Je viens vous remercier de tous ces commentaires, ils magnifient je trouve ce modeste écrit

A Bulle
Une langueur musicale, correspond sans doute a mon écriture bercée de préludes et de fugues du clavier bien tempéré, je pense en particulier à :
Prelude no. 12 in F minor BWV 881
A so-phie
Halliers j’ai découvert ce mot dans une chanson de Brassens « la légende de la nonne » écrite par V Hugo…
A Lunastrelle
Des semailles nées n’importe où, fécondées dans les friches les soirs de vogue à la Saint Jean… :)
A Léo
Ce joli retour aux écoles buissonnières, plombé par la révolte de n’avoir rien appris
A tibullicarmina
Oh ! Le choix de l’auteur ; celui d’un auteur qui ne maitrise absolument pas les règles de la métrique, c’est aussi bête que ça…
Pour les hivers que dire, par moments ce serai toujours l’été et par moment un hiver repu d’immobilité
Marité
Je profite de votre remarque concernant la poésie contemporaine pour remercier les correcteurs qui ont la gentillesse de m’indiquer à quoi correspondent mes poésies. Domaine où je suis totalement béotien, je dirais que c’est de la poésie intuitive
Raoul
Mes textes sont vite écrits (après réflexion en fumant une cigarette et regardant les étoiles sur le pas de la maison) mais leur contenu percole à la lecture, j’en suis ravi, lorsque je mets en perspective vos commentaires et les mots, j’y trouve les clés de mon état d’esprit
Chene
Oui assurément vieilles heures
Je pense que tu as saisi dans ton deuxième paragraphe les raisons qui font que ce poème est dur, mon écriture est dure, j’ai du mal à en sortir (je ne me soigne pas vraiment):)
Lechat
La rupture est volontaire, c’est souvent une architecture qui s’impose à moi, un peu sans doute pour effacer ces souvenirs d’enfances faméliques (cf. vieux tableaux paru sur le site)
PerreLune
Je n’ai pas les outils pour calculer au millimètre, à chaque fois que je m’y suis essayé, ça ne ressemblait à rien
L’hirondelle
Bonne soirée Hirondelle, je reviendrais alors aux environ du printemps