Au départ, ce sont les sous-plats qui m’ont alerté. A quoi bon rajouter des couches protectrices ? J’ai longtemps trainé cette idée. Que la civilisation fonctionnait par une accumulation de couches. Jusqu’au jour où je me suis dit tiens je pourrais en faire un poème plus facilement qu’un traité philosophique.
L’idée est donc, par le biais de cette accumulation de couches, que la civilisation nous éloigne de la nature ou désincarne l’homme comme le dit Lunar-K. En somme un constat (Wall-E) écologique.
Dix commentaires ! Merci, merci.
Merci <b> Lunar-K, Curwwod, Michel64, papipoete, Edgard, IAPAH, Bidis, David, Disciple, Wall-E</b>.
Il semble que « Autrefois », comme le remarque Bidis, puisse prêter à confusion. Je voulais parler en effet de « L’aube de l’humanité ».
Donc avant les rites funéraires. Et si j’ai choisi les bisons et les hyènes, c’est que ces animaux existaient à cette ère.
L’image de la lévitation : j’ai voulu traduire la distance qui nous séparait de la nature.
Edgard : Je ne sais pas écrire d’un trait malheureusement. Il me faut longtemps pour que ça commence à paraitre du premier jet... Mais tant mieux si ça le parait.
Ce n’est pas musical (IAPAH). Non, je n’ai cherché des effets que pour le cercueil, pour rendre une certaine solennité plutôt qu’une musicalité. Je ne pense pas qu’une forme poétique doive nécessairement être mélodieuse.