Vos commentaires je dois vous l’avouer, m’aident à trouver la clé de ce texte. Peut être (et c’était mon idée première) aurais je dû conjuguer le verbe attendre de la dernière strophe au conditionnel.

Socque
il est vrai que cet assassiné m’à gêné un temps, mais il rend quelque chose d’inabouti et d’imprécis à cette évocation

Charivari
désolé pour cette ambiance provençale, alors qu’elle se voulait Cévenole, une villa qui autrefois abritait l a direction d’une mine de charbon du côté de Portes dans le Gard à deux pas de l’ancien bassin minier de la grande combe (d’où l’allusion à la remonte des hommes du fond)

Pieralun
pour écrire un roman il faut avoir une âme de bucheron, et ; je me pense bien incapable de tenir la distance, disons qu’une bonne partie de mes poésies forme un corpus romanesque teinté d’autobiographie

Nescience
cf. remarque à Socque

Colinedé
si ma lecture t’apporte ce bonheur feutré, crois bien que ton commentaire me fait le même effet, néanmoins j’ai un peu peur de cette reconnaissance instantanée, serais condamné à cette nostalgie incessante. Je trouve la remarque sur les mots qui donnent du relief, remarquable…

Luna Kr
ton commentaire me donne envie de poser la question suivante à ceux qui voudront bien répondre à cette question : Quelle sorte de drame évoque ce texte, j’avoue que moi-même j’ai du mal à en définir le sens

Alexandre
ça n’était pas le bon Portes…

Raoul
je ne saurais expliquer pourquoi mais sur tes commentaires je retrouve toujours une sorte de communauté d’esprit.