Bonjour à tous.

Un grand merci, comme de coutumes, au C.E. d'Oniris, aux correcteurs et aux lecteurs/commentateurs qui se sont penchés
sur ce texte né de ma dépression saisonnière.

Je souffre énormément du froid,
L'hiver en Nivernais est mon tombeau, je n'ai jamais pu me plier
à cette évidence : 5 mois à vivre entre parenthèses et encore
le mois de novembre gagné grâce au réchauffement climatique.

Je répondrai en MP aux commentateurs mais quelques précisions
déjà sur des interrogations légitimes :

Les tirets seront rajoutés au premier quatrain.

Pour ne pas prendre un coup de fusil par Socque, Muse sera
remplacé par verve (sourire).

L'aspect cadavérique épars : cette image m'est venue lorsque
je contemple ces champs de verdure gelés, on dirait des cadavres
vidés de leur sang étendus sur le sol.

Cher papipoète, nous n'avons que peu de neige pour habiller
les statues, du gel oui mais point de cascades dans la région.

Merci Alexandre pour vos photos mais l'hiver breton est bien loin
du nivernais.

"Couvercles de voix" : n'avez-vous jamais remarqué lors de vos
promenades hivernales dans la campagne ou la forêt
le silence impressionnant qui vous entoure : plus un chant d'oiseau, plus de bruit, plus de frôlement dans l'herbe, plus de Vie
si ce n'est le ronflement lointain d'une route ?

Voilà, quelques explications, encore merci à tous
et à bientôt en attendant de vous lire : j'ai lu des poèmes
classiques magnifiques en espace lecture anonyme, j'espère
qu'ils seront publiés.

Bien à vous.

Hananké