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Absurdus Virtuelum Encyclopediae
Bisous
Définition :Vent doux et léger, ayant l’étrange faculté de réchauffer l’Oniris.be/modules/lexikon/entry.php?entryID=823" >Atmosphère au lieu de la rafraîchir.
Le bisou chasse efficacement les nuages et la grisaille des cœurs en soufflant de façon souvent multiple sur les versants humains exposés naturellement à son passage, c'est-à-dire le plus généralement sur la partie faciale de l’individu, plus précisément d’un point de vue anatomique de chaque côté de la bouche, voire même en son centre, si l’échange se fait encore plus doux et réchauffant et que la bise souffle avec intensité et palpitation dans les deux cœurs réunis.
À l’inverse du « grisou », son taciturne collègue laissant vagabonder ses humeurs noires dans les mines de charbon, grand broyeur et pourfendeur de lèvres, de poumons, d’os et de chairs humaines ayant de surcroît et pour des raisons obscures une préférence morbide pour la catégorie prolétarienne, «le « coup de bisou » lui, ne veut que le bien des hommes, la paix dans les chaumières et dans les poitrines, ne faisant voler en morceaux que les tristesses et les chagrins.
Le bisou chasse efficacement les nuages et la grisaille des cœurs en soufflant de façon souvent multiple sur les versants humains exposés naturellement à son passage, c'est-à-dire le plus généralement sur la partie faciale de l’individu, plus précisément d’un point de vue anatomique de chaque côté de la bouche, voire même en son centre, si l’échange se fait encore plus doux et réchauffant et que la bise souffle avec intensité et palpitation dans les deux cœurs réunis.
À l’inverse du « grisou », son taciturne collègue laissant vagabonder ses humeurs noires dans les mines de charbon, grand broyeur et pourfendeur de lèvres, de poumons, d’os et de chairs humaines ayant de surcroît et pour des raisons obscures une préférence morbide pour la catégorie prolétarienne, «le « coup de bisou » lui, ne veut que le bien des hommes, la paix dans les chaumières et dans les poitrines, ne faisant voler en morceaux que les tristesses et les chagrins.
Référence : Lire à ce sujet : « Germinal » 1885, E. Zola.