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Remerciements pour "Le mains de Valentin"
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Merci à vous, chers organisateurs, évaluateurs, chère Marimay, d’avoir pris le temps de lire, de corriger, de publier cette histoire qui me tenait tout particulièrement à cœur.
Et merci à vous chers commentateurs, Neojamin, Shepard, Francis et Titoune pour votre lecture patiente et vos écrits toujours enrichissants.
Néojamin : Je suis bien sûr conscient qu’il me reste beaucoup de travail quant aux dialogues.
La phrase que vous citez et qui se trouve presque en conclusion de la nouvelle et sans doute aussi la clé de l’histoire ( La petite fille est maintenant adulte, mais elle reste là, comme allongée devant ses terribles souvenirs, hésitante à quitter cette orée de son enfance salie, manquée). Notre enfance nous tient par la main dans tous les actes de notre vie, et c’est une douleur permanente quand ces premiers temps de l’existence sont gâchés par l’inconscience, la bêtise, la perversion.
Shepard : J’ai d’ores et déjà rectifié mon texte en tenant compte de vos remarques très pertinentes.
Francis : Merci d’avoir aimé la douceur de cette fuite, loin de l’écurie absurde. La petite fille a grandi et je vous assure qu’elle court toujours. Elle a simplement pris plus pleinement conscience de ses heures noires enfouies au fond d'elle et a perdu ainsi beaucoup de sa vélocité de petit cheval.
Titoune : Merci pour votre commentaire si gratifiant. Je pensais bien qu’une femme était plus à même de comprendre l’horreur de cette histoire. Tout vient et va vers la femme. Une femme (la mère), par sa bêtise et son laxisme, permet le pire au sein de sa famille, et une femme (la petite fille) expie cette faute dans le secret de ses nuits, d’enfance et d’âge adulte. Il y a toujours le prédateur qui veille en chaque homme. Mais c’est à la femme maintenant qu’il appartient d’extirper de l’esprit de notre humanité ses ancestrales pulsions devenues obsolètes.

Contribution du : 07/02/2015 11:28
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