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Quelques mots sur : "Lorsque j'étais"
Maître W
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« Lorsque j’étais » est un projet qui me trottait dans la tête depuis 6 mois.

Il y a deux ans, j’ai lu un roman d’Arthur Schnitzler qui s’intitule « Mourir » dont je vous donne le pitch :

Félix et Marie forment un jeune couple à qui la vie sourit...jusqu'à ce qu'ils se retrouvent soudain confrontés à la mort. Félix apprend de la bouche d'un éminent spécialiste que ses jours sont comptés. Il va d'abord s'efforcer de faire bonne figure, se prétendre de taille à affronter en philosophe un destin cruel, tout en souhaitant le bonheur de sa compagne. Bientôt, pourtant, le masque stoïque se fissure. A mesure qu'approche l'issue fatale, Félix ne veut plus admettre que Marie puisse jouir de la vie après sa disparition et lui demande de mourir avec lui.

Entre l'amour et la mort, la jeune femme devra choisir...


Comme je l’ai indiqué en préambule du texte, j’ai pris des libertés sur l’histoire (dans ma nouvelle, c’est la femme qui de son plein gré demande à mourir avec son compagnon), mais mon objectif est resté le même : confronter un couple passionnément amoureux (avec tout ce que cela comporte de plus excessif, d’exclusif, de déchirant) à un choix tout aussi extrême et cruel : vivre sans l’Autre… ou mourir ensemble.

Avec cette interrogation sous-jacente : L’envie de VIVRE est-elle plus forte que le GRAND amour ?

Ce projet se compose en deux parties. C’est un diptyque. Une histoire à deux faces. Deux voix. Deux visages. Deux cœurs. La partie qui vient d’être postée est la partie masculine. Je me suis chargé d’être ce personnage masculin afin d’être plus crédible sur le registre émotionnel (l’égoïsme et l’égocentrisme, je connais !). Pour le pendant féminin de ce drame il m’a semblé plus sage de le confier à un autre auteur que moi. Une femme (enfin, deux).

J’ai bien entendu -et je les accepte comme à chaque fois- les critiques et notamment certains points d’ordre « technique » (un homme dans cet état devrait être à l’hôpital, il ne pourrait supporter la douleur sans médicaments…). Cela m’a fait réfléchir. Il est possible que dans une seconde mouture, le texte en tienne compte. Mais, pour ma part, je ne tenais pas spécialement à entrer dans ce registre « cartésien » pour rester sur ce qui m’intéressait de prime abord à savoir l’étude psychologique de l’homme avec pour objectif d’embarquer le lecteur dans « cette descente aux enfers ». Je suis content que cela ait pu fonctionner sur certains d’entre vous jusqu’à maintenant.

Je ne vais trop parler du personnage masculin. Pour beaucoup il apparaitra comme « le méchant » de l’histoire (j’avoue regretter de voir qu’il n’inspire que du mépris auprès de la majorité, preuve que je dois retravailler ce point là également). Je dirais juste – sans vouloir l’excuser - qu’il souffre et que dans sa vision des choses (à l’origine, je rappelle, il n’a JAMAIS demandé à ce que sa femme meure avec lui), il s’est senti trahi. A tort ou à raison…

Enfin, même si je n’ai pas du tout d’expérience dans le domaine de la passion, je présume que lorsqu’on aime (ou qu’on a aimé) avec tellement de force et d’intensité et qu’on souffre autant physiquement que psychologiquement, on peut basculer vers les ténèbres et être dévoré par un sentiment tout aussi destructeur que la passion. Lorsque l’on hait comme ça, il n’y a plus rien de logique, de réfléchi. Dès lors, on devient injuste. Cruel. Mauvais.

Voilà ce que je pouvais dire « en gros ».

Merci pour vos commentaires (même à Luluberlu qui a le talent inouï de juger d’un texte en ne lisant que les 5 premières lignes) qui m’aideront à revoir (ou supprimer) certains passages.

Widjet

Contribution du : 24/03/2010 09:53
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Re : Quelques mots sur : "Lorsque j'étais"
Chevalier d'Oniris
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Je reprends les idées comme elles me viennent... sans cadre de citation parce que je ne sais pas faire (je sais, je suis nulle. Et je ne sais même pas souligner, mettre en gras ou en italique... Je vais me cacher quoi)...
Une chose avant... Je suis p'tite nouvelle, un peu comme un cheveux sur la soupe... On se tutoit quand même ? :)
Bon, je me permets, hein ?

""les critiques et notamment certains points d’ordre « technique » (un homme dans cet état devrait être à l’hôpital, il ne pourrait supporter la douleur sans médicaments…). Cela m’a fait réfléchir. Il est possible que dans une seconde mouture, le texte en tienne compte. Mais, pour ma part, je ne tenais pas spécialement à entrer dans ce registre « cartésien » pour rester sur ce qui m’intéressait de prime abord à savoir l’étude psychologique de l’homme avec pour objectif d’embarquer le lecteur dans « cette descente aux enfers ». ""
==> tout à fait d'accord, cétait pas le sujet et ça n'avait pas à l'être. Ca aurait été de la friture sur le fond du texte et c'es bien comme ça, je trouve. Le manque d'aspect technique ne m'a pas dérangé du tout.

""Enfin, même si je n’ai pas du tout d’expérience dans le domaine de la passion, je présume que lorsqu’on aime (ou qu’on a aimé) avec tellement de force et d’intensité et qu’on souffre autant physiquement que psychologiquement, on peut basculer vers les ténèbres et être dévoré par un sentiment tout aussi destructeur que la passion. Lorsque l’on hait comme ça, il n’y a plus rien de logique, de réfléchi. Dès lors, on devient injuste. Cruel. Mauvais.""
==> très juste. De l'amour à la haine, il n'y a qu'un pas.

""Félix ne veut plus admettre que Marie puisse jouir de la vie après sa disparition et lui demande de mourir avec lui.""
Mais il est bien pire que le tien ce personnage !!!!

""vivre sans l’Autre… ou mourir ensemble.

Avec cette interrogation sous-jacente : L’envie de VIVRE est-elle plus forte que le GRAND amour ?""
==> Mais bien sûr qu'il faut choisir de "VIVRE sans l'autre" et pas de mourrir avec le grand AMOUR !! (surtout dans ton texte où à mon sens, lhomme n'aime pas réellement la femme, mais je ne reviens pas là dessus)
Mais j'ai un peu menti dans mon comm' (ou plutot j'ai réfléchis depuis) et je te répondrais quand même que oui, c'est vrai, il y a des femmes prêtes à le faire. Mais c'est un truc de nanas je pense... plus que d'homme. La sensiblerie, sans doute et pire que tout : leur tendance à se rendre dépendante vis-à-vis de l'homme... Sans lui, il n'y a plus rien. Sans la drogue, on crève de manque, parce qu'on a oublié de vivre pour autre chose pdt qu'on se droguait.
Je te dis qu'il faut "vivre" parce que aujourd'hui (et tu mets ce mot en italique) je ne suis pas amoureuse mais c'est vrai que ce truc auraitpu m'arriver... Y'a un moment.
Comme, si j'ai bien compris, tu n'es pas une fille (lol) et tu n'as pas vécu la super-passion-qui-déchire-tout, je vais te donner mon ressentis (une femme parmi d'autres, d'accord, on est toutes différentes).
L’envie de VIVRE est-elle plus forte que le GRAND amour ?
Je dirais donc que non, quand la femme est encore amoureuse mais que oui, quand elle ne l'est plus parce qu'elle se dit que c'est une belle connerie et qu'elle aurait pu passer à côté de sa (italique) vie. Le pbm, bien souvent, c'est qu'on vit pour (italique (putain, j'en ai marre)) l'autre et qu'on a oublié comment on faisait avant. Seulement, on faisait (italique, ggrrrr) avant. Et on n'était pas forcément malheureux. Il faut juste avoir la lucidité de se dire qu'un grand amour, c'est bien mais la vie ne se résume pas à ça (ni au grand amour, ni à l'amour en général). Je ne crois pas en ces gens qui disent que sans amour, une vie ne vaut d'être vécu. Ben si. On aura vécu pour soi, et c'est déjà pas mal.

PS : rien à voir, mais "hold-up", génial le coup des déf au milieu. Et "mort d'un requin", l'humour absurde m'a fait bcp rire (le "et vous non plus" adressé à l'autre frère siamois, mdr) de même que Jeanne Epachingé (génial) et l'auteur et le personnage principal qui converse. Je ne vais pas aller commenter, mais je te le dis ici, du pur bonheur ces nouvelles.
Je me rattrape.... :)
M_M

J'écris bcp et je m'égare... Bon alors, c'est ça le flood ? Je vais me faire virer ? Elle me fait peur votre charte...........

Contribution du : 24/03/2010 19:25
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Re : Quelques mots sur : "Lorsque j'étais"
Maître W
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Bonsoir Margone_Muse,

Laisse-moi d’abord te rassurer sur deux points (si tant est que tu étais inquiète).

1/ Oui, tu peux me tutoyer
2/ Non, tu ne floodes pas

Merci de ton explication.

Sur cette question sous-jacente (vivre sans lui/mourir avec lui), je ne crois pas qu’il y a une réponse « type ». C’est d’ailleurs ce point qui a motivé l’écriture de ce texte. Et indépendamment de l’approche faite (qu’elle soit réussie ou ratée), l’idée que les avis et interprétations puissent être différentes sur ce point prouvent au moins que ce n’est pas aussi simple et évident que ça.
Enfin, je pense.

Je me permets d’être en désaccord lorsque tu dis que cet homme n’aime pas sa femme. Je prends ton point, mais je crois au contraire qu’il l’aime. Je n’ai pas de doute sur la sincérité de son amour… Oui, Il l’aime, mais à sa façon (qui est elle en revanche peut-être contestable voire répréhensible).

Je crois qu’on aime tous d’une manière qui nous est propre. On peut aimer… mal, je crois.

Mais là aussi, il est probable que je n’ai pas été convaincant pour retranscrire cela.

En terme d’enseignements et au vu de ce que j’ai lu comme commentaires ou des messages sur MP que j’ai reçu, il semble que je n’ai pas bien réussi à « humaniser » cet homme qui semble être perçu comme le dernier des monstres. Certes, je ne voulais pas le rendre attachant (surtout pas), mais pas aussi haïssable. Mauvais point pour moi.

Je travaillerai sur ce point en particulier (en tenant aussi compte de l’autre auteur qui devra se charger de la vision féminine de cette tragédie car il est important que les deux versions se complètent bien afin de former un tout cohérent qui – et c’est aussi le but - doivent bousculer – essayer du moins – le lecteur dans ses certitudes et justement ne pas juger ni l'un ni l'autre des protagonistes).

Merci encore

W

Contribution du : 24/03/2010 20:25
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Re : Quelques mots sur : "Lorsque j'étais"
Chevalier d'Oniris
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"" en tenant aussi compte de l’autre auteur qui devra se charger de la vision féminine ""
Tu comptes retravailler ta nouvelle ? Pourquoi ne pas avoir attendu de voir ce que l'autre auteure va écrire avant de la faire "d'un coup" ?

Je te l'accorde. On peut aimer mal. Disons qu'il l'aime, à sa façon, comme tu dis. Il doit avoir vraiment la trouille de mourrir et de la perdre par la même alors...
C'est tout de même un amour très égoïste qu'il lui porte...

Sinon, je ne le trouve pas plus que ça déshumanisé ton personnage...

Contribution du : 24/03/2010 20:34
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Amorce
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Re : Quelques mots sur : "Lorsque j'étais"
Chevalier d'Oniris
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bref, je lirai la seconde version avec plaisir :)
Bon courage (parce qu'effectivement, c'est compliqué comme thème. Et tu ne mettras jamais tout le monde d'accord)

Contribution du : 24/03/2010 20:37
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Amorce
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Re : Quelques mots sur : "Lorsque j'étais"
Visiteur 
Citation :
Merci pour vos commentaires (même à Luluberlu qui a le talent inouï de juger d’un texte en ne lisant que les 5 premières lignes) qui m’aideront à revoir (ou supprimer) certains passages.

Eh bien non, pas cinq mais au moins 20. Alors explication de texte :
quand on lit un roman de 200 pages ou plus on peut se permettre d'entrainer le lecteur progressivement dans l'histoire ; c'est ainsi qu'il m'arrive de m'accrocher en me disant que, si le début ne me séduit pas, la suite à des chances d'être plus captivante. parfois ça marche, parfois non.

Pour un texte de 28 535 caractères on ne peut se permettre cela parce qu'avant d'avoir accroché le lecteur on est arrivé à la fin. Et là je persiste et je signe et ne renie en rien mon commentaire. C'est pourquoi de plus en plus souvent, s'il n'y a pas d'accroche, je laisse tomber. Je ferai remarquer que, par égard pour l'auteur, je ne mets pas d'appréciation du style faible ou autre. Tout le monde a droit à l'erreur (lecteur ET auteur).

[Modéré pour Hors-Sujet]


Contribution du : 24/03/2010 21:01

Edité par David le 24/3/2010 21:25:39
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Re : Quelques mots sur : "Lorsque j'étais"
Maître des vers sereins
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Modération

J'ai dû intervenir sur du hors-sujet, pour un des post de Margone_Muse et une partie de l'intervention de Luluberlu ci-dessus.

Aucune réplique à cette modération ne sera tolérée ici, les contestations sont à faire par MP.

Contribution du : 24/03/2010 21:25
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Un Fleuve
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Re : Quelques mots sur : "Lorsque j'étais"
Maître Onirien
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Bonsoir widjet,

En regard de ce que tu dis au sujet de l'histoire qui en fait constituera un dyptique, vue d'un côté par l'homme, de l'autre par la femme, j'aurais trouvé préférable de mettre les deux versions ensemble, soit simultanément mais cela semble difficile avec le système de prélecture, soit bout à bout.

Cela aurait changé les commentaires (en tous cas sans doute le mien) et la perception du texte. Surtout que si par dommage l'autre texte ne passe pas la barre de la prélecture, nous serons privés de l'autre point de vue.

Mais bon, les choix d'auteurs ne se discutent pas
Bonne soirée.

Contribution du : 24/03/2010 21:33
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Re : Quelques mots sur : "Lorsque j'étais"
Visiteur 
AH cette explication me donne envie de réagir (un peu) Elle ne change pas pour autant ma vision du texte mais...

AU sujet de l'homme personnellement je ne l'avais pas trouvé haïssable au contraire j'avais même bien compris la surprise, le sentiment d'abandon de trahison et la souffrance qui l'ont mené à la haine. D'ailleurs je pense que la haine est le revers de l'amour au sens strict. (A mon sens tu t'es pas planté du tout )

Non moi ce qui m'a gênée c'est la proposition de pacte de la femme. Car je pense sincèrement mais c'est ma vision que le choix n'est pas contrairement à ce que tu dis : L’envie de VIVRE est-elle plus forte que le GRAND amour

Parce qu'on peut très bien vivre avec le SOUVENIR d'un grand amour et personnellement plutôt que d'entraîner celui que j'aime dans la mort je suis certaine au moins de survivre dans sa tête et c'est ce choix là que je ferai. Qu'il vive pour que je vienne le hanter parce que tant qu'il vivra un peu de moi sera (encore) vivant. (et ça c'ets encore plus égocentrique finalement)

Bref en tout cas merci pour ce texte même si c'est drôle c'est un truc auquel j'avais déjà réfléchi, et c'est pourquoi je suis curieuse de voir le côté féminin (en même temps j'ai hâte)

Contribution du : 24/03/2010 21:54
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Re : Quelques mots sur : "Lorsque j'étais"
Maître Xuanzen
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Bonjour widjet,

Merci pour ces précisions sur ta dernière nouvelle "Lorsque j'étais", qui me permet de mieux la comprendre.

Le fait que - dans ta nouvelle, contrairement au roman d’Arthur Schnitzler - la femme ait choisi de son plein de mourir avec son ami a retenu mon attention.
Si dans la réalité je me demande si beaucoup auraient son courage, sur le plan du scénario j'apprécie par contre ce choix, qui à mon avis rend ce personnage féminin, ce couple (plus) singuliers, (davantage) romanesques.
Cette histoire, qui dans l'ensemble m'a intéressée et plu, pourrait faire réagir le lecteur, en l'amenant à se demander ce qu'il aurait fait dans une telle situation.

Bonne continuation.

Contribution du : 24/03/2010 22:27
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http://xuanadoo35.unblog.fr/recueils-de-nouvelles/ (extraits de nouvelles en ligne) et http://xuanadoo35.over-blog.com/pages/Mes_coups_de_coeur_sites_amp_blogs-2436675.html (Annuaire littéraire)

Voir, entendre, aimer. La vie est un cadeau dont je...
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