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Botanique [Absurdus Virtuelum Encyclopediae]
Célèbre coup d’épée dont on cultive la tradition chez les escrimeurs.
Botaniquer [Dictionnaire parallèle]
Se livrer à des ébats phytothérapeutiques.
Boucantique [Dictionnaire parallèle]
Cacophonie religieuse.
Bouche [Absurdus Virtuelum Encyclopediae]
Dispositif anatomique extrêmement pratique tant il est doté de multiples fonctions à la manière d’un clapet qui permet de l’ouvrir avant de la fermer et vice versa. C’est un lieu de passage pour matières solides, liquides ou gazeuses, qui emprunte un sens ou un autre, qu’on avale, recrache, vomisse, qu’on aspire, expire ou éructe, qui peut, dans certains cas s’agrémenter de bulles d’air, de savon ou de malabar, nettement plus coloré en l’occurrence.
L’organe en question peut aussi émettre des sons plus ou moins harmonieux, chantés, sifflés ou articulés. Dans ce dernier cas, il permet de former des mots gros, petits, doux, rugueux à l’intensité sonore variable, allant du chuchotement inaudible, voire muet, aux cris d’orfraie les plus stridents.
Il peut aussi se propager d’oreille en oreille pour répandre des vérités dont tout le monde a entendu parler, mais dont on ne connaît plus l’origine.
Il sert ainsi à toutes sortes d’activités publiques ou intimes grâce à sa mobilité extraordinaire l’aidant à exprimer une palette d’émotions diversifiées en se formant et se déformant, selon les circonstances, en sourire béat, de connivence ou d’ironie, ou en élaborant des grimaces allant d’une simple moue à une expression proche du fondement d’un gallinacé, signe évident d’une supériorité mal placée.
La portée de ces expressions diffère selon la nature pulpeuse ou sévère de cet organe. Ainsi une bouche carnivore, gourmande ou pâteuse aura des effets sensiblement variables sur un partenaire éventuel, qu’il soit de simple conversation ou de plus si affinité. La nature potentiellement érotique du dispositif en question, bien connue depuis le grand Sigmund, permet de comprendre pourquoi nous apprécions, de façon très fine parfois, autant le lait maternel, la clope et autres douceurs dont nous ne dévoilerons pas ici la teneur afin de garder intacte l’humidification subséquente qui en découle. Il est, en effet, souvent préférable de la garder cousue sur ces questions.
L’organe en question peut aussi émettre des sons plus ou moins harmonieux, chantés, sifflés ou articulés. Dans ce dernier cas, il permet de former des mots gros, petits, doux, rugueux à l’intensité sonore variable, allant du chuchotement inaudible, voire muet, aux cris d’orfraie les plus stridents.
Il peut aussi se propager d’oreille en oreille pour répandre des vérités dont tout le monde a entendu parler, mais dont on ne connaît plus l’origine.
Il sert ainsi à toutes sortes d’activités publiques ou intimes grâce à sa mobilité extraordinaire l’aidant à exprimer une palette d’émotions diversifiées en se formant et se déformant, selon les circonstances, en sourire béat, de connivence ou d’ironie, ou en élaborant des grimaces allant d’une simple moue à une expression proche du fondement d’un gallinacé, signe évident d’une supériorité mal placée.
La portée de ces expressions diffère selon la nature pulpeuse ou sévère de cet organe. Ainsi une bouche carnivore, gourmande ou pâteuse aura des effets sensiblement variables sur un partenaire éventuel, qu’il soit de simple conversation ou de plus si affinité. La nature potentiellement érotique du dispositif en question, bien connue depuis le grand Sigmund, permet de comprendre pourquoi nous apprécions, de façon très fine parfois, autant le lait maternel, la clope et autres douceurs dont nous ne dévoilerons pas ici la teneur afin de garder intacte l’humidification subséquente qui en découle. Il est, en effet, souvent préférable de la garder cousue sur ces questions.
Boucouillon [Dictionnaire parallèle]
Ancien potage préparé par des sorcières destiné à de gentilles personnes de sexe masculin, dont la naïveté peut être touchante ou énervante, selon notre humeur. Synonyme : bouillon d’onze heures quarante !
Bouddha [Absurdus Virtuelum Encyclopediae]
Interjection d’origine slave qui exprime deux sentiments contradictoires successifs : le rejet (bouh !) et l’acceptation (da !).
Bouddhanesthésie [Dictionnaire parallèle]
Technique de méditation préopératoire.
Bouffée [Absurdus Virtuelum Encyclopediae]
Repas festif organisé par des êtres merveilleux et bienfaisants dans une ambiance forestière. Le menu proposé est tiré des ressources naturelles locales comme les herbes et les champignons, d’où l’expression : "hier soir, j’ai fait une bouffée délirante, qu’est-ce qu’on s’est bien, marrés !"
Boule [Absurdus Virtuelum Encyclopediae]
Les hommes les préfèrent par paires. Pour se rassurer, ils les font remonter sous les oreilles en les maintenant à l’aide du pouce et de l’index, et peuvent ainsi proclamer qu’elles sont toujours là.
Bouledogue [Absurdus Virtuelum Encyclopediae]
Jeu inventé par des félinophiles-canidéphobiques en analogie avec un sport (enfin… c’est vite dit !) courant dans le midi de la France… Ce jeu utiliserait certaines parties charnues et inutiles d’un type de canidé réputé pour sa mauvaise humeur…
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