Merci au CE qui a accepté de publier, aux lecteurs et aux commentateurs bienveillants qui ne se sont pas laissés rebuter par ma petite cuisine et l’ont même particulièrement appréciée, pour certains, en dépit du filet de voie lactée qui ne doit rien à l’huile d’olive …

RB, j’ai la faiblesse de considérer qu’en poésie les retours à la ligne peuvent tenir lieu de ponctuation, peut-être ai-je tort et cela nuit-il à la lisibilité de mes textes.

Socque je conçois très bien qu’on puisse ne pas se sentir d’humeur à patauger au milieu de cette mare. Que tu te sois « un poil ennuyée » parmi ces nudités visqueuses et braillardes, même bien ficelées ne m’étonne qu’à moitié. Le chant des baleines au large ça vous a une tout autre classe, je suis bien d’accord avec toi !

Salut à toi, Tizef, qui fus grenouille dans une autre vie en compagnie de Marcel Piponnier que je n’avais pas l’heur de connaître et que je te remercie de me présenter !

Hananke, La lune et l’étang me semblent s’être épousés depuis la nuit des temps

Senglar-Brabant, j’avoue que j’ai craint la censure en taillant le portrait de ces Sabines en barboteuses, je te le confie en rougissant …

Raoul et Cat, curieusement je n’ai jamais eu l’occasion de goûter aux cuisses de ces demoiselles . Si l’occasion s’en présente, je penserai à vous !

Alexandre, plutôt que l’aile ou la cuisse, tu m’accordes « la patte »et j’en suis vivement touchée.

Ah la rime, la rime, Pieralun, le moins qu’on puisse dire c’est qu’on n’est pas très copines elle et moi mais tu vois, je me soigne ! Que tu aies retenu la musique de ce concert me ravit au moins autant que celle de cet exceptionnel dont je ne suis pas sûre d’être digne

Ellana, entre attirance et répulsion, c’est bien l’ambiance que j’ai tenté de donner à cette scénette et tu sembles l’avoir éprouvée, merci !

Lulu, désolée pour l’œuf poché que vous auriez peut être préféré au plat sur un petit nuage, c’est évident que ça se discute …
Iloa, criblé au sens de percé de trous ne me semble pas nécessiter obligatoirement plus de précision. Ici les trous sont les étoiles, cela me paraissait évident mais je peux me tromper.

Louis, comme toujours la magie de ton commentaire fait du moindre rafiot un voilier cinglant au vent d’échos insoupçonnés de leur auteur. Ta cuisine est bien plus fine que la mienne et rien ne lui échappe, comme cet œil poché auquel je n’avais pas pensé et sur lequel tu me donnes envie de rebondir

Leni j’aime bien dérouler sous tes yeux un diaporama qui te rappelle tes vacances en Camargue.

Fugu, je suis d’accord avec le changement de ton du dernier quatrain qui peut désorienter le lecteur. Personnellement je ne suis pas contre le mélange des genres, le sexe et la cuisine ne me semblent pas antinomiques mais ce n’est qu’une question de goût …

Miguel je partage vos réserves concernant la qualité du concert en question et j’ai maudit plus d’une fois le chœur des belles de nuits en fermant ma fenêtre sur une douce nuit étoilée !

Je tiens à remercier ici mes nouveaux commentateurs.

Ioledane votre remarque m'incite à penser que trop d'image peut tuer l'image, vous avez sans doute raison et j'y serai plus attentive à l'avenir. Quant à l'incipit, je suis vraiment confuse mais je n'y peux plus grand chose

Lotier j'admire le fait que vous soyez parvenu à dénombrer les quatorze voix de vos concertistes ! A ma connaissance les urodèles sont infiniment plus discrets que les anoures mais mériteraient qu'on s'attarde à vanter les mérites de leurs robes souvent éclatantes.

Bon appétit ChVlu ! Les nuits de mai sont tout aussi torrides que celles d'avril pour qui sait les apprécier ...