Merci à tous ceux et celles qui ont tenté et sont arrivés au bout de cette "lecture transie" ainsi que la qualifie très justement Mr-Barnabooth… J'avoue que cette aube n'a rien de réjouissant. C'est pourtant le moment de la journée que je préfère généralement ! Mais en l'associant à l'hiver, à ce crépuscule du matin qui tarde à se lever – Je voulais rappeler à wancyrs qu'il existe un crépuscule matinal avant le lever du soleil (si, si !) – cette aube donc, inquiétante, angoissante m'est apparue comme une allégorie de la vie humaine qui peine à s'éteindre, qui tente dans un dernier sursaut de s'accrocher à cette illusion de chaleur qui lui échappe. L'innocence, la légende dorée, les fables éculées appartenant au monde de l'enfance, de la jeunesse symbolisé par la fête de Noël (oui, Alexandre !)
Je suis désolée, Brume de n'être pas parvenue à te faire ressentir l'inquiétude du bonhomme hiver acculé à cette aube qui pourrait bien être sa dernière…
Pour ce qui est du "vomi" je suis tout à fait d'accord avec vous widjet et Chene , je n'en suis pas saisfaite du tout et je cherche à le remplacer.
La parenté avec Notrac que certains d'entre vous ont cru discerner dans ce texte me flatte énormément mais je ne me sens qu'une très lointaine petite cousine de l'auteur talentueux d’ Esquisse d'Incertain que j'avais commandé dès sa parution mais dont j'avais oublié le pseudo sur Oniris.