Parole de héron ! C’est ainsi que j’avais, dans un premier temps, intitulé ce texte et j’aurais dû m’y tenir car, comme tu le dis si bien Ris, Respect et tolérance n’a vraiment rien de poétique…
Pour le reste il n’y a pas grand-chose à ajouter aux différents commentaires si ce n’est peut-être quelques précisions.
Il fallait voir ici une transposition du racisme ordinaire dans le monde aviaire et maritime…
A ce propos je présente mes excuses à l’aigrette, laquelle tient bien sûr le mauvais rôle sans que je puisse confirmer qu’elle soit ainsi dans la « vraie vie ». Pardon, très chère aigrette !
Autre point un peu flou, le dernier tercet. Certains n’ont pas compris qu’il s’agissait là des mots choisis du héron. Ces trois vers entre guillemets auraient sans doute étaient plus explicites… J’en tiendrai compte pour l’avenir !
La « gent échassiers » a choqué un commentateur… C’est vrai que ça n’est pas très orthodoxe comme langage mais prenez-le comme une licence poétique, j’ai lu bien pire !
Un commentaire m’a touché plus que les autres, c’est celui de Heisenberg quand il m’avoue avoir commencé sa journée sous les meilleurs auspices après cette lecture… C’est l’un des objectifs du vieux rimailleur que je suis !
Je terminerai en remerciant les lecteurs et commentateurs d’avoir consacré quelques instants à ce sonnet qui n’avait d’autre prétention que de faire réfléchir sur un problème de société que l’on nomme racisme primaire et contre lequel je me battrai jusqu'à mon dernier souffle... Alex