrédients du ciment qui unissait les cousins. Chacun d’entre eux était né lors d’une « aventure » que nous avions vécue ensemble... Pour tout vous dire ce texte est le premier d’un ensemble de six qui relatent certaines de ces aventures enfantines. Pour sa parution en solo, je l’ai amputé de quelques vers qui font lien avec l’ensemble plus complet...
« Objectivation très subjective » bel oxymore que je retiendrai comme but ultime de tout poème...
Ne poursuivons-nous pas tous l’envie de créer un objet unique dans l’esprit et le cœur de nos lecteurs ? qui bien évidemment prend un peu de l’auteur et beaucoup du lecteur.
Merci pour votre commentaire riche de sensibilité et d’analyse formelle... ainsi que pour votre belle appréciation.


Robot (beaucoup)
Une réminiscence de souvenirs d'enfance que la poésie nous rapporte avec une grande nostalgie.
« Avec le départ de la Grand-mère, les rêves se sont enfuis. Les cousins ont vieilli et les couleurs de l'enfance comme celles de la maison se sont fanées.
Un beau texte libre. »

Nostalgie de l’enfance, de son pouvoir « magique » sur le monde, lorsque l’imagination gouverne les sens...
nostalgie de la présence attentive, aimante et d’une jeunesse rieuse d’une Grand Mère, que nous n’avons jamais appelée mamie ...
Merci pour avoir dit votre plaisir de lecture à travers votre belle appréciation.


Provencao (beaucoup +)
... « J'aime bien ces batisses et ces chemins de villages qui en disent plus que les faits.
Les pierres et les couleurs fanées travestissent, le souvenir qui s'accommode, ...
J'ai apprécié votre poésie qui dégage des souvenirs, faisant sens et permettant de découvrir la lecture de votre propre histoire familiale. »

Ah ces chemins ! Combien ils étaient importants aussi !
dessinés par les ruisseaux de pluie, après les lourds orages de chaleur, déchirés par les racines des chênes liège ou d’oliviers ... où dormaient les fantômes de quelques ancêtres... encore et encore de la nostalgie.
Restent l’odeur des pierres et les couleurs fanées...

Merci pour le partage d’émotion et pour votre très belle appréciation.


Poltudor (beaucoup)
« Ah ! la nostalgie des jours de notre jeunesse, des vacances en famille...
...les souvenirs demeurent...
Quelles belles trouvailles pour nommer cette maison : aquarelle, caméléon, sentinelle, Napoléon...
De beaux vers...
Enfants, nous l'appelions la maison dans les nuages... »

Vacances, famille, cousins, cousines,,,
Nostalgie de ces bonheurs simples et magiques lorsque l’entente et la connivence régnaient dans la chaleur d’un lieu unique !
Merci d’avoir dit votre sensibilité à leur évocation dans mes vers et formulé votre belle appréciation.


Emilia (beaucoup)
« Un joli et tendre souvenir d’une maison d’enfance ... avec un point de vue surplombant ... Filles et garçons, chacun lui donnait un nom de cœur ... et lui donnait un caractère unique… ; puis le temps a passé, les enfants ont grandi, la grand-mère les a quittés… : ne restent alors que la nostalgie,
« l’odeur des pierres et les couleurs fanées » des rêves évanouis »


Cette maison était comme le dit Corto un vrai personnage de nos vacances ... la naissance de ce personnage a eu lieu une fin d’après-midi d’orage lorsque regroupés et peu fiers dans un des greniers, Rêveuse ( une cousine) nous a dit « n’ayez pas peur Sentinelle nous garde »... à partir de ce jour nous lui avons donné plusieurs petits noms et parlé d’elle comme d’un adulte bienveillant, acteur de beaucoup de nos jeux ou aventures.

Merci pour avoir partagé ces instants de nostalgie et de tendresse. et dit votre plaisir avec une belle appréciation.


Assagui (passionnément)
« les rêves sont-ils tant évanouis? assurément pas les souvenirs pour l'auteur qui nous prend de suite la main et le coeur.
à l'image de cette treille , sans doute de vigne vierge, si verdoyante l'été , si flamboyante l'automne ( j'aime aussi son cousin, l'ampélopsis, Veitchii de préférence !).
Comme il pourrait être dentelles et fripons , j'adore les rimes qui habillent filles et garçons . Je les vois , je les entends jouer durant les vacances de leur enfance.
Véritable bouquet de parfums, un cadeau pascal en ce dimanche à faire trembler nos cloches confinées!

« Dentelles et fripons » j’adore !... vous les voyez, vous les entendez jouer ... (quel mot magique ... jouer n’est-ce pas !)
Un très grand merci pour cette remarque :
j’ai fait rire, jouer, vivre les cousins à vos yeux, vos oreilles et votre cœur... j’en suis ravi et également comblé par votre appréciation élevée qui fait battre les cloches de mon église !

Francois (beaucoup +)
« Une belle évocation d'une maison de l'enfance...
Chacun a en soi une maison des jours heureux et que le souvenir transfigure...
On a envie de visiter cette maison, si joliment nommée Aquarelle-dans-les-nuages, Sentinelle-Napoléon, de découvrir cette route sinueuse qui y mène, de contempler son panorama...
J'aime, notamment :
"Elle regarde au-delà du val,
Au-delà des collines, tel castel médiéval
Surveillant l'horizon."

Comme vous avez raison ! Chacun a en soi une maison des jours heureux ... vécus ... ou peut-être seulement rêvés pour les plus malchanceux...
Les cousins ont connu grâce à Aquarelle-dans-les-nuages, «habitée» par Grand-mère, une joie de vivre d’une rare intensité.
Quoi de plus normal dans un lieu d’une telle élégance au milieu d’une nature aussi belle et généreuse.

Merci, votre commentaire et votre généreuse appréciation me touchent beaucoup.


Curwwod (Beaucoup)
« Bien jolie évocation mélancolique d'un lieu que son âme a quitté; Souvenirs d'enfance des frayeurs et des émois que suscitait cette maison pleine de mystère pour de jeunes cousins et cousines lors de vacances chez Grand-mère, le génie tutélaire disparu depuis. C'est toute une vie qui a passé et que vous faites revivre avec tendresse et simplicité.
Bravo. »

Oui l’âme humaine de cette maison a quitté ce monde. Grand-mère n’est plus, excepté dans le cœur de ses enfants et petits enfants.
Mais qui sait ? Oui qui sait répondre à la question:
« Objets inanimés, avez-vous donc une âme qui s’attache à notre âme et la force d’aimer ?
Si je pense à cette maison je réponds sans hésitation Oui à Lamartine !!

Merci pour votre aimable commentaire et votre belle appréciation.


Zeste (beaucoup +)
« L'enfance étant la plus belle des patries, vous décrivez admirablement le pays d'où je viens. Dans le cheminement de l'idéation, de la pensée, il y a un champ de la rhétorique de ce que seule l'enfance connaît... »

Oh comme votre remarque est juste et parfaitement formulée !
J’ai traversé le pays d’où vous venez plusieurs années avant vous certainement, mais il vivra éternellement dans mon cœur et j’y veillerai dans mes mots.

Un grand merci cher compatriote pour ce rappel, et votre très belle appréciation.


Bonne soirée à tous et vivez demain ... avec l’âme d’hier...

Bonjour Castelmore !
Ce que vous soulignez est en effet important :
" L’émotion nait naturellement du fond évoqué et des images convoquées ... mais cela est évidemment insuffisant ! Elle est aussi je crois la résultante d’une forme de musicalité qui naît du rythme de la construction et des assonances."

Bonjour Marite

Une des difficultés et des plaisirs de la poésie contemporaine ou dite libre est de ne pas avoir de squelette rythmique ou phonique imposé, comme en néo ou plus encore en classique.
Il faut trouver son proche chemin, plus ou moins régulier, cahotant, harmonieux lourd, aéré...etc qui enfermera le propos dans le corps le plus approprié... faire ouvrage de « casting » en quelque sorte comme en production théâtrale ou cinématographique : choisir le meilleur «vecteur »
Merci pour votre retour.
Bonne soirée.

Bonjour Castelmore,

Je vous souhaite également que quelque zéphyr bienveillant parfume longtemps de sa douceur, et mieux que mes mots, votre âme de poète.

Merci pour ce retour attentionné.
Joli jour à vous,
Cristale

Belle soirée Cristale

Le jour s’éteint,
Un doux Zephir me caresse ...
Merci ...

La nuit s'éveille
Ses yeux remplis d'étoiles...
Un doux Zéphyr parfumé de mots
Berce l'âme du poète...

Alchimiste éternelle...
Sens, musique, parfum
Devra-t-elle choisir ?
Ou saura-t-elle créer l’alambic céleste
Qui sublime l’éther de ces trois enchanteurs ?