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En ce moment, nous avons 203 entrées qui commencent par cette lettre.
Chaman [Absurdus Virtuelum Encyclopediae]
Chimère constituée d’un être humain et d’un animal soyeux, griffu et ronronnant.
Champignon [Absurdus Virtuelum Encyclopediae]
Trempe hallucinogène.
Chapardage [Absurdus Virtuelum Encyclopediae]
(ou chat-pardage): Félin fort sympathique qui fait tendrement les yeux doux à son maître, tout cela pour voler le morceau de foie de veau posé sur le bord de la table à la première occasion venue.
Action de jouer avec son chat au jeu du chat. (S’il y a attrapage il y a perdage, d’où le nom…).
Action de jouer avec son chat au jeu du chat. (S’il y a attrapage il y a perdage, d’où le nom…).
Chapeau [Absurdus Virtuelum Encyclopediae]
Accessoire qui peut avoir de multiples fonctions. Ainsi il peut simplement servir à se protéger des intempéries ou d’un ensoleillement excessif, surtout si la masse capillaire manque d’étanchéité, d’épaisseur ou a tendance à disparaître. Par temps sec et tiède, il aura davantage une visée esthétique, soit pour camoufler une calvitie mal assumée, soit pour harmoniser sa tenue vestimentaire selon les canons en vigueur de l’époque ou au contraire pour s’en démarquer. L’accessoire en question peut aussi indiquer l’appartenance à une région particulière, comme le Mexique ou l’Ouest des États-Unis, ou à celle d’une catégorie spécifique d’individus comme les bourgeois, malfrats, ecclésiastiques ou espions de sa Majesté (dans ce cas, il est généralement assorti de bottes de cuir).
Le porter n’est pas toujours une bonne idée, d’ailleurs. On le nomme parfois couvre-chef, ce qui en dit long sur l’importance qu’on tente de lui donner, surtout si le nom de l’accessoire est prononcé sur le mode exclamatif.
Le porter n’est pas toujours une bonne idée, d’ailleurs. On le nomme parfois couvre-chef, ce qui en dit long sur l’importance qu’on tente de lui donner, surtout si le nom de l’accessoire est prononcé sur le mode exclamatif.
Chapeauté ! [Absurdus Virtuelum Encyclopediae]
Exclamation strasbourgeoise d’un amoureux des félidés…
Charançon (chat-rançon) [Absurdus Virtuelum Encyclopediae]
Espèce désignant le plus petit félin au monde. Le chat-rançon se reproduit à une très grande vitesse ce qui ne va pas sans provoquer quelque désagrément, celui-ci se nourrissant essentiellement de petites coupures de billets de banque usagées, qu’il grignote jusqu'à l’indigestion bancaire lors de ses sorties nocturnes. Le chat rançon est donc impitoyablement exterminé, surtout dans les foyers de revenus modestes où les billets de banques sont déjà assez rares comme ça.
Charentaise [Absurdus Virtuelum Encyclopediae]
Personne pantouflarde et frileuse dotée d’une certaine attirance pour le mauvais goût et les vêtements à carreaux, originaire, à l’origine, de la Charente maritime. On trouve désormais des charentaises dans l’ensemble du monde libre. / Charentaise (Chat-rentaise) : Félin très doux et aux poils drus, qui aime venir se blottir affectueusement aux pieds de son maître pour le réconforter et lui donner un peu de chaud au cœur (et aux pieds) dans ce monde de brutes… Accessoirement, les amateurs de taxidermie en font d’excellentes paires de pantoufles et pour pas cher encore !…
Charivari (Chat-Rivari) [Absurdus Virtuelum Encyclopediae]
Félin d’origine napolitaine qui chante des sérénades à sa belle de façon affreusement fausse, à la manière d’une casserole, lors des chaleurs vues ci-dessus. Celle-ci l’écoute attendrie du haut de sa gouttière, avec passion et un incroyable mal de tête, car si effectivement l’amour est aveugle, celui-ci n’est pas sourd…
Charmant [Absurdus Virtuelum Encyclopediae]
Qualificatif qui, lorsqu’il est attribué à une personnalité mâle issue d’une lignée prestigieuse et chevauchant un beau destrier blanc, alimente les rêves et les fantasmes féminins.
Charme [Absurdus Virtuelum Encyclopediae]
Appréciation subjective eu égard au degré d’attraction qu’exercent certaines personnes. Attraction pas forcément liée à des caractéristiques purement physiques, mais à quelque chose d’indéfinissable. Les avis divergent régulièrement sur ce quelque chose tant il est difficile d’en préciser la nature. Le charme peut être naturel ou artificiel. Dans ce dernier cas, il est généralement créé par certains êtres maléfiques sévissant aux abords de zones marécageuses. Ces individus, animés d’intentions suspectes, fabriquent la mixture, censée délivrer le charme, dans de grands chaudrons en perpétuelle ébullition dans lesquels mijotent des ingrédients variés et avariés au fumet nauséabond. La touche finale à cette préparation délicate consiste à réciter certaines litanies incompréhensibles sur un ton dramatique accompagné de grands gestes et de mimiques expressives. L’efficacité laisse toutefois à désirer, notamment en ce qui concerne la pérennité du charme en question. Sans compter les erreurs regrettables*.