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La pèche à les lecteurs... remerciements.
Expert Onirien
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04/12/2011 22:17
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Bonjour (et merci) à tous.

Le premier moteur de ces mots (presque) pamphlétaires aura été la prise de pouvoir de la communication sur les actes. Sans doute n’est-ce pas nouveau mais depuis que les politiciens s’étalent chez Drucker, la transition est actée. Pour autant je ne suis pas de ceux qui remettent les bonnes intentions de chacun en cause ; je déplore simplement la pauvreté de l’image, masquant, avec la complicité contrainte de nos élus… ou pas (élus ou contraints) l’éventuel… fond.

Pour préciser à Robot, je me suis (sans le vouloir mais avec une certaine jubilation) effectivement mis dans la peau de celui qui généralise à tout va, mon postulat de départ restant en toile de fond. Je pense que je texte parle autant du narrateur que du (des) "narré(s)".

Nous sommes bien Idoléane dans la caricature, ce plaisir du trait qui pousse la plume toujours une épaisseur trop loin et sans lequel le plaisir manquerait de sel.

La vérité Iola sur le final (y compris l’incitation à délaisser les urnes) est que, emporté par me mots, je n’ai résisté à rien. Je pensais simplement que ce texte ne serait jamais choisi. Lorsque (à ma grande surprise) ce fut le cas, je m’empressais de proposer une fin alternative… en vain (j’étais content de moi pourtant).

Brassens, Troupi est inégalable et il ne nous reste qu’à forcer déraisonnablement le trait pour avoir le sentiment de se démarquer un peu, la finesse n’étant point enfant de cette époque de surenchère. Le compliment me touche au cœur !

L’accompagnement Yves existe dans une version beaucoup plus épuré (presque acoustique). J’ai choisi celui-ci, le texte me semblant difficilement s’accorder à la demi-mesure. J’entends cependant la remarque mais j’ai accepté depuis long cette dépossession qu’est la mise en musique ; j’aurais changé de hobby sinon.

Le refrain Leni est passé à toutes les sauces, il en sera resté ce patchwork qui manque un peu d’unité mais casse un peu la monotonie.

Les sons Tizief devaient faire parti de la coloration du personnage, je suis ravi de le voir souligné. Je crains comme beaucoup (pas assez) la complainte aveugle du « tous pourris » mais comme je le disais plus haut, le narrateur est la guest star de la chanson. Si je devais me contenter de ma vie, une dizaine de textes en auraient fait le tour.

Il était dur à chanter Chari ce texte qui claque ou respire ici ou là. J’ai beaucoup travaillé avec l’interprète pour qu’il "passe". Il faudrait un chanteur plus que confirmé pour un résultat irréprochable. Oui, l’air est populaire pour un texte populiste, tant mieux !

Ultime paradoxe Brabant les auteurs vouent toujours une inexplicable tendresse à leurs personnages. Je me suis surpris à le trouver sympathique mon élu et forcément, ça transpire un peu. Les médiocres sont insupportablement transparents !

Je ne méritais pas tant… non pas d’éloges mais de mots, je ne les attendais pas d’ailleurs. Les quelques chansons que je propose espèrent distraire… et, insidieusement aimeraient mener à quelque réflexion… mais toujours dans la détente.

Merci à tous d’être passés, grand merci.

Contribution du : 05/04/2014 16:51
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