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2 Utilisateur(s) anonymes
Le bien qu'on s'est fait |
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Tout d'abord, la chose la plus importante dans le cadre de ce concours :
A part une micro-critique dans un commentaire, tous les reproches adressés à ce texte concernent des passages commis par ma plume. Gregorian n'est donc pour rien dans le relatif échec de ce texte. LA FORME Avalanche de critiques sur la forme : tournures de phrases, concordance des temps et, de manière plus générale, choix des temps de conjugaison. Je suis consterné par ces critiques qui, pour deux commentateurs au moins, sont telles qu'elles justifient le fait de disqualifier le texte par une notation extrême, alors que par ailleurs l'un de ces commentateurs disait plutôt aimer l'histoire. Il me semble qu'il faudrait donc en conclure que ce texte souffre d'une écriture tellement épouvantable, comportant de telles erreurs qu'elles provoquent son rejet catégorique. Contester une critique subjective ne servira jamais à rien, puisque son auteur pourra toujours se retrancher derrière l'impunité absolue conférée par cette subjectivité. En revanche, lorsque le commentateur signale l'utilisation incorrecte d'un temps de conjugaison, une syntaxe incorrecte, il s'agit d'une critique objective dont il devrait pouvoir se justifier. Mais devant qui ? Imagineriez-vous un membre du CE refusant un poème en « classique » alors qu'il méconnaitrait les règles de la prosodie. Cela me semblerait difficilement acceptable. Imaginez, ami poète, que vous receviez une jolie missive électroniquement rédigée ! : « Dites voir, l'ami ! Votre machin, là, que vous appelez « sonnet », est une péripétie de farceur. Auriez-vous donc tant de temps à perdre que vous le consacriez à nous faire perdre le nôtre ? Vos rimes ne sont ni riches ni suffisantes. Elles ne sont même pas pauvres, elles sont misérables. Au surplus d'être telles, elles sont hermaphrodites. Masculin, féminin, les anges même n'y retrouveraient pas leur sexe. Et puis, vos alexandrins de treize pieds… vous vous moquez de nous, malfaisant ! Salisseur de langue ! Assassin des Lettres ! Allez ! Veuillez, je vous prie, reconsidérer le tout et nous fourguer ça en « néo » ou, mieux, en « libre » voire, définitivement mieux, c'est-à-dire parfaitement, en « rien du tout » et nulle part. » Et puis, vous faites viser le bazar par des yeux sérieux et vous faites confirmer que vos rimes sont aussi riches qu'un industriel déjeunant au Fouquet's avec un président de la République, que l'alternance masculin/fémin est aussi justement respectée que dans une soirée privée d'un président du Fond Monétaire, que vos vers comportent autant de pieds qu'Hercule avait de travaux à accomplir. Je vais peut-être en faire bondir quelques uns, mais je récuse ces critiques péremptoires (sauf une; voir ci-dessous), qui toutes me semblent avoir une seule et même origine : la conformation à une expression minimaliste, copiage de formulations validées par la multiplicité et par l'ennui, par confort, par peur de mal faire, par facilité, par lâcheté en somme. Avec une conséquence terrible : l'appauvrissement de la langue et l'étouffement de l'expression dans la masse convenue. Même examinée sous l'angle de la théorie la plus rigoureuse, je ne suis pas certain qu'il y ait une seule de ces critiques qui pourrait résister à un examen sérieux. Il suffit parfois de retourner une phrase pour que son lecteur ne retrouve plus son chemin dans la grammaire. Quel pauvre sens de l'orientation ! Il n'est pas question de prétendre que ce texte constitue un moment décisif de la littérature. Je peux parfaitement accepter des remarques subjectives sur un éventuel excès de pathos, la marmelade, le sucre, les clichés, la caricature et tout le toutim. Mais pour ce qui concerne les critiques objectives sur le langage, j'ai décidé de faire viser ce texte par des yeux avertis car : - soit les critiques sont exactes et alors je dois foutre au feu mes rames et mes stylos. - soit elles ne le sont pas et alors je sais ce qu'il me reste à faire de critiques motivant des notes d'exclusion, éclairées par une compétence plus que contestable et s'exerçant en totale impunité. J'ai l'impression d'être un piéton qui vient de prendre une contredanse pour non-respect du code de la route, adressée par un flic qui a manqué de m'écraser alors que je traversais dans les clous. LE FOND Je vais peut-être être dur aussi, Chari, mais si tu n'as rien compris, ou tout compris de travers, c'est peut-être tout simplement parce que tu ne sais absolument pas de quoi tu parles et que c'est pour ça que tu as bondit naïvement sur une fausse thèse dont tu croyais devoir te faire le pourfendeur. Après tout, ce ne serait pas la première fois que tu te fais mousser pour rien, que tu dégaines un TF- pour massacrer des innocents. Don Diego de la Vega avait du discernement; c'est pour ça qu'il se faisait appeler Zorro. Mais j'imagine qu'il y a heureusement un copyright sur le nom ! Cela dit avec toute la sympathie que j'ai pour toi (et que je conserve) et le talent que je te reconnais dans plusieurs domaines, dont l'humour n'est pas le moindre. Maëlle n'est pas maltraitée par son père. Il ne s'agit « que » de violence conjugale. J'imagine très bien que tu as pu être abusé par cette réplique de Maëlle : « Papa dit qu'il nous aime et il nous fait du mal quand même. ». Pourquoi ce « nous » ? Parce que s'attaquer à la mère d'un enfant de cet âge, s'est s'attaquer indistinctement à l'une et à l'autre, de par le seul fait du lien qui les unit encore très fort. Et la violence conjugale est bien plus complexe que tu sembles l'imaginer. Un mari violent est un salaud. Il est difficile de dire le contraire et pourtant c'est un peu court. La vision manichéenne des problèmes est commode pour les simplifier, mais n'est guère utile pour les résoudre. Avec le temps, beaucoup de poings dans la gueule, beaucoup de mensonges déjoués et donc beaucoup de désillusions, on finit par se rendre compte que les salauds ne sont pas aussi salauds qu'on le pensait et que les anges aussi sont un peu salauds, et même parfois beaucoup. Il faut remarquer, si l'on prête attention au « résumé » du texte, que Maëlle en est l'auteur, vingt ans après les faits relatés. C'est un long chemin, un très long chemin que de parvenir à pardonner un père violent. En l'occurrence, vingt ans, c'est bien peu et c'est une chance pour elle. L'on ne se rend sans doute jamais assez compte des vertus du pardon, tant pour celui qui pardonne que pour celui qui est pardonné. Il ne s'agit pas de pardonner des actes; il s'agit de pardonner des êtres. Il est impossible de vivre éternellement dans la haine. Si le père était violent, peut-être était-ce parce que, lui aussi, a été victime de violence, sur lui-même ou sur sa mère, ce qui revient à peu près au-même. Il a gardé sa haine, sans savoir comment s'en débarrasser, sinon de la plus mauvaise manière qui soit, et d'ailleurs sans succès. Maëlle va-t-elle, à son tour, garder sa haine pour en éclabousser son entourage ? L'avenir, qui est déjà passé en lisant ce qui précède le texte, répond « non » ! Elle a brisé la chaîne de la haine. Je sais qu'une lecture sur internet de textes dits « amateur » invite à une consommation rapide, mais ce qui est formulé simplement n'est pas toujours aussi simple qu'on pourrait le croire. Qui sait ? Peut-être que Daniel, lui, savait un peu de quoi il parlait. Maëlle, c'est un peu moi, et même plus qu'un peu. Daniel aussi, du reste, mais il faut beaucoup de temps pour passer de Maëlle à Daniel. J'aurais aimé rencontrer un Daniel lorsque j'étais enfant. J'aurais gagné beaucoup de temps. Je n'ai rien d'autre à ajouter sur ce point précis, sinon ceci : comme j'ai appris – et avec quels efforts consentis ! C'est même la raison principale pour laquelle j'écris – le pardon, je te pardonne d'avoir traité ce texte avec l'indignation candide de l'ignorant. Quant à « La vie devant soi », c'est l'histoire telle que tu l'as brossée. C'est aussi l'histoire d'un enfant que la vie n'épargne pas, dès sa naissance. Il entre dans l'existence de travers, avec des béquilles bancales et tente de la comprendre, maladroitement, comme il le peut, se raccrochant à qui il trouve sur son chemin pour gagner un peu de cet amour auquel il n'a pas moins droit que quiconque. Il a été écrit dans un commentaire qu'il y a un peu de Zazie dans Maëlle. C'est vrai. C'était voulu ainsi avant même la première phrase écrite. Il y a surtout beaucoup de Momo. Maëlle serait traumatisée par la lecture de l'histoire de Momo, dis-tu. Mais elle EST Momo ! Un enfant vivant dans ces conditions peut se replier sur lui-même, comme Maëlle, au point qu'on l'accuse d'être asocial. Il finit par se culpabiliser et se croire différent des autres, enfant mal foutu, humain de traviole, voué à l'exclusion. Maëlle n'a pas de frère ni de sœur pour partager ses angoisses, ses questions. Quelle durée choisira le hasard avant de placer devant elle un Momo avec qui elle puisse partager tout ça, et finalement se rendre compte qu'elle n'était pas différente des autres, qu'elle le croyait seulement, mais qu'elle a régi comme aurait réagi n'importe quel enfant normalement constitué placé dans de semblables conditions ? Et quel temps perdu ! Non, Chari, je pense tout le contraire de toi et je l'écris hélas en connaissance de cause : ce qui serait traumatisant pour Maëlle, ce serait de ne jamais rencontrer un Momo, fut-ce dans un bouquin. Je me permets de répéter deux phrases écrites par Daniel dans le bouquin qu'il offre à Maëlle par l'entremise de sa concierge : « L'enfance passe vite. On met une vie entière à la chercher en vain lorsqu'on l'a manquée. » Quant à Ajar/Gary, comme d'autres, il a joué avec son langage, pour refuser de le voir mourir sur du papier, de façon telle que certains critiques se sont sentis autorisés à poser cette question : « Oui, certes, il sait un peu écrire, mais le sait-il seulement en français ? » Le savaient-ils seulement eux-mêmes ? Costic, Je ne suis pas d'accord avec vos critiques (sauf une; voir ci-dessous), mais je dois bien considérer comme une chance que vous ayez fait l'inventaire de ce qui ne vous convient pas. Pour cela, je vous remercie. J'ai enfin des exemples très précis de ce que l'on me reproche. Aussi, j'aimerais pourvoir confronter mon point de vue au vôtre, si toutefois vous aviez un petit peu de temps à y consacrer et, bien entendu, l'envie. Citation :
Il ne s'agit pas d'une erreur, mais d'une coquille, en l'occurrence un mot qui a disparu je ne sais trop comment. Il ne m'a pas été possible de faire quoi que ce soit pour remédier à cette situation, puisque le respect de l'anonymat des auteurs m'interdisait de créer un sujet dans le forum des correcteurs pour le signaler. Comme vous le suggérez, il manque un mot. Vous proposez le mot « idée », mais il s'agissait du mot « envie ». Le mot « idée » m'aurait paru totalement hors-propos, incongru dans une situation où Maëlle ressent un élan vers Daniel, un être qui lui semble un peu exclu du monde, comme elle. Il ne s'agit en aucun cas d'une réflexion et donc certainement pas d'une idée.
Contribution du : 07/03/2012 09:43
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Re : Le bien qu'on s'est fait |
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Maître Onirien
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07/02/2011 18:15 Groupe :
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un truc qui me gêne, incognito, mais je veux qu'il soit entendu qu'en aucune façon je ne cherche la polémique. Vous mettez en avant votre expérience individuelle pour dénier la moindre contestation sur le bienfondé de ce que vous avancez dans votre récit. Seulement, excusez-moi, mais c'est loin d'être un argument imparable. La façon dont vous avez vécu les choses n'augure en rien de la façon dont un autre les vivrait. Comme vous le dites vous-même, la violence conjugale et ses répercussions sont un problème éminemment plus complexe et dont chacun se sort comme il peut.
Vous vous indignez et accusez l'ignorance de Chari sur le sujet, mais après tout, vous n'en savez rien (moi non plus, ceci dit, je ne connais pas Chari), vous faites une supposition gratuite parce qu'elle sert votre propos à peu de frais. Et quand bien même, se pose alors l'éternelle question de savoir si l'on peut débattre de ce qu'on n'a pas vécu. Cependant, sans entrer dans cette discussion, croyez-vous vraiment que tous ceux qui ont vécu une expérience de cet ordre seraient d'accord avec vous ? Je vous garantis que non et pour ma part, j'ai été un peu estomaqué que la seule réponse de ce vieux monsieur à la souffrance de cette fillette soit l'offrande de ce livre, j'avoue que ça m'a laissé coi, malgré toute la foi salvatrice que je peux porter parfois à la littérature.
Contribution du : 07/03/2012 12:03
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Re : Le bien qu'on s'est fait |
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Maître Onirien
Inscrit:
15/01/2011 18:02 De Al Andalus
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18852
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Hum hum. J'aime pas les mauvais coucheurs. J'ai dit ce que je pense sous le texte, donc pas envie de le redire ici.
Je suis donc éducateur de profession (prof secondaire en milieu difficile), et père de 2 gosses de 4 et 9 ans, et hélas je connais un peu mon affaire sur les attitudes et recommandations à faire à des adultes lorsque l'enfant est confronté à des situations potentiellement traumatisantes (séparations, violences, mort d'un proche) : la règle NUMÉRO 1 EST D'ÉLIMINER TOUT SENTIMENT DE CULPABILITÉ ET D'EXPLIQUER AUX ENFANTS QU'ILS NE SONT PAS RESPONSABLES DE LA SITUATION, ET QUE CE N'EST PAS À EUX QU'IL APPARTIENT DE LA CHANGER. La règle numéro 2, c'est de ne pas "forcer" les enfants à aimer ou haïr, mais leur laisser exprimer leurs sentiments tels qu'ils les sentent, sans jugement moral. J'ai mis ça en gras parce que c'est le ba.Ba., et ton personnage fait exactement le contraire. Je ne te parle pas d'expérience personnelle, parce que j'aime pas déballer sur internet, par contre. Icim, effectivement, il n'y avait pas de violence physique envers la gamine, mais le mot "maltraitance" recouvre Faire lire "La vie devant soi" à ue gamine de primaire, c'est complètement ridicule, je persiste a le dire, pour le fond et pour la forme (trop compliqué). Et je persiste à penser que ce texte est très faible, tant pour la forme que pour le fond. Je ne "descends pas des innocents", je dis ce que je pense des textes, merci.
Contribution du : 07/03/2012 14:28
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Re : Le bien qu'on s'est fait |
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Visiteur
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Bon jvoulais pas m'en mêler, mais après tout ça me concerne aussi. Je vais pas reprendre point par point ce qu'à dit Inco, juste dire que je suis globalement d'accord. Surtout en ce qui concerne le comportement des commentateurs. Je n'en dirai pas plus, la vulgarité me guette.
Beaucoup me reprochent une inculture en littérature. Soit. Mais moi je peux me vanter d'apprécier ce que je lis. J'ai la désagréable impression qu'ici, la plupart des lecteurs ont oublié à quoi servait un livre. Quand je vois les remarques de certains, je me demande ce qu'ils diraient en lisant un Zola ou un Balzac. Sérieusement, vous descendriez Zola parce que la vie de Gervaise est le plus gros "fake" jamais réalisé? Il se veut naturaliste, mais il dépeint une pseudo société de pauvres avec sa plume de bourgeois. Qu'importe les études préalables, Emile s'est mis le doigt dans l'oeil, profondément. Ses descriptions sont indigestes, sonnent faux. Doit-on l'en blâmer? Je sens plâner le doute. Alors pourquoi tant d'acharnement maladif sur nous, pauvres auteurs? Pour être vulgaire, ça vous arracherait la gueule un compliment? Je refuse de croire que notre texte est juste bon à jeter. Ah, c'est pas ce que vous avez dit? Relisez-vous, ça prête à confusion. L'acharnement de Costic sur le mot manquant est pour moi une preuve de la mauvaise fois qui règne en maitre ici. N'osez pas me dire que vous n'aviez pas une petite idée de ce qui comblait ce malheureux trou. Bref, avec tout le respect que je vous dois - et je commence à en douter d'ailleurs - vous devriez revoir votre manière de commenter. Je ne dis pas que des textes faibles doivent passer en excellent, cela n'est d'aucune utilité. Mais bon sang, vous qui jouez en permanence sur les mots, faites un effort dans vos commentaires. Sinon, chacun peut se décréter meilleur auteur que les autres, et aller poster des "c'est juste à chier, rentre chez toi" à tout va. Il serait temps pour certains de reprendre une plume et de raturer quelques convictions en leurs propres capacités. Tout le monde a des progrès à faire, et il serait bon pour les plus avancés de se rappeler de ce que c'est que d'être en bas.
Contribution du : 07/03/2012 20:44
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Re : Le bien qu'on s'est fait |
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Maître Pattie l'Orthophage
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27/12/2006 19:14 Groupe :
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42772
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Mais il y a aussi plein de commentaires positifs. A vous lire, tous les deux, Incognito et Gregorian, je me suis dit que votre texte avait été détesté, et je suis allée voir. Eh bien non, il n'a pas été détesté. Il y a même pas mal de compliments. En focalisant sur les coms négatifs, vous risquez de laisser penser que vous généralisez, que vous négligez le plaisir que vous avez donné aux autres, alors que je ne pense pas que ça soit ce que vous pensez.
Contribution du : 07/03/2012 20:54
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C'est quoi cette mode de bâcler ses loisirs à toute vitesse ? Turtle Power ! |
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Re : Le bien qu'on s'est fait |
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Onirien Confirmé
Inscrit:
27/06/2011 07:18 Groupe :
Primé concours Évaluateurs Groupe de Lecture Membres Oniris Auteurs Post(s):
866
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Incognito, je regrette de ne pas avoir commenté votre texte mais je tenais à vous faire savoir que vos propos dans cette "discussion" m'ont fait rire et que je vous en remercie chaleureusement.
Contribution du : 07/03/2012 21:01
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Re : Le bien qu'on s'est fait |
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Maître Onirien
Inscrit:
15/01/2011 18:02 De Al Andalus
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Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Primé concours Groupe de Lecture Post(s):
18852
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je pense, Gregorian que tu confonds "auteur" et " commentateur", ça n'a rien à voir ! Ce n'est pas parce qu'on met très faible à quelqu'un qu'on se "prend" pour un grand écrivain.
J'ai trouvé votre recit très mauvais. Pour plein de raisons que j'ai argumentées sous le texte. J'ai le droit sans passer pour un condescendant ou pour un je ne sais pas quoi ? Sans que vous fassiez de procès d'intentions ? Parce que je vous signale qu'aucun des commentateurs ne vous a jamais parlé de vos carences en tant qu'auteur ou qu'être humains, hein, par contre, vous, vous n'arrêtez pas ! J'avoue que la moutarde commence un peu à me monter au nez, làm, franchement !
Contribution du : 07/03/2012 21:03
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Re : Le bien qu'on s'est fait |
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Visiteur
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La situation est cocasse. Je vous critique sur vos mots inappropriés et vous me renvoyez grâcieusement le compliment. Trouverons nous enfin une langue dans laquelle nous comprendre?
Pattie: oui, j'ai su apprécier tous les commentaires, bien sûr. J'aurais dû préciser. Ce que je critique ici c'est l'impression que laissent les commentaires négatifs de certains. "Je n'ai pas du tout aimé... Déjà, j'ai dû m'y prendre à plusieurs fois pour lire ce texte tant il m'a paru mal écrit, mais le pire, c'est que le fond me parait encore plus mauvais que l'écriture" Nan mais vraiment, ça ne peut pas être dit autrement? Margon-muse qui a enchainé derrière a dit exactement la même chose finalement: pas d'intérêt au récit, une écriture décevante. Mais c'est marrant, j'ai l'impression d'en retirer plus. Charivari: "Ce n'est pas parce qu'on met très faible à quelqu'un qu'on se "prend" pour un grand écrivain." Encore heureux, mais c'est l'impression que tu laisses. Tu vois à présent comme tu es sur la défensive? comme tu te sens agressé? Tu laisses la même impression quand tu commentes. Par ailleurs, heureuse d'en faire rire certains, enrager d'autres, ça me conforte dans mes impressions.
Contribution du : 07/03/2012 21:17
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Re : Le bien qu'on s'est fait |
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Maître Onirien
Inscrit:
15/01/2011 18:02 De Al Andalus
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18852
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Citation :
Oui, effectivement, quand je lis ÇA, je ne me sens pas agressé, je suis agressé, nuance : "Je vais peut-être être dur aussi, Chari, mais si tu n'as rien compris, ou tout compris de travers, c'est peut-être tout simplement parce que tu ne sais absolument pas de quoi tu parles et que c'est pour ça que tu as bondit naïvement sur une fausse thèse dont tu croyais devoir te faire le pourfendeur. Après tout, ce ne serait pas la première fois que tu te fais mousser pour rien, que tu dégaines un TF- pour massacrer des innocents. Don Diego de la Vega avait du discernement; c'est pour ça qu'il se faisait appeler Zorro. Mais j'imagine qu'il y a heureusement un copyright sur le nom ! Cela dit avec toute la sympathie que j'ai pour toi (et que je conserve) et le talent que je te reconnais dans plusieurs domaines, dont l'humour n'est pas le moindre." C'est du procès d'intention, doublé de critique sur la personne, en plus c'est vraiment du n'importe quoi. Vire ta sympathie, Inco, moi je n'en ai aucune pour toi. Ni antipathie non plus. en fait j'en ai rien à f... de ta petite personne, je te connais pas, et j'ai assez avec mes proches. Je ne suis pas là pour me faire mousser. Je dis ce que je pense sur des textes, point barre. Et ce que je pense de votre texte, jamais des personnes Et je te défends de parler de qui je suis, parce que tu n'en as aucune idée. ok? Je ne vous ai pas une seule fois attaqué sur le plan personnel. Alors, svp, du respect. PS : El Zorro, c'est la Californie. Je ne parlerais jamais à un belge en le confondant avec un québécois. Même ça, c'est du manque de respect. Alors encaissez ce que j'ai dit, foutez-vous en, j'en n'ai rien à battre, mais lâchez moi la grappe. Merci
Contribution du : 07/03/2012 21:36
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Re : Le bien qu'on s'est fait |
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Onirien Confirmé
Inscrit:
27/06/2011 07:18 Groupe :
Primé concours Évaluateurs Groupe de Lecture Membres Oniris Auteurs Post(s):
866
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Dès que l'on touche à nos enfants, même incestueux comme dans ce concours, nous avons tous les doigts de pied plus longs que les chaussures.
Je suis persuadé que personne, dans ce fil, n'a d'animosité réelle. Calmons-nous, il n'y a pas mort d'homme. Et ce n'était quand même qu'un jeu.
Contribution du : 07/03/2012 21:48
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