Merci aux lecteurs et commentateurs de « L’autre monde ».
Je suis heureux que cette 5ème aventure de Paulo vous ait plu. J’essaie de revenir au niveau des « Deniers de Denise », ce n’est pas facile, mais je persévère. Je me suis bien amusé en écrivant « L’autre monde », j’aurais donc été déçu de faire un bide. Merci à tous.

Un petit mot pour chacun des commentateurs :

Pounon
Que la Providence me préserve de me prendre au sérieux, c’est la pire des choses qui pourrait m’arriver dans cette activité ! Je ne suis pas inquiet à ce sujet. Même si dans ton com, tu dis : « On croirait Bérurier mais en plus fin. », je t’en remercie, mais atteindre la cheville du grand Frédérique Dard… pas même en rêve !
Merci, Maître de l’humour.

Clémentine
Ah ouais, j’aurais mangé quelques champignons, fumé des herbes bizarres et ingurgité les dernières gouttes du breuvage d’un sorcier africain avant d’écrire cette aventure ? Ben non, je me suis juste shooté à l’écriture. Les aventures de Paulo sont ma récréation, alors je me lâche…
Merci, mais je t’en supplie, ne mange pas de champignons hallucinogènes avant d’écrire ton prochain poème !

Liry
Merci, content que cela t’ait plu Liry.

Ninjavert
T’as raison, à bien y réfléchir, je crois qu’il te ressemble un peu Paulo… non je déconne, il te ressemble peut-être un peu pour son charisme, mais pour le reste… il est vachement mieux que toi ! Non, ne fais pas la tronche, je déconne encore.
Tu dis : « Y a peut être quelques phrases qui pourraient être retouchées, et des bouts de paragraphes améliorés, mais globalement c'est nickel » Probablement, c’est même certain, mais le « peut-être » me laisses sur ma faim. Tu donnes suffisamment pour que je ne t’en veuille pas de cette petite imprécision.
Merci de ton attention, ô Grand Maître.

Lariviere
Merci d’avoir fait ressortir cette fantastique nouvelle des profondeurs archivesques d’Oniris (poussiéreuses, humides, malodorantes, dis-tu ? Merdre ! Y’a personne qui fait le ménage aux archives ? Je propose qu’on le fasse faire un peu par Maître Pat de velours. Elle commence un peu à trop rouler sa caisse, le plumeau à la place du fouet, ça lui rognerait un peu les griffes !).
La vache, si elle lit ça, je suis mal !
Bon d’abord, tu aurais eu tort de ne pas commenter cette nouvelle sous le prétexte que sa chute te met en honneur. Il y a deux bonnes raisons à cela. La première, on se fout des pensées mauvaises sur un éventuel copinage. J’aime ton style et ton propos, j’ai le droit de leur rendre hommage et basta ! La deuxième raison, c’est que tes compliments m’ont fait frétiller l’ego. Et ça me fait du bien à l’âme.
Alors non, je n’avais pas lu « Les fleurs Bleues » de Queneau. C’est fait maintenant, et je suis bien embêté parce que dans mon prochain Paulo, commencé avant la lecture de Queneau, il y a un cheval qui parle comme Sthène. Le pire est que j’avais fait parler le canasson en langage soutenu (comme Sthène !) j’ai tout repris en le faisant parler comme Paulo. Bon, si on pense qu’il y a plagia, tant pis !
Je te reparlerai de Cidrolin et du Duc d’auge plus tard.
Merci de me les avoir fait connaître.

Pat
Merci pour ton commentaire dithyrambique ! T’inquiète, c’est un peu grâce à toi que Paulo vit. Je sais ce que tu en penses.

Pissavy
« Avec l’écriture tu fais ce que tu veux » me dis-tu. Merci, j’aimerais beaucoup que tu dises vrai, il me reste tant de chemin à parcourir… l’apprentissage est long, et les années passent…
Merci Pissavy.

James
« Encore et encore des textes comme celui-ci » demandes-tu. Ce n’est pas facile. Comme je l’ai dit plus haut, je peine à revenir à la hauteur des « Deniers de Denise ». C’est la rançon du succès immédiat, mais je persévère et ton encouragement m’y aide.

Aldenor
« La chute est tordante mais je trouve un peu à rallonge. Pourquoi ne pas s’arrêter sur : Avec Togna vous ne risquez pas la surchauffe… ? » Demandes-tu dans ton com.
Cette aventure de Paulo s’inscrit dans une suite à épisodes. Je voulais que Marilyne sorte de la vie de Paulo, alors j’ai conclu de cette façon. Mais je te remercie, je vais quand même revoir ce passage.

« La succession des délires m’a un peu lassé en dépit de la richesse de l’imagination et des bons jeux de mots. C'est sans doute parce que je ne trouve pas de logique à la séquence ; un certain ordre, crescendo par exemple, ou bien un certain éventail, plus clairement identifiable, de situations délirantes. » Précises-tu.
Peut-il y avoir un ordre établi dans des délires provoqués par des champignons ? Je ne sais pas, je n’ai jamais essayé ! Plus sérieusement, je l’ai fait volontairement, parce qu’effectivement, je n’ai jamais remarqué de suites logiques dans mes rêves.

Je n’ai pas compris pourquoi le texte t’est apparu centré sur la page. Est-ce arrivé à d’autres ?
Merci de t’être arrêté sur cette nouvelle.