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1 Utilisateur(s) anonymes
Sur A la volée |
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Onirien Confirmé
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24/08/2013 20:43 Groupe :
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Bonjour et merci à ceux qui ont pris (ou prendront) le temps de donner leur avis sur ce texte.
Difficile de soumettre à la critique un texte si personnel et d'avouer cette souffrance-là, qu'on peut qualifier d'honteuse et illégitime, d'où probablement la gêne d'Eclaircie. Au-delà de mon cas (une enfance totalement libre ; une liberté d'aujourd'hui plus que chèrement payée), il me semble clair que (presque) chacun de nous garde un souvenir idéalisé de son enfance, un peu comme, plus tard, celui de son premier amour... Certes, il faut regarder vers l'avant et ne pas trop se retourner, sous peine de se voir changer en statue de sel, comme un certain personnage de la Bible (pardon, Senglar, pour la crise de foi(e)! ). Ces quelques vers jetés sur le papier, venus à moi comme par vagues, décrivent une part de mon être profond ; une part seulement... mes enfants m'apportent de magnifiques joies d'adulte (et un formidable prétexte à revivre des joies d'enfant !) Pour répondre sur la forme, en particulier à Iolédane : La diérèse sur "rien" est voulue ; une fraction de seconde de souffrance peut sembler une éternité, et ces "riens"-là sont aussi insupportables que s'ils duraient un vers entier... Sur "Tirèrent ici-bas", je me suis planté, ça casse effectivement le rythme ; dommage. Sur "Les aime à nouveau" : rien à faire, il fallait choisir entre "Je" et "Les" ; et, en parlant d'amour, il semble que le "Je" devait s'effacer... A Senglar : mon camp de rééducation, j'y suis tous les jours de 9h à 19h, mais rien n'y fait, je n'ai pas l'esprit d'entreprise ! Merci enfin à Miguel. Je ne connaissais pas Marie Noël ; je m'y mets ! Amitiés à tous, Volodia
Contribution du : 01/02/2014 10:14
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