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À propos de "L'ogre" de Dowvid : remerciements
Chevalier d'Oniris
Inscrit:
18/10/2012 17:29
De Montmagny, Québec.
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Un gros merci à tous ceux et celles qui ont pris le temps de laisser un commentaire. Je sais combien c'est exigeant. Merci.

En plus, c'est le texte qui m'a valu le plus de commentaires. Wow ! J'imagine que les gens préfèrent lire surtout le Réalisme/Romantique. Pas ce que j'écris le plus souvent. Je suis plutôt SF ou Fantastique. D'ailleurs, c'est difficile de catégoriser nos écrits sur Oniris. Parce que je ne fais pas vraiment de SF, je fais surtout dans l'anticipation, ce qui est différent. Mais bon, c'est une autre histoire.

Plusieurs lecteurs ont remarqué la répétition du "Il était une fois". C'était voulu et nécessaire à mon sens pour relier cette histoire aux contes de notre enfance, vu que je parle d'un ogre. Ça permet aussi de fractionner l'histoire en petites scénettes.

Voilà.

Placebo : Oui, j'aime garder le mystère. Surtout que dans une nouvelle, on ne peut pas tout dévoiler. Enfin, je pense. Le nom d'Edgar m'est venu tout seul. Y a aussi une chanson de Jean Leloup dont le personnage s'appelle Edgar.

Pepito : L'abus de "Il était une fois" était fait exprès, question de leitmotiv. Question de rapprocher mon histoire d'un conte, parce que, bien sûr, Edgar n'existe pas.

Robot : Quoi de plus merveilleux que de laisser planer le mystère ? Le lecteur peut imaginer ce qu'il veut pour la suite. Heureux que vous ayez eu le goût de continuer jusqu'au bout.

i-zimbra : J'aime beaucoup la musique. J'en joue aussi. Edgar ne pouvait pas ne pas en jouer, la musique étant strictement mathématique dans sa conception, et sensibilité dans sa composition et interprétation. Mon personnage mémorise tout ce qu'il voit et entend. Capacité exceptionnelle de rétention et de compréhension. Mais il n'en sait rien. Il subit cette intelligence forcée, il ne la domine pas, ne la contrôle pas. Il ne philosophie surtout pas. Il gobe comme une éponge et recycle par la suite. Vous dites qu'il aurait sublimé s'il avait été un vrai musicien au lieu de tomber en catatonie. Le mal de vivre, la difficulté à maîtriser sa sensibilité a tué bien des musiciens qui se sont effacés dans la drogue et l'alcool. Même Mozart. Edgar n'avait pas de vie amoureuse, pas de déception amoureuse. Il a tout simplement vu une femme à un moment de sa vie, et il a figé là. Allez savoir pourquoi. (réponse : pour placer la phrase de Fiori à la fin de mon histoire

j'aime : "Presque", c'est mieux que "pas" La répétition du "Il était une fois" était faite pour ramener le lecteur au conte. C'est un leitmotiv. Peut-être que ça brise le rythme, mais c'est utilisé justement pour morceler l'histoire, pour résumer. Pourquoi expliquer la fin ? On n'explique pas pourquoi Edgar gobe tout ce qui l'entoure. Pourquoi expliquer son écueil ?

socque: Vous ai-je dit combien j'appréciais vos commentaires ? Encore une fois vous visez juste. Mon plaisir dans l'écriture, c'est de voir les mots se jeter sur le papier, comme des naufragés sur une bouée. La fin, je ne la connais jamais. Ou très rarement. Je pars d'une impression, d'un fait divers, ou d'une phrase qui s'est imposée, et je brode. Dans cette nouvelle, j'ai commencé à décrire Edgar en pensant à des trucs lus sur l'autisme, à des gamins que ma blonde a eu dans ses classes et qui souffrent d'autisme léger, d'Asperger, et en exagérant un peu beaucoup. Ces gens-là ont rarement un équilibre solide dans tous les aspects de leur personnalité. Edgar avait une faille. Elle allait ressortir. Et puis la phrase de la chanson d'Harmonium s'est imposée, et la fin qui va avec aussi. "ça doit être plein d'amour parce que c'est plein de fous tout partout". Aussi simple que ça. 

alvinabec Quand vous dites "texte on ne peut plus elliptique…" , vous parlez de la forme de l'ellipse en mathématique ou de l'ellipse en écriture ? La première me plaît, parce que j'essaie d'écrire pour hypnotiser. L'écriture, n'est-ce pas de la prestidigitation ? Je ne sais pas trop les différences théoriques entre conte, allégorie, portrait. Mais si la lecture de ce texte était du domaine de l'alpinisme, déséquilibrante, vous me voyez ravi. Vous n'avez pas accroché au personnage, soit. Mais avez-vous accroché à l'histoire un tant soit peu ?

black-box Rien n'est vrai dans mes textes, et tout se peut. Autisme, schizo, ou autre façon d'appréhender la réalité, peu m'importe. Que vous ayez lu et apprécié, ça c'est important. Si j'ai pu vous mener en bateau quelques minutes, j'en suis bien content.

« [...] j’aurais pu changer chaque mot de chaque phrase, j’aurais pu tout simplement faire un dessin sur un bout de papier, ou n’écrire qu’un seul mot à l’encre rouge :
Cigarette
Cela aurait été quand même la même chose » (J.M.G. Le Clézio, "Le livre des fuites", 1969, p. 42).

Contribution du : 17/12/2013 14:27
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Re : À propos de "L'ogre" de Dowvid : remerciements
Visiteur 
Hé hé, voilà maintenant qu'on a une évaluation des commentaires... Blague à part, tant mieux si je puis vous être utile. Je crois comprendre votre problème (si c'en est un) car moi aussi j'ai tendance à vouloir me lancer dans une histoire à partir d'une simple image, ou d'une idée.

Contribution du : 17/12/2013 14:45
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Re : À propos de "L'ogre" de Dowvid : remerciements
Chevalier d'Oniris
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18/10/2012 17:29
De Montmagny, Québec.
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Merci Socque.

Pas un vrai problème, c'est comme ça dans mon jeu de saxophones, de guitare, dans ma vie en général. Je suis un grand improvisateur, à défaut d'être "...un immense provocateur..." (Ferré). Pis je provoque un peu, des fois

Contribution du : 17/12/2013 15:00
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