Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche



Parcourir ce sujet :   1 Utilisateur(s) anonymes





ƒ
Maître Onirien
Inscrit:
28/04/2010 15:29
Groupe :
Comité Editorial
Groupe de Lecture
Auteurs
Membres Oniris
Évaluateurs
Post(s): 11151
Hors Ligne
Une ou deux explications pour ce texte...

Le titre : ƒ est un symbole mathématique, lié aux fonctions infinies. Le texte évoque l'amour, il est construit comme une boucle sans fin, partant de 1 à 13 pour revenir à son début.

6 lignes bleues qui s'ornent sous tes doigts est un vers qui évoque les lignes d'un cahier qui se remplit sous les doigts qui tracent les lettres.

Le texte est un jeu d'écriture, basé sur le rythme, il avait été construit en première intention pour monter une à une les douze bougies d'un anniversaire, mais il me semblait qu'il y manquait une dimension, c'est pourquoi le 13 est arrivé, puis la boucle qui relance le tout, comme la vie qui n'en finit pas de se continuer.

La construction des 11 premiers vers autour du qui est volontaire, pour le rythme, mais aussi pour sa rupture (l'amour quant à lui dure).

Je remercie tous les lecteurs qui m'ont laissé une trace intéressante de leur passage sur ces 14 lignes (au fait, il y a également une part de symbolique des chiffres, si l'on souhaite une clé de plus)

Merci à vous et à bientôt.

Framato

Contribution du : 30/12/2010 18:27
_________________
Dans une poignée de sable de la route, j'ai mis un rayon de soleil qui brille, un murmure du vent qui se lève, une goutte du ruisseau qui passe et un frisson de mon âme, pour pétrir les choses dont on fait les histoires.
Jean Ray - Les derniers contes...
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : ƒ
Visiteur 
Il serait intéressant de discuter du sujet de fond (pas l'infini, le temps qui passe) en parallèle avec le sujet de PostBlue sur son poème.

Merci pour l'explication des lignes bleues et de la construction rythmique (mes questions ont obtenu réponse).

Contribution du : 02/01/2011 18:21
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : ƒ
Maître Onirien
Inscrit:
28/04/2010 15:29
Groupe :
Comité Editorial
Groupe de Lecture
Auteurs
Membres Oniris
Évaluateurs
Post(s): 11151
Hors Ligne
re-merci à chacun des lecteurs...

@ Postblue : Citation :
J'ai l'impression de lire une petite chanson qu'une fillette chanterait en sautant à la corde, ou en jouant à l'élastique. La fraîcheur juvénile et les boucles blondes en moins.


Cool, c'est exactement l'effet ambigu que je souhaitais...

Par contre je comprends mal la remarque sur les jeux de mots lourdingues. Il n'y en a qu'un, venant au 13, symbole de trahison...

c'est le seul chiffre qui ait un sens sonore, trahissant les autres.

Bah, ceci n'a pas bcp d'importance au fond, ce ne sont que des mots, légers au demeurant.

Ceci dit, je retiens que le sens doit être une évidence pour qu'un texte ne ressemble pas à une private joke...

(mon dieu que c'est triste - je n'ose pas imaginer cette vision là, à quel point elle peut être castrante)

Donc, à croire certains lecteurs, un texte ne peut exister s'il est un tant soit peu interprétable comme personnel ?

Je suis assez étonné par cette façon de voir les choses (superbement développée dans le commentaire de Léo :
Citation :
cela devient une écriture à usage interne, qui a sa place dans un cercle restreint, mais pas en public
)


Contribution du : 21/01/2011 14:22
_________________
Dans une poignée de sable de la route, j'ai mis un rayon de soleil qui brille, un murmure du vent qui se lève, une goutte du ruisseau qui passe et un frisson de mon âme, pour pétrir les choses dont on fait les histoires.
Jean Ray - Les derniers contes...
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : ƒ
Visiteur 
Citation :

Par contre je comprends mal la remarque sur les jeux de mots lourdingues. Il n'y en a qu'un, venant au 13, symbole de trahison...


Ah ! Moi, j'en avais vu un autre, ici :
9 mois qui vivent ta douce heure

Bon, c'est pas sur les nombres, il est vrai.

Contribution du : 21/01/2011 14:59
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : ƒ
Visiteur 
Je viens de découvrir le poème au travers de ce fil, et j'aime bien.
Et je ne trouve pas les jeux de mots lourds, bien au contraire, ils sont d'une simplicité mélodieuse qui échappe aux regards pointus. Ce petit poème mérité une approche sans prise de tête !

Contribution du : 21/01/2011 15:21
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer



 Haut   Précédent   Suivant





Oniris Copyright © 2007-2023