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Sur l'hymne aux quatre chants
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Avant tout un grand merci à l'équipe éditoriale pour avoir sélectionné cet "hymne aux quatre chants".
Je n'oublie pas ceux et celles qui sont venus le lire en me proposant des commentaires encourageants : (ça excite la plume)
Certains ont bien vibré durant l'interprétation de cet hymne, et ça me ravit !
D'autres ont recherché en vain une certaine rationalité ... no comment !...Comme s'ils pensaient avoir découvert au travers de cette écriture un ours polaire en milieu du Sahara : ils m'ont mené la vie dure !
....Mais comment diable est-ce possible.... ?

En se grattant la tête, on peut se demander fort à propos, comment dans cette histoire, le père peut -il se saouler tous les jours, étant donné que la scène principale est un lieu déserté, abandonné, oublié des hommes, un lieu sombre et inhospitalier ?
Eh bien avec un peu d'imagination (à peine) on peut se douter que le père fabrique lui même son alcool, à base de plantes sauvages diverses, ou de pommes de terre : on appelle ça le schnaps. J'ai toujours su que la datura permettait à l'utilisateur des états de transe et d'ivresse... alors, lorsqu' on lit "l'hymne aux quatre chants", mieux vaut se lâcher et oublier cette rationalité maladive qui nous visse au sol.

Pourquoi durant son errance dis-je que l'enfant n'avait jamais vu d'animaux auparavant alors que son environnement naturel était une forêt ? : A que voilà une question hautement métaphysique qui m'a été posée.
Eh bien avec encore une fois un peu d'imagination (à peine), on peut comprendre que du moment qu'il abandonne son lieu de vie primitif, l'enfant participe à sa re-naissance complète et définitive : son passé n'a plus cours.
A partir de cet instant (au moment où il rencontre une dame de pierre), il bascule DANS la vie.

Bon je le confesse, pour apprécier ce genre de texte, il ne faut pas s'exaspérer du fabuleux et de ses codes.

Contribution du : 21/04/2013 09:06
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