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1 Utilisateur(s) anonymes
Un pas de deux vers vous |
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par ici >>>> le poème
Mes remerciements comme il se doit aux oniriens qui oeuvrent dans l’Ombre et ma reconnaissance infinie aux orgas qui offrent les feux de la rampe à l’amateur que je suis, friande de partages. Peut-être ici l’occasion de développer un petit peu plus le thème récurrent de l’utilité des commentaires qui, au travers de ce Pas de Deux, m’offre un nouvel éclairage. Vous pouvez être rassurés, chers organisateurs et maitres de Céans, votre souhait d’échanges constructifs se trouve réalisé au centuple. De votre grande et sage expérience vous savez depuis longtemps combien votre univers est riche de nous tous, aussi différents que cela est possible. Vous demandez des commentaires construits pour aider l’auteur dans sa performance, mais sachez que les commentaires qui portent les seuls ressentis sont aussi indispensables à celui qui veux prospérer. Les uns amènent la structure, offrent l’affinage des intentions, déploient les astuces pour mieux s’y prendre, les autres, par leurs élans spontanés, sont tout aussi indispensables par la confiance qu’ils génèrent et que dirent de ceux qui ont tout à la fois !^^ C’est tout cela qui crée le climat propice pour une bonne évolution. Le plaisir profond qui se dégage de tels échanges dépasse de loin le simple culte de l’ego qui ne veut que se faire mousser sans aller plus loin. Après ce préambule, je tiens à vous remercier tous, vous qui avez dit, vous qui êtes passés, pour la soie que tous ensemble vous avez tissée autour de mon ciel. Je vous ai conviés à la table de mes mots, vous m’avez fait l’honneur de répondre présent et ainsi faisant m’avez offert un cadeau inestimable. RB, le trac qui me vrillait l’estomac depuis quelques jours a pris fin à la lecture de ton exceptionnel placardé tout en haut de la liste. ^^ Pas pour les plumes de paon (merci Ludi) qu’il pouvait me laisser augurer mais pour le plaisir qu’elles ne me donneront jamais, celui de te voir partager mon envolée en des sphères connues de nous seuls poètes. Je suis certaine que tu as pris le côté homo au sens large. Il ne m’a sauté aux yeux qu’après quelques récitations à haute voix et je n’ai rien fait pour le gommer. J’ai trouvé juste qu’à notre part de féminin et de masculin s’ajoute cette dernière dont on ne parle jamais et qui pourtant fait partie intégrante de notre être. Maintes fois j’ai eu l’occasion de voir à l’œuvre ton sens du détail qui tue ! Il est évident pour moi maintenant que l’azur est de trop. Pimp’ ma Reine, je ne sais pas ce que tu as vraiment compris, mais arriérée, cela m’étonnerait fort ! Que tu aimes la simplicité de mes mots ne peut que me toucher, tu sais si bien mettre en exergue la vie dans son plus simple et plus bel appareil que j’ai souvent en ligne de mire ta façon de la peindre. Merci d’être entrée dans la danse. chVlu, l’Aude ici est symbolique, tu l’as compris l’éther haut est de mise. Je suis fière d’avoir effleuré quelques pensées avec toi et tant pis si d’autres sont fichues, nous nous rattraperons !^^ Robot, je suis très émue de vous avoir embarqué dans mes images. Désolée pour le final, mais il fallait que la tourmente cesse, quitte à lui donner une suite amoureuse dans un prochain poème, qui sais ?^^ J’ai aimé le froissé de la soie dans la suie… pour l’azur, il m’a gênée tout le long, un peu comme cette petite mouche énervante qui revient sans cesse se poser sur le bras et dont on n’arrive pas à se débarrasser. Maintenant que je vous ai lu il me semble bien superflu. La 5ème et la 6ème strophe sont tombées des nues sans me solliciter auparavant. Je les ai acceptées telles quelles, me délectant de leurs mimes. Lotier, lorsque j’étais petite maman faisait souvent entrer Félix Leclerc, Serge Reggiani et autres feuilles mortes dans sa cuisine. Si ce pas de deux vous à entraîné au Québec, c’est dans ce foyer aux braises sublimes que votre évocation m’a ramenée. Ainsi nous avons partagé le goût de la même eau et des choses tendres. Merci aussi pour ce voyage en sus. Jano, vous avez subodoré bon. L’autre soi-même est de mise ici, en complet d’ombre et de lumière. Le quatrain d’intro est celui qui m’a posé le plus d’interrogations, après tout a coulé de source. Margueritec, c’est moi qui te remercie. Se savoir lue, se l’entendre dire, voilà la clé du bonheur pour des comme nous. Troupi, dieu que c’est bon de s’entendre dire toutes ces belles choses !^^ Je suis vraiment comblée : au plaisir d’écrire se rajoute celui d’être comprise… Je ne te remercierais jamais assez pour cette dose de bonheur supplémentaire. Bleuterre, libre, c’est un de mes mots préférés ! Parce qu’on ne peut en jouir vraiment qu’avec les mots, c’est peut-être pour ça que je me suis mise à écrire des images comme je les veux. Que tu les aimes me donne des ailes pour continuer sur la voie de la liberté. Olivier, Cher Olivier, de la tendresse, bord.. de mer.. ! Voilà, tout est dit. ^^ Ne vas pas croire ce que raconte les ragots qui souvent veulent bien faire mais ne savent pas tout ! Ton commentaire m’est précieux, tout autant que celui des autres. A cause du ton particulier de chacun justement, il m’aide à construire ce mur de confiance dont j’ai besoin pour étayer mon écriture, pour croire que j’ai le droit d’écrire. Ici, par exemple, il me permet de me rendre compte de l’éventail des goûts. Toi tu as préféré « l’instant » et moins goûté à celui-ci, pourtant tu as été sensible à ce que j’ai pu mettre de moi partout. A bientôt sur les forums. Et puis demain c’est mon tour de te lire.^^ Myndie, je suis toujours émerveillée par ce fil mystérieux qui nous relie au-delà des frontières en se jouant de la distance malgré nos façons si peu semblables d’approcher dame Poésie. Tu me lis à bras ouverts ! Sans doute connais-tu toi aussi la plénitude que l’on ressent une fois les ombres mise en veilleuse.^^ Ludi, diable rouge de Monaco qui vénère le Marubozu, tu me lis comme personne ! T’entendre palpiter sous mes mots me réjouit autant que l’élève peut se réjouir d’entendre palpiter son maitre. Non pas que je sois ton élève : il me reste encore à atteindre des sommets insoupçonnés pour prétendre cela, mais l’image se tient.^^ Tu m’as libérée de la contrainte de la ponctuation et la démonstration magistrale que tu fais de cette levée de joug nous met au diapason. Tous les sens du verbe embaumer, sont là, tels qu’ils m’ont emportée. Newman, merci pour ton passage sous mes mots, merci d’avoir aimé, merci de l’avoir dit. ^^ Diva-luna, si j’osais je dirais que je n’y suis pour rien dans mes images ! Elles se présentent comme elles le veulent, pourtant elles sont ma vie, je les aime infiniment, d’autant plus fort qu’elles créent ces échanges pleins de bonheur autour desquels je me sens bien. Je vous dédie, à tous, le prochain bébé. Sans vous, votre gentillesse, votre attention, votre écoute, votre générosité et votre mansuétude, j’aurais rangé ma gomme et mon crayon sans lesquels je ne suis que la moitié de moi-même.
Contribution du : 08/07/2014 14:05
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Re : Un pas de deux vers vous |
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Leni, cher Leni, je suis complètement désolée. Je viens de me rendre compte de mon oubli. J’ai voulu m’interrompre un instant pour répondre à des mp, et voilà ce qui arrive dès que je me laisse distraire. Pourtant ton intervention m’a été droit au cœur ! Je suis tellement honorée de te voir apprécier mes simples mots.
Pour la peine, tu as droit à une ration supplémentaire de poutous purs bisous toulousains. Troupi, Newman, Diva-luna : je n’ai pas réussi à surligner vos pseudos pour une mise en exergue. La liste remonte trop vite et ne me permet pas de la stopper là où je veux. Il existe sûrement un moyen pour ralentir le coche, mais je ne le connais pas, désolée...
Contribution du : 08/07/2014 14:47
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Re : Un pas de deux vers vous |
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Citation :
J'aurais bien aimé que tu m'oublies également... Merci pour tes belles paroles Cat J'ai bien aimé ton bord... de mer... ça m'a de suite fait penser à une magnifique chanson de Michel Jonasz et ensuite...à une chanson des Béruriers noirs (je ne sais pas si tu connais ce groupe. ChVlu doit connaitre je pense )
Contribution du : 08/07/2014 14:53
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Re : Un pas de deux vers vous |
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Merci Cat.
Contribution du : 08/07/2014 16:53
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Re : Un pas de deux vers vous |
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Cat,
Ta joie et ton altruisme naturel te prédisposent à une reconnaissance excessive. Qui ne serait pas heureux de lire les mots que tu m’adresses ? Mais quelle présomption, si je pensais avoir eu une telle influence !! Il y a juste parfois un terrain où des auteurs peuvent se rencontrer et se comprendre. Ce fût le cas avec toi depuis ton premier texte. Avec d’autres, des barrières se sont parfois élevées, des divergences de points de vue sur la manière d’appréhender la poésie... Tout ça est enrichissant, tout ça participe de notre volonté à tous,, je l’espère, de contribuer à une réflexion sur l’acte d’écrire. Il se peut qu’on échange plus avec certains qu’avec d’autres, parce qu’il est plus facile d’avancer quand la direction est commune. J’aime ta poésie, parce que j’aime ce qui est fait de chair et de sang, plutôt que de coquelicots et de papouilles. Mais encore faut-il les mots pour le dire, et je trouve que tu as un talent naturel, de mieux en mieux exploité (on y sent à chaque fois un peu plus de travail, et il en faut quand même pour ne pas laisser la facilité s’installer). Certains pourraient penser que des commentateurs ont une note toute prête avant même que tombe le texte de certains auteurs. C’est tout le contraire que je ressens : c’est parce que je retrouve le même plaisir qui m’avait rapproché de l’auteur à ses débuts, une certaine cohérence dans son « œuvre », que ma note peut sembler téléguidée. Si je note toujours Leni entre TB et TB+, c’est parce que j’adhère à sa manière personnelle et poétique d’explorer la chanson. Bien sûr qu’il peut y avoir des fluctuations émotionnelles d’un texte à l’autre, mais le curseur de sensibilité varie assez peu quand on reconnaît le langage d’un « ami » en poésie. Alors, oui, Cat, le peu de textes édités fait de toi une « copine » en poésie. Mais je ne doute pas un instant que tu deviennes une « amie », comme d’autres qui ne le savent même pas. En tout cas je suis heureux que ton texte ait reçu l’accueil qu’il mérite. J’ai cru voir que Louis venait de te rendre visite. Alors, laisse tomber mon commentaire et précipite-toi sur le sien. Ludi bavard avec ses amis PS : Quelqu'un pourrait-il réparer la machine à plumes qui est subitement tombée en panne sur ton texte ? Aucun algorithme n'est assez stupide pour compter à l'envers
Contribution du : 08/07/2014 18:31
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Re : Un pas de deux vers vous |
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Expert Onirien
Inscrit:
31/01/2013 13:43 Groupe :
Auteurs Évaluateurs Membres Oniris Groupe de Lecture Post(s):
8357
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Bonsoir Cat.
Il me semblait bien qu'il y avait quelque chose de toulousain chez toi. Je ne pensais pas te faire tant plaisir avec mon commentaire mais tu m'en vois ravi, par contre mon pseudo non surligné je pense que je ne m'en remettrai jamais... Adieu.
Contribution du : 08/07/2014 19:57
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Le temps est un poison Tellement délicieux... |
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Re : Un pas de deux vers vous |
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Expert Onirien
Inscrit:
29/04/2014 19:42 De terrien
Groupe :
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3409
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C'était, donc, bien, une Cat/Aude plongée dans le bouillon de l'alchimie ! (a moins que ce n’eusse été une Anne/Aude). J'ai choisi de privilégier l’hypothèse positive.
Contribution du : 08/07/2014 20:04
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"Ce n'est pas le chemin qui est difficile, mais le difficile qui est le chemin" Kierkegaard |
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Re : Un pas de deux vers vous |
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Maître Onirien
Inscrit:
31/01/2014 22:04 De quelque part entre ciel et terre
Groupe :
Évaluateurs Auteurs Groupe de Lecture Membres Oniris Post(s):
11694
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Non mes ombres ne sont pas encore mises en veilleuse mais je te fais confiance, un jour viendra...
Je suis heureuse que ce beau poème t'amène toute cette reconnaissance et te prouve ainsi qu'en dépit de tous tes doutes, tu as ta place au milieu des grands. J'ai toujours aimé la sensibilité de ta plume, c'est ça le fil... myndie couturière
Contribution du : 08/07/2014 20:46
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"Les mots peuvent être "impuissants" et pourtant ils sont tout ce que nous avons pour étayer nos ruines". Joyce Carol Oates |
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Re : Un pas de deux vers vous |
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Avis d’arrêt momentané pour cause de bouleversement intérieur
Je viens de lire vos nouvelles interventions, ici et sous le poème, et je ne sais pas par quel bout prendre cette nouvelle Cat bouleversée qui vient de se réveiller. Bien sûr elle ne m’est pas totalement inconnue, mais quand même… (Ludi, ça doit être mon huitième double, non ? :)) Auriez-vous l’amabilité de me laisser un peu de temps pour récupérer une partie de mes esprits partis en voyage devant tant d’amour ? Mais surtout, restez en ligne, je vous en prie ! Je vais reviendre pour vous donner avec un immense plaisir tout ce que vous êtes en droit d’attendre. Merci pour votre compréhension. Cat, Certainement un peu bête, mais je n’y peux rien ! ^^
Contribution du : 09/07/2014 09:08
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Re : Un pas de deux vers vous |
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Citation :
Et bien ça c'est beau à lire, t'es une vraie passionnée Cat. En tout cas avec tout l'amour que tu portes à tes mots j'ai le pressentiment qu'ils m'insuffleront encore leurs vibrations.
Contribution du : 09/07/2014 09:26
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