Merci à tous les commentateurs du conte "Le berger et le crocodile".

Oui c'est vrai, il aurait mieux valu dire "les crocodiles" pour le titre. J'ai aussi été sensible au problème posé par mogendre : style écrit ou parler. Oui il y a un flottement et oui, il faut choisir, la forme du conte étant plus naturellement parlée au coin de la veillée.

Pour ceux qui aiment trouver un message, cette histoire s'efforce de décrire la pente naturelle de chaque être -quelle que soit son espèce - à persévérer dans son être.

La fin pose la question de la spécificité humaine par rapport à tous les êtres vivants : le berger peut-il se fondre dans la nature au point de laisser les crocodiles manger ses chèvres sans réagir comme il le fait ? Se doit-il d'intervenir en raison même de son humanité ?

Vaste question, aux très lourdes implications...