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Remerciements labrisse pour Mon Eau.
Chevalier d'Oniris
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22/04/2012 10:27
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Contribution du : 14/03/2013 03:35
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"Les premières places ne sont pas intéressantes, celles qui m'intéressent, ce sont les places à part."

Jean Cocteau.
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Re : Remerciements labrisse pour Mon Eau.
Chevalier d'Oniris
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Bonjour à toutes et à tous,


Tout d'abord je tiens à remercier chaleureusement ici le Comité Éditorial qui a accepté d'inclure ce texte dans le catalogue d'Oniris, les correcteurs qui se sont penchés dessus, ses lecteurs et ses commentateurs.

Leur abnégation et leur efficacité ne me laisse pas d’être sincèrement admiratif.

Ce texte, à été écrit avec pour seul ingrédient la déclaration d’un abandon à une « tendre noyade » amoureuse… c’est un poème d’amour et j’ai tout fait pour l’en débarrasser des accents Ronsardiens et « courtois » qui avaient imprimé leur style à ce texte dès le premier jet. L’essentiel du boulot aura donc été d’en extraire, d’en soustraire, d’en effacer… un côté par trop « pied tendre » que l’époque (décidément le temps est partout) ne sait pas vraiment apprécier ni, malheureusement, plus trop (romantiquement) aimer… je le crains !

Pourtant beaucoup d’entre vous, cher lecteurs, ont retiré de cela la « substantifique » propre à s’abandonner au voyage poétique à plaisir…

Ainsi :

@ Rosebud :

Je réitère l’explication que je vous ai donnée en MP, à savoir que livrer votre avis acide mais honnête, m’est précieux. Je n’ai pas la « fierté » assez mal placée pour en retirer un jugement sur mon lecteur.
Pour mémoire, ma vision, mon « taste ressenti » de Le Chat Murr et l’utilisation que j’en fais ici, est celle d’un roman inachevé … Poète que ce Hoffmann laissant cette œuvre en plan lorsque son animal de compagnie est mort réellement. Il y est quelque chose d'unique (ou au moins de rare) en cela, l'œuvre n'a pas survécu a la disparition de l'être aimé... Fut-il un chat !
Il faut donc lire cette référence au premier plan, rémanent, épidermique, littéral.

En tous cas merci pour la peine que vous vous êtes donné de lire et de commenter ce poème

@ Leni :

Cette référence au canon de Pachelbel, que je me suis empressé de rencontrer sur « You tube » me fait bien sûr, rêver… Ton analyse, par son côté technique ne souffre d’aucun « à peu près » et met le doigt sur une composante essentielle de cette pièce… Oui, elle est bien à deux voix… C’est ce que j’ai voulu, donc de ton point de vue, eh bien j’aurai donc rempli « le contrat » de ce poème.
Bizarrement dans mon ressenti, en mon for intérieur, ces deux voix émaneraient du même personnage, comme si un soliloque en lui venait fermer les « plans » d’un dialogue avec l’action… Je me suis beaucoup « laisser aller », librement dans cette pièce …

Merci pour ta perspicacité et ton attention.


@ Socque :

Je ne suis pas étonné de la note que tu auras donnée à ce poème ; et même, je trouve que venant de toi (une sorte d’adorable Sigourney Weaver de la poésie francophone au réel) un poème d’amour doit sûrement être un « nid-piège », d’un Alien baveux, dans ton espace lexical, sémantique, onirique et sur-symbolique. Héhéhé !
En tout cas, ton conseil sur l’abandon des majuscules pourrait trouver preneur avec moi sur cette pièce (donc, adjugé, bien vu) ! Et pour répondre à ta question sur les rimes en surabondance (à ton goût) je peux te dire que j’ai écrit « en abandon » et j’ai accepté ce qui venait, comme cela venait ; j’en ai ressenti le chant et donc j’ai voulu le laisser ainsi… Tu sais combien j’aime que la poésie ai d’abord du sens, du « simple »… dans du chant ! J’ai ce goût en moi que les bouts rimés sont chantants, me trompé-je ?
En tout cas merci de la peine que tu t’es donnée et à bientôt pour parler soupettes de mots et poésies potagères… héhéhé ! (la bise).


@ Iloa :

Votre note est importante pour moi, non tellement de par sa haute teneur, mais surtout parce que nous ne nous connaissons pas et je vous rencontre ici entre ces lignes avec un commentaire sans ambages et ambiguïtés… ce qui me conviens parfaitement…

J’ai trouvé votre remarque sur la ponctuation bien ficelée et votre conseil du rajout d’un point me plait beaucoup, je sens que je vais y céder et le faire…

Merci pour votre application et votre enthousiasme, j’espère de vous lire bientôt, avec grand plaisir…

Amitiés.

@ Pizzicato :

Et oui, c’est bien là qu’est le poème, dans une étreinte à l’être aimé… Bien sûr la « Belle O » aura lu et apprécié ton commentaire et je pense que les termes de délicatesse, sensualité et élégance lui ont plu au-delà de ce que j’espérais… et à moi aussi bien sûr !

Merci pour cette belle note et ce beau et bon commentaire…

A bientôt.



@ Pouet :

Bonjour cher Pouet et merci du soin que vous aurez mis à lire, apprécier, commenter ce texte… vous trouverez plus d’explication sur le rapport de ce poème au Chat Murr entre ces lignes, par exemple dans l’explication que je donne à Rosebud ou à Socque sur la rime et mon approche du chant.

Merci encore d’avoir pris sur votre temps pour donner un si sympathique commentaire.

Amitiés.

Contribution du : 14/03/2013 04:51
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Jean Cocteau.
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