Oui, un petit post pour dire que ce poème est le premier d'une série qui raconte une passion adultère, avec une matière particulière pour composer chaque poème (ici les astres). Ne vous formalisez donc pas du descriptif du poème qui mord un peu sur la suite.

Simplement pour ajouter une explication : en écrivant ça j'imagine un type qui en veut au femmes en général, trop superficielles, et n'en retient qu'une : une étrangère qu'il rencontre en catimini à l'hôtel depuis quelques temps, peut-être en voyage d'affaire, et dont le charme lui est irrésistible.

Il n'y a rien à comprendre en particulier simplement à aimer, ne pas aimer, ou se taper du poème. Et surtout, si vous en avez la patience, commenter ! car je retravaille tous mes textes à votre lanterne :). Voilà, bonne lecture !

Chiffon

Ah, je comprends mieux alors, c'est une série! Je me disais aussi il manque quelque chose, d'ailleurs je l'avais soulevé en commentaire... Et bien j'attends de voir la suite dorénavant...

et bien moi je suis passée carrément à coté...
malgré l'explication, je reste sur le bas coté.

Toujours un peu perplexe, j'attends la suite. Ma curiosité est piquée.

Une seconde intervention pour rentrer dans les détails, puisque certains le demande et je les en remercie !

"Sales naines, blanches et brunes,
Étoiles et semi-régulières,"
Position hautaine et dégradante face aux femmes, stars ou quidams
De vos univers
Référence à biba et cosmopolitan
De vos lunes
Références aux fesses
Derrière mes lunettes,
Référence à mon personnage frustré et observateur
Je gère.

"Comètes cosmétiques.
Vos corps célestes,
Et leurs trajectoires,
Vénus,
Dans mon observatoire,
Je reste."
Poursuite de la métaphore filée

Gommettes cosmiques,
Cachez-les !
De leurs Trous Noirs,
Leurs Uranus,
Qu’on télescope :
Stop.
Référence à la pornographie ou au classique "toute des s.."

"À mon exoplanète :
Ton accent qui inspire notre révolution,
Dans ton orbite, je reste,
Dans ta nation, je m’emmure."
Tout le charme de notre étrangère

"Alors que tu t’éclipses" tu t'en vas
"De ma chambre, au Mercure," de l'hôtel
"J’essaye tes anneaux,
J’essaye ta ceinture,"
Travestissement, fantaisie et mépris de son mari
"Ma géante bleue." pour la poésie

Tout cela étant bien sûr une fiction, reflétant la vie et les positions d'un personnage inventé : j'ai pas les moyens d'aller à l'hôtel et je ne parle que le français :)

Bref ce "poème" est une petite fantaisie introductrice. Merci à tous ceux qui l'ont commenté. L'accueil étant mitigé je vais peut-être revoir ma copie ou me pencher sur d'autres travaux.

A très bientôt.

Chiffon

bien que mon interprétation soit différente de l'auteur, une chose qui ne m'a pas échappé c'est cette fantaisie justement, un registre dont je ne me souviens pas en avoir lu sur Oniris. Ne change pas ce côté fantaisiste.

Merci pour l'explication, bien qu'au départ j'avais pourtant compris le fond, mais...je ne vais pas polémiquer sur mon choix d'interprétation, je ne saurai l'expliquer.