Ce n’est pas grand-chose mais pour moi c’est déjà énorme. Deux nouvelles passées par Oniris ont récemment été publiées. L’une dans un recueil de nouvelles Prix Lélia, l’autre dans une revue artistico-littéraire (arts graphiques, poèmes, nouvelles) Encres n°10 .
La première s’appelle "Sur Mars", où des taïkonautes découvrent des empreintes de pas sur la planète rouge qui ne sont celles que du Petit Prince en visite. La seconde,"Aube", se déroule aux temps préhistoriques et évoque la rencontre entre deux espèces d’hominiens. Pour des raisons de droits de publication j’ai dû les retirer du catalogue.
Je ne remercierai jamais assez Oniris dans sa totalité, équipe et commentateurs, sans qui je ne pourrais progresser dans mon écriture.

je suis contente pour vous Malitorne! !

et j'espère que cela vous conduira plus loin, selon vos souhaits.

Merci beaucoup Plumette. Mon objectif premier c’est de voir éditer un recueil de mes nouvelles sur papier, le numérique ne m’intéresse pas. La concurrence étant rude, pléthorique, je vais cibler une niche qui j’espère me démarquera des autres : les Pyrénées et le fantastique, sur le modèle du texte Zugarramurdi qui avait rencontré un beau succès ici. Oniris me sert aussi à ça, évaluer ce qui plaît, ce qui ne plaît pas.
En tout cas un travail de longue haleine, qui m’oblige à reprendre tous les écrits concernés un par un. Mais j’ai la foi !

Bravo et félicitations.

Parle-nous un peu des revues, stp. Elles sont basées sur deux seuls l genres, ou ce peut-être soit les Pyrénées, soit le fantastique (en habitant les Pyrénées)?

Malitorne,

Les éditeurs locaux sont souvent plus sensibles aux auteurs locaux.
s'agissant de mon expérience, après avoir envoyé mon recueil de Nouvelles à des maisons nationales que j'avais ciblées en me renseignant sur leur ligne éditoriale, je n'ai pas hésité à écumer quelques salons du livre locaux où j'ai rencontré à la fois des auteurs et des petits éditeurs artisanaux pour un partage d'expérience.
c'est ainsi que mon projet a fini par déboucher sur un contrat d'édition avec une éditrice de "proximité".

j'ai acheté récemment un livre chez un petit éditeur qui m'a paru intéressant ( joli travail) Il s'agit des Editions du jasmin.

j'ai aussi apprécié un livre édité chez les éditions Moires ( basées à Bordeaux)

j'ai une amie qui a publié aux Editions Noir et Blanc ( basées à Toulouse)

Voilà quelques pistes, mais je me doute bien que tu en as d'autres!

bonne chance à toi!

modéré: hors sujet


Parle-nous un peu des revues, stp. Elles sont basées sur deux seuls genres, ou ce peut-être soit les Pyrénées, soit le fantastique (en habitant les Pyrénées)?

Je continue mon chemin dans le monde foisonnant et disputé des concours et appel à textes sur le territoire. Beaucoup d’échecs mais aussi quelques succès, dont le dernier en date avec la publication de ma nouvelle « Tourne Naïma, tourne ! » que j’avais écris ici dans le cadre d’un défi. Je ne saurais que vous conseiller de participer à ce genre d’exercices qui peuvent être de bons tremplins.
Voici le site de la maison d’édition et des numéros en ligne, je suis dans le n°49, huitième auteur en partant du haut (adieu l’anonymat !) : https://www.ruesaintambroise.com/publications
Comme l’éditeur ne réclame pas de droits d’exclusivité je ne retire pas la nouvelle, elle a juste subi quelques petites modifications depuis. Merci à Oniris de m'avoir poussé à imaginer cette histoire.

Félicitations, Malitorne !

C'est chouette de faire ainsi partager sa passion pour l'écriture via le format papier...

Je me souviens bien de cette nouvelle publiée sur Oniris. Un texte dense, troublant... et fort bien écrit.

Mes vœux de succès pour ce recueil collectif !

Merci Lulu c'est gentil. La littérature numérique ne m'intéresse pas du tout, pourtant il y a beaucoup d'opportunités mais je suis de la vieille école, il me faut du papier entre les mains.
En vérité j'ai été surpris que cette nouvelle envoyée au hasard ait été retenue. Comme quoi l'originalité du thème est parfois plus importante que la qualité de la plume.

Oh, au-delà du thème, il y a la qualité de la plume dans cette nouvelle... Une qualité en-deçà sur un tel thème ne serait pas passé...

Perso, je suis aussi de la vieille école pour ce qui relève de la littérature. J'aime encore aller en bibliothèque et en librairie, mais je commence à voir aussi ce changement qui touche inévitablement les plus jeunes générations, et a fortiori aujourd'hui. Des débuts du numériques à notre époque, il y a une vraie évolution.

Mais je partage cette envie de préserver les livres sous format papier. Ils nous sont essentiels, y compris pour les nouvelles générations.