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Rouge vif sur brun rouge: remerciements et clarifications
Expert Onirien
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26/03/2014 04:34
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Bonjour/soir à tous,

Comme je suis plutôt fatiguée, je résume quelques points soulevés dans les commentaires. J'ai écrit ce quatrième texte quelque part pendant l'une de mes nombreuses nuits blanches. La raison pour laquelle je l'ai placé dans la catégorie humour/détente est que, de un, je ne trouvais pas qu'on y trouvait suffisamment de merveilleux dedans pour le mettre dans cette catégorie (on parle en effet plus de "réalisme fantastique", petite catégorie dans laquelle on sait que ce qui arrive s'inspire du réel sans que cela soit réellement courant ou même réalisable), de deux, je l'ai écrite en riant, fatiguée, pour me changer les idées. Bref, je n'avais pas grand chose de sérieux à communiquer dans ce texte, et je crois que cela s'est senti.

En revanche, ooooh l'agonie, lorsque j'ai lu les pensées concernant l'utilisation des dollars (bien que l'interprétation de mariebis soit pleine de charme), alors que l'environnement vous semblait français! Pour le coup, je ne me sens pas du tout coupable (c'est l'instinct patriotique en moi, pardonnez-moi): mon histoire se situe, comme pratiquement toutes mes autres, au Québec. J'ai la preuve indiscutable que la rue des Saules y existe: j'y habite. Et comme je suis dans le coin des arbres, la rue des Lilas est également à moins de cinq minutes de chez moi. Et comme le Québec, bien qu'on ne peut plus francophone à défaut d'être français ;) est dans le Canada, c'est de dollars dont il est question dans ma vie de tous les jours et dans celle de mon personnage. J'avais songé à mettre des euros pour mes amis français, mais quelle Québécoise indigne j'aurais été. :P

Socque: Premièrement, je suis contente que quelqu'un ait deviné la chute. C'est la preuve qu'elle ne tombe pas trop de n'importe où. Ah, voilà une incompréhension que je n'avais pas envisagée (bien que très pardonnable). Mon héros est étudiant à l'université, lorsqu'il affirme qu'il ne pourra pas frapper les enfants avant une quinzaine d'années, il veut dire par là qu'un adulte tapant sur un enfant est mille fois plus mal perçu qu'un adulte tapant sur un adulte, même en toute illégalité ;) C'est une réalité que je déplore chaque jour :P Désolée de vous avoir embrouillée, cela a effectivement dû rendre votre lecture plus pénible. "L'écoeurement de mioche" réfère quant à lui à ce qu'il avait dit concernant la puérilité de son dégoût, telle qu'il "n'en avait pas éprouvé depuis l'enfance". Je comprends parfaitement que vous ayez manqué ces petits détails par ailleurs maladroitement introduits, je ne me lis quand même pas comme du Victor Hugo :P

En ce qui concerne l'incohérence, qui n'est à mon avis qu'une demie incohérence, de la tache, je dirai qu'en tant que violoniste, je peux parler de la "tache" en fine connaisseuse. Nul doute que c'est exagéré, mais je peux vous assurer que la tache du violoniste crispé ne vient pas progressivement: elle apparaît pour la première fois après un long moment passé à jouer (c'était la première fois que mon personnage jouait deux heures d'affilée) et disparaît de moins en moins facilement au fur et à mesure. Bref, elle apparaît beaucoup plus lentement qu'elle disparaît. Mais c'est certainement un peu tiré par les cheveux, je vous l'accorde.

Je comprends ce que vous voulez dire à propos du caractère impossible à humaniser sans "bris" de rythme. Peut-être aurais-je dû écrire ce texte davantage comme une fable, où le personnage, sauf dans ses grandes lignes, n'a pas vraiment d'importance. Merci pour cette critique éclairante et de votre commentaire en général. :)

jaimme: Vos commentaires me font toujours tellement de bien! Je suis honorée que mes textes vous plaisent, même à un point que je ne pense pas mériter. J'espère que vous pourrez vivre de plus en plus de beaux moments de lecture, dans mes textes et dans des milliers d'autres, prochainement

mariebis: "Plus d'évasion dans le mot dollars", c'est si beau que j'aimerais vivre dans des euros pour que ça s'applique à ma réalité! ;) Vous avez bien saisi l'esprit de mon texte, qui visiblement se classe effectivement davantage dans la catégorie des contes de par le peu de soucis que j'ai accordé au réalisme. Vous avez même réussi à me faire douter pour de bon de ma catégorie :P Merci beaucoup! :)

Uranie76: Je comprends, comme pour Socque, la confusion quant à l'âge. Cette phrase en particulier, j'aurais dû la détecter, il est inutile de penser que tout le monde lit en étant aussi à l'affût que s'il écrivait le texte lui-même. Désolée.
Je suis d'accord pour le côté ingrat du violon, et pour le côté irréaliste des sept mois, qui pour une quelconque raison se sont imposés à moi, mais je ne suis pas d'accord avec votre affirmation concernant le fait qu'on ne puisse pas être qualifié par un enseignant de violoniste avant d'être doué, ou même potable. Je pense qu'on est violoniste quand on joue du violon, qu'on en connaît (et non maîtrise) la technique et notes de base, et qu'on a l'intention de continuer. J'étais déjà violoniste à six ans, un an après avoir commencé les cours d'une heure par semaine, je peux vous l'affirmer. La marque est le symbole, pour moi: quand on n'arrive pas à se détacher de son violon pendant deux heures, soit le concert s'est rapproché d'un coup, soit on est enthousiaste: et quand on est enthousiaste ou qu'on se prépare à un concert (même enfantin) on est violoniste. Le professeur qui le nie est un imbécile: ne confondons pas violoniste et virtuose, ou violoniste de profession. C'est sans doute puéril et réducteur, une vision de fillette violoniste, mais c'est la mienne. Je comprends cependant très bien votre scepticisme. Nul doute que mon personnage n'est pas (encore) un BON violoniste :P
J'apprécie grandement la forme de votre commentaire, il possède une belle ouverture, vous avez vraiment bien observé ce que mon texte vous faisait vivre sous plusieurs tableaux, personnels et moins personnels, et vos trouvailles me sont très profitables pour la réécriture. Merci infiniment. :)

Asrya: Merci beaucoup d'avoir donné non pas une, mais deux chances à mon texte avec autant d'ouverture d'esprit. Je suis honorée que vous aimiez plusieurs passages, et je profite grandement de vos remarques quant aux répétitions. Pour la couleur rouge vif, j'avoue que je ne savais pas trop où me mettre, j'étais stupidement enchaînée à mon idée de titre, mais j'avoue que cela alourdit le tout. Pour le "mâchoire", je n'aurais jamais remarqué! Les "yeux", je l'aurais manqué également, mais il faut dire que je fais toujours une sorte de fixation sur les yeux, dans mes nouvelles et dans ma vie, je ne sais pas pourquoi. Je vais prendre soin de varier tout ça, merci beaucoup!
"J'ai hâte de vous lire, de vous lire, de vous lire et de vous relire encore": eh bien, j'ai hâte que vous me lisiez, que vous me lisiez, que vous lisiez et que vous me relisiez encore, surtout avec d'aussi charmants, généreux et utiles commentaires. Merci!

Un grand merci ému et infini, comme toujours, aux correcteurs et lecteurs de tout poil, vous êtes vraiment en train de me rendre dépendante à ce site! ;)

*Après avoir regardé la longueur de mon post et m'être bien foutu de ma gueule* Eh bé ça paraît que j'ai affirmé être fatiguée! Qu'est-ce que ça aurait été si j'avais été en forme!

Contribution du : 26/08/2014 06:57
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