Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche


Accueil Oniropédia B Bouche Oniropédia
Chercher par lettre
Tous | A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | Autre

Bouche

Définition :
Dispositif anatomique extrêmement pratique tant il est doté de multiples fonctions à la manière d’un clapet qui permet de l’ouvrir avant de la fermer et vice versa. C’est un lieu de passage pour matières solides, liquides ou gazeuses, qui emprunte un sens ou un autre, qu’on avale, recrache, vomisse, qu’on aspire, expire ou éructe, qui peut, dans certains cas s’agrémenter de bulles d’air, de savon ou de malabar, nettement plus coloré en l’occurrence.

L’organe en question peut aussi émettre des sons plus ou moins harmonieux, chantés, sifflés ou articulés. Dans ce dernier cas, il permet de former des mots gros, petits, doux, rugueux à l’intensité sonore variable, allant du chuchotement inaudible, voire muet, aux cris d’orfraie les plus stridents.

Il peut aussi se propager d’oreille en oreille pour répandre des vérités dont tout le monde a entendu parler, mais dont on ne connaît plus l’origine.

Il sert ainsi à toutes sortes d’activités publiques ou intimes grâce à sa mobilité extraordinaire l’aidant à exprimer une palette d’émotions diversifiées en se formant et se déformant, selon les circonstances, en sourire béat, de connivence ou d’ironie, ou en élaborant des grimaces allant d’une simple moue à une expression proche du fondement d’un gallinacé, signe évident d’une supériorité mal placée.

La portée de ces expressions diffère selon la nature pulpeuse ou sévère de cet organe. Ainsi une bouche Oniris.be/modules/lexikon/entry.php?entryID=796" >Carnivore, gourmande ou pâteuse aura des effets sensiblement variables sur un partenaire éventuel, qu’il soit de simple conversation ou de plus si affinité. La nature potentiellement érotique du dispositif en question, bien connue depuis le grand Sigmund, permet de comprendre pourquoi nous apprécions, de façon très fine parfois, autant le lait maternel, la clope et autres douceurs dont nous ne dévoilerons pas ici la teneur afin de garder intacte l’humidification subséquente qui en découle. Il est, en effet, souvent préférable de la garder cousue sur ces questions.

Proposé par Pat, le 19-Oct-2008 12:22
Cette entrée a été vue 679 fois.

Mettre en favoris dans Blinklist  Mettre en favoris dans del.icio.us  Mettre en favoris dans Digg  Mettre en favoris dans Furl  Mettre en favoris dans Newsvine  Mettre en favoris dans Spurl  Mettre en favoris dans Y! Myweb  Mettre en favoris dans Google


Oniris Copyright © 2007-2023