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A propos d' "Ornières"
Expert Onirien
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22/11/2012 13:52
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Bonjour,

Un remerciement à tous les commentateurs d’ « Ornières » (ici : http://www.oniris.be/poesie/ioledane-ornieres-6196.html), et quelques réponses aux questions et remarques.

SOCQUE :
En effet le rythme saccadé 4/4/4 au premier vers de chaque quatrain était voulu.
Je vous rejoins pour la facilité de la rime « enchevêtre / empêtre ».
Merci pour ce regard quant à la poésie néoclassique.
Quant au sujet, on est plutôt sur la paranoïa.

HANANKE :
Culpabilisation à tort, votre regard est intéressant.
Je note aussi vos remarques de forme.

RB :
Merci de vous être aventuré sur une forme poétique qui n’est pas votre tasse de thé (si j’ai bien compris), tout comme le sujet (double mérite !). En effet ce poème n’est pas conçu pour être déclamé à la personne à laquelle il s’adresse. Peut-être simplement pour tenter de ‘poétiser’ un ressenti douloureux et sombre.
Vous avez raison, c’est avant tout un exercice de style.

LULU :
Merci d’avoir apprécié la fluidité.
Quant à la ‘lueur d’espoir’, bien sûr que rien ne s’y oppose, simplement elle ne faisait pas partie de cette histoire-là, ce qui ne veut pas dire qu’elle ne peut pas se trouver ailleurs.

ROBOT :
L’impuissance, c’est exactement cela.
Le mystère est effectivement assez volontaire.
Quant à l’émotion et aux sentiments, c’est parfait s’ils ont pu être perçus, malgré la tonalité trop ‘ampoulée’ reprochée par certains.

LEOPOLD PARTISAN :
Ce texte ne se veut pas un encouragement, juste un aveu d’impuissance.
Effectivement l’expression n’a rien de ‘spontané’, de ‘naturel’. En même temps qui s’exprimerait réellement en alexandrins ou en rimes ? Ce n’est probablement pas qu’une question d’époque, c’est plutôt le parti pris d’un angle d’expression différent (voir réponse à RB). Cela dit je comprends votre ressenti, et vous remercie de vous être néanmoins posé quelques instants sur cette composition – et d’avoir partagé un autre texte qui vous a davantage touché.

LUDI :
J’aime assez votre résumé. Néanmoins loin de moi l’idée de viser qui que ce soit ici, et je suppose que votre commentaire est pure ironie – teintée d’un zeste d’autodérision, semble-t-il. Je vous pardonne donc pour ce convalescent « Très bien », et espère être moi-même suffisamment sur la voie de la rémission pour apprécier vos prochains textes à leur juste valeur !

ECLISSE :
J’aime beaucoup votre « ça strie, ça pique, ça grogne » ! Merci d’avoir relevé ces jeux sur les sonorités.
Bien vu sur le pluriel d’Ornières : s’il est utilisé au singulier dans le texte, c’est au sens d’une incertitude (« quelle ornière de peur ») mais il y en a bel et bien plusieurs.

MIGUEL :
En effet ce poème n’est pas loin du classique en termes de prosodie, cela dit la catégorie m’importait peu. Et si vous avez perçu l’intensité, alors l’objectif est atteint. Merci à vous pour ce commentaire étayé.

PLACEBO :
Si vous n’aimez pas du tout la forme, c’est appréciable que le fond vous ait néanmoins parlé, et que vous ayez pris le temps de poser votre ressenti.
Le mouvement saccadé 4/4/4 puis 6/6 est effectivement un peu déstabilisant en première lecture, c’est volontaire – ça plaît ou ça déplaît. J’ai bien aimé votre lecture des 4 premières syllabes de chaque quatrain, pour former un vers ! Cela en revanche je ne l’avais ni calculé ni vu.

LOUIS :
J’ai été ravie à la lecture de cette analyse très fouillée, qui va même bien au-delà des intentions et effets consciemment recherchés. Intéressante évocation sur « Or-nières ». Je me suis toutefois demandé tout au long si votre ressenti était positif. Au bout du bout, la dernière phrase me l’a confirmé ! En tout cas merci pour ce temps passé.

KIE :
C’est avant tout un exercice de style, en effet. Dont le rendu peut paraître artificiel, et c’est ce qu’ont ressenti certains lecteurs. Difficile de leur en vouloir ; cela dit d’autres ont perçu l’émotion et l’intensité, et c’est bien ce que j’avais souhaité y mettre. Néanmoins il est probable comme vous l’évoquez, qu’une forme libre puisse donner davantage de puissance à ce type de sujet. Mais c’est une forme qui ne m’est guère familière, et je me suis simplement laissé guider par le rythme néoclassique.
Merci à vous.

VALKYRIE :
Vous avez sans doute ressenti (ou plutôt non-ressenti) la même chose que certains lecteurs rebutés par la forme peut-être un peu ‘ampoulée’.
Néanmoins merci de vous être arrêtée un instant sur ce texte pour l’exprimer.

TROUPI :
Vous avez sans doute raison pour la lourdeur. Et vous avez bien perçu le regret. Merci de vous être posé pour le dire.
Concernant les Ornières, voir réponse à ECLISSE. J’avais par ailleurs envisagé comme titre « La bourbe », mais cela me paraissait pour le coup vraiment trop pesant, et les Ornières permettaient davantage de se relier aux sillons évoqués au début du poème.

Contribution du : 30/05/2014 18:01
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