Je vous annonce une bien mauvaise nouvelle : le décès de janeR, survenu fin août, des suites d'une intervention chirurgicale.
Passionnée par l'écriture et ancienne institutrice, elle avait 85 ans.


Son époux.

Bonsoir
Toutes mes condoléances.
Une belle plume nous a quitté.
Qu'elle repose en paix.

Bonsoir,

Je suis navrée d'apprendre cette bien triste nouvelle.
Ne la connaissant que par ses textes, je ne peux qu'imaginer le vide qu'elle laisse.

Beaucoup de courage à vous et à sa famille dans cette épreuve.

Bonsoir Monsieur,
Une bien triste nouvelle, en effet.
Je viens de survoler quelques-uns des textes de votre épouse et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle était en effet une vraie passionnée de cet art.

Permettez-moi de vous faire part de mes plus sincères condoléances et de vous souhaiter beaucoup de courage en ces moments difficiles.
Olivier

Bonsoir monsieur,

Toutes mes condoléances.
Je vous remercie de nous avoir fait part de cette triste nouvelle.
Ses poèmes en prose me manqueront.

Monsieur, en mettant bout à bout quelques titres des nombreux écrits de votre épouse, je me suis permis d'écrire ce modeste quatrain qui ne vaut pas grand chose certes, mais qui, je l'espère, vous apportera un peu de chaleur.
Cordialement
Olivier

De la balançoire à la rive d'océan,
D'une promenade aveugle à la fleur de volcan,
La mouvance de la femme vivante du musée
A atteint le Zénith, laissant ici-bas une image mouillée.

Je vous adresse Monsieur toutes mes condoléances.

Jane nous a quitté.
Son talent notamment dans l'écriture de ses textes en prose était remarqué ici.

Je suis sincèrement attristé, Monsieur, de la nouvelle que vous nous annoncez.
Veuillez donc accepter toutes mes condoléances.
Votre épouse se manifestait très rarement sur le site, à l’exception des quelques textes qu’elle y publiait. J’ai eu le plaisir d’aimer passionnément son texte Cakes for tea, sentiment assez rarement éprouvé à la lecture de nos productions d’amateurs passionnés.

Voici quelques mots que j’ai employés pour en parler :
« Quelle prose ! Quelle beauté ! Quelle poésie dans ces vrilles de noix, d’amandes et de sucre roux ! »
« Je vous quitte, je vous quitte, JaneR,
J’ai mieux, bien mieux, tellement mieux à faire :
Vous lire les yeux en l’air »

Oui, son écriture était parfois touchée par la grâce.
Je pense à elle.

De tout cœur avec vous, Monsieur.
Toutes mes condoléances.

Salut à vous !

Vous êtes bien gentil de nous faire part de cette nouvelle. Je ne la connaissait pas assez votre épouse, mais si les gens d'Oniris en disent du bien, c'est qu'elle était une personne bien.

Toutes mes condoléances à vous et à votre famille, Monsieur, ça doit être une grande perte pour vous ! N'hésitez-pas, Monsieur, si vous pensez qu'un texte de ceux qui ont partagé sa passion pourrait être le bienvenu pendant ses obsèques, de nous demander d'en produire un, je pense que nous nous ferons plaisir d'en composer un collectivement.(Je parle en mon nom, mais je sais que quelques uns pourraient bien me suivre dans cette idée.)

Wan