Un grand merci pour tous les commentaires déjà inscrits sous ma chanson. Qu'ils soient avantageux ou forts critiques ces commentaires m'encouragent et m'aideront à travailler ma poésie. J'y reviendrai.

Gratte le ciel est une invitation à gratter, un jeu gagnant, souvent c'est perdant, une invitation à regarder au-dessus des gratte-ciels mais en dessous aussi. Ce gratte-ciel n'est pas de luxe.

Mais je me dois d'abord puisque les comms s'interrogent à ce sujet, de donner une première explication.

Pourquoi donc la citation d'Henri Salvador ? Parce que mon univers est chanson. Pour le coup c'est...

Celle-là : Ah c'qu'on est bien...

Parce que c'est en l'écoutant que Gratte le ciel m'est venu. Parce que je suis absolument fan de la musique de Salvador. Moins fan de ses dernières amours politiques, mais ce n'est pas ça que l'histoire retiendra, l'histoire se souviendra d'un virtuose du jazz, de l'humour et de l'écriture. Du moins c'est ce que je pense. Pour la petite histoire je n'apprécie pas les chansons des titis parisiens (Renaud, qui par contre me va d'un point de vue politique !)

Mais si j'avais connu Bulle avant, j'aurais pu dire que je l'avais écrite pour elle !


Si j'avais écouter ça à ce moment-là, j'aurais pu dire que mon texte était une pensée pour Jaimme : Jaimme tes genoux

Mais j'aurais pu avoir rencontrer A-nonyme le p'tit nouveau et lui dédier ceci : Zorro est arrivé


Et alors ? Beh non, c'était les bulles du bain...

Une indication pour le prochain texte que je proposerai ? Oui : Maladie d'amour, maladie de la jeunesse...

Mais ce n'est pas le titre, je suis une joueuse, l'anonymat ça me plaît comme principe !

Un grand merci pour les commentaires, sachez que quelle qu'en soit la teneur, ils me font tous plaisir.